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Je ne suis pas très à l'aise pour vous parler de ce livre.
Je VOULAIS l'aimer ! Je le voulais vraiment.
Il m'a été pitché à merveille, la langue légère et drôle de l'extrait, cette jeune étudiante en galère, profondément paradoxale : je pensais m'y retrouver.
J'avais flashé ! de la couverture graphique à l'ambiance vénitienne.

Mais non. Non, définitivement.

Cette jeune femme me semble artificielle avec tous ses tocs et ses amis qu'on ne rencontre pas. Dont on ne sait rien alors qu'ils sont souvent plus prometteurs qu'elle.
La langue qui me faisait tant sourire échoue pour moi sur la longueur : je me suis lassée.
Si, j'ai aimé le « Petit Lave-Linge » ou les réflexions sur les chats.

Je suis pourtant ressortie un peu blasée et vide.
Avec un sentiment de vacuité et de fog grisâtre.

Je suis peut-être tout simplement passée à côté, tant pis.
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Fiez-vous à cette jolie couverture toute folle, puisque l'auteure-blogueuse-visiblement experte des petits boulots sous-payés Ginevra Lamberti signe un roman qui ne risque pas de vous en rappeler un autre. Dès la première page, ce ton si caractéristique est posé. Une bonne dose d'absurde, de l'humour noir et pince-sans-rire savamment dosé et la répétition de motifs obsédants du début à la fin : « la vallée où je vis », « le géniteur », « la colocation » et surtout « le travail ». A travers le regard décalé de Gaia, nous est racontée toute une génération de jeunes diplômés condamnés pour une période plus ou moins interminable à occuper des postes qui n'ont aucun sens pour eux… ou qui n'ont parfois aucun sens tout court. Les formations non rémunérées du centre d'appel où l'on t'apprend à ne plus avoir de scrupule lors d'une vente inutile à une personne âgée, l'importance d'appartenir, non pas à l'Entreprise, mais à la Famille, et la loyauté qui lui est due, la très complexe hiérarchie des managers, serveurs, placeurs en salle dans le restau et la petite broche remportée par le meilleur employé du mois…

Là, où malheureusement, je suis beaucoup plus mitigée, c'est lorsque le personnage de Gaia évoque ses histoires de famille et notamment les figures importantes de son entourage, appelées « Geniteur », « Génitrice » ou encore « Grand-mère d'en haut ». La plupart du temps, je ne voyais pas trop où elle voulait en venir, on tournait un peu en rond et pour être honnête, je n'attendais que le retour des passages narrant les déboires de notre chère employée en CDD. Je suis donc passée à côté d'un bon tiers du roman, soyons clairs. Je le relirai probablement, peut-être que l'humour noir et délirant de mes passages favoris m'ont rendus le reste un peu fade…
Lien : https://prettyrosemary.wordp..
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J'aime beaucoup découvrir de nouveaux auteurs, de nouvelles écritures, mais parfois je reste sur ma faim car la rencontre ne se passe pas aussi bien que je l'aurais souhaité. Il n'y a pas toujours une cause, un fait précis, juste, la magie n'opère pas avec moi.

J'ai eu du mal avec le personnage principal de cette histoire et remarquez comme cela peut vite devenir gênant quand celui-ci est aussi le narrateur. Je n'ai pas apprécié la façon qu'elle a eue de se livrer à moi en tant que lectrice. Je n'ai plus eu envie d'écouter sa voix (à travers les phrases de l'auteur), j'avais l'impression d'une espèce de bourdonnement plus ou moins régulier pas très agréable car assez vite, j'avoue, j'ai un peu déconnecté car outre le style un peu perturbant, j'ai eu aussi l'impression de ne pas avancer d'un pouce.
Je pense que ce livre n'est pas totalement abouti et c'est comme cela que je l'ai perçu. Il y a du potentiel, quelques bonnes idées, des passages plus intéressants que d'autres, mais hélas, on retrouve trop vite les travers du récit.

Dommage, le rendez-vous fut raté, mais il faudra voir pour une autre fois…

Lien : http://espace-temps-libre.bl..
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Les rentrées littéraires se suivent et se ressemblent. Enfin, au niveau du nombre d'ouvrages publiés surtout. Car dans cet exercice fou qui consiste à sortir du lot finalement, certains ouvrages remplissent la fonction de "vilain petit canard".
Oui c'est comme ça que je surnommerai ce roman, court mais un peu fou-fou !

