Citations sur L'agence Pendergast, tome 4 : Les griffes de la forêt (2)
Tous les occupants de la calèche sentaient une présence. C'était comme si la forêt avait des yeux et les observaient.
Une fois plongée dans les ténèbres, la vie sauvage paraissait omniprésente : des trottinements, des petits cris, des battements d'ailes... Sean n'était pas très rassuré. Il avait grandi dans une ville et ne connaissait rien d'autre, ou presque. Certes, il commençait à voyager un peu, grâce à l'Agence, mais son monde à lui, c'était New York, le tohu-bohu de la foule, les rues crasseuses, les escaliers en métal qui zizaguaient sur les façades de brique rouge.. La forêt profonde lui était à peu près aussi familière que la planète Mars !