Lorsque j'ai lu le 4ème de couverture, ne me demandez pas pourquoi, j'ai pensé avoir affaire à un polar. (et puis l'image de couv. faisait penser à celles qu'on retrouvent sur les policiers du Nord de l'Europe)
Et puis quand j'ai vu, à la 2ème page, tous les livres écrits par l'auteur, je me suis dit qu'il était très prolifique pour ce genre de roman. Et je me suis posé la question, en regardant tous ces titres, pourquoi aucun n'était passé entre mes mains ?
J'aurais dû mieux regarder la 1ère de couv. et surtout l'éditeur : Terre d'écriture. Car dès que j'ai débuté ma lecture, je me suis bien rendu compte que je n'étais pas dans un polar mais bien un livre de terroir (ou comme le dit la page d'accueil de l'éditeur, un livre pour « promouvoir le patrimoine de nos régions et cultiver la mémoire collective ».)
Bien qu'il m'arrive de m'arrêter sur ce genre de littérature (j'ai déjà lu du Laborie ou Signol pour ne citer qu'eux), cela ne fait pas partie de mes tops 3. Mais après avoir lu
Dicker et
Minier, je me suis dit que cela changerait un peu.
C'était le soir, mon mari regardait un film qui ne m'intéressait pas (Bruce Willis sauveur du monde comme je l'appelle souvent) et donc j'ai débuté cette histoire.
L'écriture était sympathique, les pages défilaient vite, le sujet était agréable. (et puis j'adore la Bretagne). Je me suis donc laissé embarquer.
Lorsque monsieur est monté se coucher, il me restait 50 pages que j'ai vite terminées car à la fin, il y a tout de même un peu de suspens pour savoir qui en veut à ce gentil médecin de campagne.
Je n'en garderai peut-être pas un souvenir mémorable mais il aura eu l'avantage de me divertir.