Il dérange forcément son lectorat car il appuie sur des sujets qui sont des quasi tabous : la précarité de l'emploi (comment ça mademoiselle, ça n'existe pas voyons...si les jeunes n'y arrivent pas c'est qu'ils ne veulent tout simplement pas bosser), les relations pro (comment ça mademoiselle je n'ai pas le droit d'user et abuser de mon pouvoir hiérarchique pour vous en faire voir un peu de toutes les couleurs ?...), les relations familiales inexistantes (comment ça mademoiselle, vos parents ne vous ont pas donnés d'amour ?), et la parano / hyocondriatique (comment ça mademoiselle, vous pensez faire un infarctus à 30 ans...vous êtes complètement parano !)
Ce roman m'a dérangée... je remplis quelques critères que l'auteure nous présente et forcément le livre a fait effet de miroir parfois...
Par contre autant vous le dire tout de suite, je n'ai pas du tout accroché avec la famille de notre héroïne...je crois que le fait qu'elle nomme ses parents "géniteur et génitrice" a tout de suite brisé un lien entre eux et moi...
Mais à côté de cette famille, j'ai trouvé plutôt sympa les moments au travail, j'ai rigolé avec les infarctus. Attention pas de moquerie ! Juste que ça me fait sourire d'imaginer aller aux urgences minimum 1 fois par semaine vu le contexte actuel (soit dit en passant si je ramène le temps attendu aux urgences à ma vitesse de lecture je pense que ma PAL pourrait fondre comme neige au soleil mais ce n'est pas le sujet !).
Ce roman est comme la vitamine C qu'on prend en plein hiver pour affronter les saletés de microbes qui traînent : une bouffée d'oxygène. C'est un livre pour lequel je pensais ne pas accrocher énormément mais il reste un bon souvenir de lecture et une jolie découverte d'auteure parmi les auteurs "plus" connus de la rentrée littéraire.
Je trouve vraiment que ma génération a quelque chose de magique, de singulier...les auteurs sortent des sentiers battus pour nous offrir de nouvelles perspectives sans se soucier tellement si tout le monde suivra et j'adore ça !
Lien : https://leslecturesdelailai...
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"Gaia est Gaia. Gaia habite une sublime vallée italienne où les vieilles femmes persécutent les limaces. Puis Gaia rejoint Venise où les petits chefs des centres d'appels persécutent les étudiantes en langues rares dans son genre. Gaia a un père facétieux quoique fragile. Gaia a une mère patiente mais pas que. Gaia aime les chats et vit en colocation. Gaia n'est peut-être pas hypocondriaque mais est certaine plusieurs fois par semaine d'être victime d'un infarctus, notamment. En somme, Gaia c'est toi ou si ce n'est toi c'est donc ton frère, ta soeur, ta fille ou ta voisine, cette personne humaine magnifique, drôle et d'une énergie rare, cette délicieuse joie." (4ème de couverture)

J'ai retranscrit à dessein cette quatrième de couverture, car une fois n'est pas coutume, elle résume plutôt que le fond, la forme de ce texte. Mal fichu (j'ai du mal avec l'ultime phrase, et avec les autres aussi) et se voulant léger et drôle et ne m'apparaissant que léger. le problème avec l'humour c'est qu'il doit être partagé, et là, je n'adhère pas. Ginevra Lamberti use et abuse des répétitions, comme dans le résumé avec le prénom de son héroïne. C'est bien lorsque ça fonctionne et surtout que ça ne dure pas, le problème étant que ça dure dans ce roman. Long et bavard en plus d'être mal ficelé, ce bouquin n'est pas une réussite, si j'ajoute que les personnages sont survolés, pas travaillés en profondeur, vous aurez une idée plus précise de la vacuité du texte.
Lien : http://www.lyvres.fr/
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Traduit par Irene Rondanini et Pierre Bisiou

Gaïa habite la belle région de la Vénitie, dans une vallée où les grand-mères de son village persécutent les limaces. La jeune femme termine ses études supérieures en langue rare, doit soutenir son mémoire, raison pour laquelle elle se met en stand by sur internet, où elle gère un blog (mais aussi son Facebook et son Twitter, bref, vous voyez le genre ! ;-) ) . En attendant de travailler, elle vit chez sa génitrice, elle voit son géniteur de temps en temps, elle a une grand-mère d'en-haut et une autre d'en-bas. Un de ses passe-temps favoris est d'admirer la fissure dans le plafond de sa chambre. Quand elle n'a rien d'autre à faire. Puis, son diplôme en poche, Gaïa va chercher du travail. Quand on a un master, on doit pouvoir trouver un taf sympa. Enfin, du moins au pays des Bisounours. Parce qu'ici, dans la vraie vie, dans cette région d'Italie, toute sublime soit-elle, on prend ce qu'on trouve. Comme les copains. Même à Venise.

