Un inventaire, vous le savez mieux que nous, ne se fait pas les yeux fermés. Il n’y a pas un seul objet de cette maison et des dépendances qui doit nous échapper, pas plus qu’un animal d’ailleurs, ne serait-ce qu’une poule. Il y va du bien de chacun des héritiers.
Tu iras très loin d’ici où les esprits n’ont guère été dérangés. Quand tu seras en ces lieux, n’oublie pas que je te l’avais prédit. À un endroit, que tu verras d’abord en songe, tu trouveras une large rivière, ses eaux couleront sur l’or. Si tu es alors maître des esprits, toutes ces richesses t’appartiendront. Tu seras dans ce pays de rêve
— Pourquoi dites-vous “de la belle ouvrage”? Ne doit-on pas dire “du bel ouvrage”?
— Tu ne sais donc pas que parmi les charpentiers et les hommes de métier, cette façon de dire est consacrée? Quand nous disons “de la belle ouvrage”, nous parlons de quelque chose qui atteint quasiment la perfection.
Nous t’apprendrons tout: à marcher, parler, rire, écrire, compter… Mais pour ce qui est de pleurer, tu l’apprendras bien tout seul.
Les fourrures les plus riches sont celles que portent les animaux en hiver. Il faut donc les négocier au printemps.
Pour sa saga historique le temps de de le dire, l'auteur de bestsellers Michel Langlois s'est inspiré de l'endroit où il demeure, Drummondville au Centre-du-Québec.
Nous l'avons visité pour qu'il nous parle plus de sa série, dont le cinquième et dernier tome sortira sous peu en librairie, et pour qu'il nous présente les lieux et événements réels qui se cachent derrière la fiction.