Certains disent qu’il n’y a rien de mieux que le progrès. Le fait que les êtres humains soient aujourd’hui la seule espèce encore vivante sur Terre, je dois l’avouer, me paraît être une victoire assez déconcertante.
En Amérique, il fallait s’emparer de tout ce qu’on pouvait, et s’y cramponner. Certains Américains étaient très forts pour s’emparer et se cramponner, ils étaient fabuleusement aisés.
La plupart des autres pays possédaient que dalle. Nombre d’entre eux n’étaient même plus habitables. Trop de gens et pas assez de place. Ils avaient vendu tout ce qui avait de la valeur, il ne restait plus rien à manger, et pourtant ces gens passaient encore leur temps à baiser.
Baiser, c’est comme ça qu’on faisait les bébés
"TESTS DE DESTRUCTION"
-J'ai vu cette inscription, dit Dwayne, et je n'ai pas pu m'empêcher de me demander si c'était pour que je vois des choses pareilles que Dieu m'avais mis sur terre. Voir tout ce qu'un homme est capable de supporter sans éclater en morceaux.
Les idées, sur la Terre, sont des emblèmes d'amitié ou d'hostilité. Leur contenu n'a pas la moindre importance. Les amis s'accordent dans l'expression de leur mutuelle amitié. Les ennemis s'opposent mutuellement dans l'expression de leur hostilité.
Quant à moi : j'en étais arrivé à la conclusion qu'il n'y avait rien de sacré en moi-même ou en n'importe quel être humain, que nous étions tous des machines, condamnés à entrer en collision après collision après collions.
Voilà pourquoi les américains se tiraient si souvent dessus : c'était un procédé littéraire pratique pour terminer une nouvelle ou un livre.
Nous ne sommes en bonnes santé que dans la mesure où nos idées sont humaines.
Dans l'absurdité, la force.
Je gagne aujourd’hui ma vie en étant impoli.