J'ai découvert ce roman par hasard en furetant chez Gibert Joseph. Il était là, posé au milieu des "wagons" éléphantesques de la rentrée littéraire. Une couverture bleue sur orange un peu flashy, un drôle de titre et un nom italien. (J'aime bien l'Italie, dont je trimballe quelques gènes en moi et dont la langue a le dessus sur l'espagnol, en moi aussi :) ). La quatrième de couverture m'a fait penser que ce livre avait l'air fun. Puis je lis que Ginevra Lamberti est blogueuse. Une "copine" de la blogosphère, traduite, ce n'est pas tous les jours. Et c'est pas de la romance. Pour qu'il ait traversé la frontière transalpine c'est que ça doit être du bon. le Serpent à Plumes, en plus ! L'affaire était dans le sac :

Gaïa pose un regard décalé sur l'univers qui l'entoure. Ici on oublie l'image des gondoles vénitiennes à touristes pour voir l'envers du décor.
"Pour se rendre à Venise depuis mon village, il faut prendre un petit train, deux autorails en tôle qui carburent au gazole et qui atteignent en toutes saisons une température d'environ l'enfer sur terre. Une voix mécanique invite les passagers (au nombre de deux) à traverser les quais en utilisant le passage souterrain prévu à cet effet (lequel passage n'a jamais existé)."

Gaïa n'est pas un personnage de révoltée contre la société, mais elle note l'absurdité des choses, d'un monde de fous où les gens sont payés, et pas cher, pour faire un boulot débile, sous l'ordre d'une troupe de petits chefs qui les prennent pour des andouilles. La jeune femme trouve un premier emploi à temps partiel dans un centre d'appel. "Deux mois que je travaille au centre d'appel. A Mestre-tout-court, la canicule chauffe au rouge la gare qui à son tour chauffe à blanc le monde alentour et le monde alentour c'est nous. Même immobile, impossible de respirer. Je ne sors plus, je ne vois plus personne, je ne rentre plus guère dans ma vallée. (...). le mois dernier, je suis allée toucher mon premier chèque, trois cent vingt-quatre euros, soit vingt-quatre euros de plus que mon loyer. J'ai un contrat de vingt heures par semaine et malgré cela les contours de mon existence me semblent de plus en plus flous."
Tout ça quand on a fait des études de langue rare en tadjik, une langue "née de la rencontre du persan et du russe".
Ce roman est parcouru d'un humour corrosif, on se surprend souvent à sourire. Ginevra Lamberti joue avec les mots, les mots qui sont des balles qui rebondissent sous sa plume pour faire ressortir l'absurdité des choses. "Ma mission à l'hypermarché consiste à sourire aux passants et à les convaincre que prendre notre carte de fidélité est ce que la vie peut leur offrir de mieux, d'autant qu'ils peuvent recevoir un carnet en cadeau. L'idée générale veut que les gens souhaitent plus que tout avoir un cadeau."
"Aujourd'hui, je me suis levée, j'ai ouvert la porte et je pense qu'il est clair maintenant pour vous que dehors ce n'est pas Manathan mais la vallée où je vis."

Gaïa est hypocondriaque et fait des crises de panique. On peut comprendre pourquoi. Elle se cherche un place dans le monde entre grand-mère d'en haut, d'en bas, géniteur et génitrice sa vallée et Venise. Elle semble dire : "Et moi, où suis-je?"

