Citations sur Ce pays de rêve, tome 1 : Les surprises du destin (19)
Les fourrures les plus riches sont celles que portent les animaux en hiver. Il faut donc les négocier au printemps.
Nous t’apprendrons tout: à marcher, parler, rire, écrire, compter… Mais pour ce qui est de pleurer, tu l’apprendras bien tout seul.
l n’y a rien de plus menteur que le fléau à la balance du meunier.
Femme sans vice, curé sans caprice et meunier fidèle, c’est trois miracles du ciel.
Quatre-vingt-dix-neuf pigeons et un meunier font cent voleurs.
Un inventaire, vous le savez mieux que nous, ne se fait pas les yeux fermés. Il n’y a pas un seul objet de cette maison et des dépendances qui doit nous échapper, pas plus qu’un animal d’ailleurs, ne serait-ce qu’une poule. Il y va du bien de chacun des héritiers.
Un homme averti en vaut deux. Nous aurons l’œil ouvert.
Ce que parfois les lèvres sont contraintes de dire, le cœur ne l’approuve pas.
Tu iras très loin d’ici où les esprits n’ont guère été dérangés. Quand tu seras en ces lieux, n’oublie pas que je te l’avais prédit. À un endroit, que tu verras d’abord en songe, tu trouveras une large rivière, ses eaux couleront sur l’or. Si tu es alors maître des esprits, toutes ces richesses t’appartiendront. Tu seras dans ce pays de rêve