Il est clair en tout cas que Ginevra Lamberti est une plume à suivre, un vrai talent qui offre un premier roman original et vraiment différent pour raconter une jeunesse italienne qui tente de s'adapter à un monde du travail (et un monde tout court) devenu absurde, mais n'en pense pas moins. Une pépite de la rentrée littéraire.
Lien : http://milleetunelecturesdem..
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Je tiens à remercier la masse critique de m'avoir envoyé ce livre mais je l'ai malheureusement abandonné, et sachez que j'arrête rarement un livre. Ce livre m'a déplu pour les raisons suivantes. le personnage principale est Gaïa, mais ne savons peu de chose sur elle. Qui est elle vraiment ? Quels sont ses rêves, simplement son âge ? Je ne me sens absolument pas proche d'elle, ce n'est pas un personnage que j'ai trouvé attachants et il ne m'a procuré aucune émotion. Indemne pour les autres personnages qui sont peu développés selon moi, comme les parents de Gaïa qui stagnent au rang de "géniteur", sans prénom, ni histoire digne d'intérêt. Est ce une erreur de traduction, car "géniteur" est un terme peu employé pour désigné les parents en France. Aussi ce qui m'a particulièrement révolté, c'est cette façon qu'à l'auteur d'écrire : ( nous évoquerons ... plus en détail plus loin). Non ! Ce n'est pas du tout intéressant ! Je me suis plus qu'ennuyée dans la centaine de pages que j'ai lu. Je ne comprends pas le but de cette histoire, qui pour moi tourne en rond et ne laisse pas vraiment envisager de fin. Ce livre me fait plus ou moins penser à un journal intime assez flou, désordonné. Les liens entre les différentes idées et paragraphes sont parfois inexistants. Certains jeu de mots, n'étaient pas spécialement drôle... Enfin, mon petit moment de plaisir quotidien est pour ce livre, tombé à l'eau. Je trouve que ce livre ne correspond pas tout à fait à son résumé qui m'avait interpellé. c'est une déception
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Déjà je remercie l'opération masse critique de babelio qui m'a permis de pouvoir lire ce livre. Mais j'avoue que je suis assez perdue. J'ai trouvé ce livre complètement bordélique. C'est un livre écrit par Gaïa, une italienne étudiante, qui bosse dans un call center, qui passe du temps sur les réseaux sociaux, qui est souvent sujette aux crises d'angoisse, qui a une copine cosmonaute et qui habite dans une vallée. Gaïa tente d'entrer dans le monde réel, celui du travail, après ses longues études mais elle retarde un peu le moment. C'est un portrait plein d'autodérision et d'humour noir mais un peu trop exagéré à mon goût. J'ai apprécié les moments où Gaïa cherche un job, surtout celui où elle bosse dans un restau et nous décrit très bien le comportement typique du Client avec un grand C, car je m'y suis reconnue ayant moi-même longtemps bossé dans la restauration. A part ça, j'ai trouvé le tout un peu plat. L'histoire concernant sa famille n'est pas très intéressante, le style est un peu mou et très désordonné, pas mal de répétitions et de clichés. Je n'ai pas réussi à m'y intéresser, j'ai mis du temps à le lire car je n'étais pas du tout dedans. Par contre j'ai trouvé ça sympa qu'elle n'utilise pas de prénom pour les autres perso de l'histoire ; nous avons seulement le droit à : ma génitrice, la psychologue, grand-mère d'en haut, etc.

En bref je n'ai malheureusement pas accroché avec le style de l'auteur, ni avec l'histoire en elle-même que j'ai trouvé fade et bordélique. Seul les passages sur ses recherches d'emploi sont intéressants. C'est bien dommage.
Lien : https://petitpingouinvert.co..
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Alors là ! Difficile d'exprimer mon ressenti.
Gaia, jeune étudiante, trouve ses premiers emplois.
D'une vallée italienne jusqu'à Venise, elle nous fait partager son ressenti et ses expériences.
La plupart des chapitres, commencent par « Aujourd'hui, je me suis levée, j'ai……. »
De nombreuses parenthèses pour dire « Je vous en parlerai plus tard » ou « Comme je l'ai déjà dit »
Tout ça pourrait être assez sympathique, si, entre autre, elle nommait ses parents autrement que « mon géniteur » ou « ma génitrice ». Parents bien particuliers d'ailleurs, surtout le père.
Bref, une impression de tourner en rond, de revenir toujours à la même chose, à la manière d'un autiste.
Quant à sa vie sociale et professionnelle, j'ai trouvé cela confus, bizarre, peu clair.
Le style est étrange lui aussi, peu fouillé, peu agréable.
J'ai eu du mal à terminer le livre
Merci cependant à Masse critique et aux éditions le serpent à plumes
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ce récit verse largement dans l'autofiction et parle aussi pas mal de réseaux sociaux.

Ecrit par une blogueuse italienne étudiante en call center, on est plongé dans le quotidien d'une jeune italienne étudiante en call center ( sic) qui a beaucoup de mal à trouver sa place dans une société italienne particulièrement précaire, traité avec un regard décalé, peu d'humour noir et un grain d'autodérision.

Ca pourrait être drôle et bien vu, mais tout est trop tiré à l'extrême et verse trop dans la caricature pour convaincre.

Une fois encore, l'ensemble est bien inégal : si les parties concernant le marché de l'emploi et les recherches de job sont plutôt croustillantes, tout ce qui concerne l'intime et la famille de la narratrice manquent singulièrement d'intérêt .

Bref, on a affaire à un de ces livres vite lus vite oubliés.... dommage car on est toujours curieux d'avoir des nouvelles de la littérature italienne..
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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