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Critique de NicolaK
Terminé, le mini marathon Shari Lapena, dont les livres se suivent mais ne se ressemblent pas. Autant j'ai été enthousiasmée par son précédent roman, Un assassin parmi nous, autant celui-ci m'a un peu déçue.
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Dans le prologue, nous découvrons une femme et un assassin de genre indéterminé. La femme est devant une fenêtre, elle se retourne et là... l'assassin dans la tête duquel nous sommes pense : "Nous savons tous les deux que j'ai un marteau à la main." Sans blague...
Et le (ou la) voilà qui explose allègrement et de bon coeur la tête de la dame avec son marteau.
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Sans transition, l'auteur nous entraîne ensuite dans une charmante petite bourgade, Aylesford, dans la vallée de l'Hudson.
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C'est calme, c'est tranquille, vous voyez le genre, tous les voisins se connaissent, ça va chez l'un et chez l'autre, les maris ont de bonnes situations et ces dames restent à la maison.
Elles se réunissent même régulièrement à domicile pour leur club de lecture, c'est pour dire comme c'est paisible.
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Et puis d'un coup, tout vole en éclats. Robert va voir la police pour signaler la disparition de sa femme, et on apprend que les ados sont finalement... des ados, à savoir qu'ils sont maintenant loin de l'étape charmant poupon et qu'ils commencent à faire des leurs.
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Sur ces entrefaites, la femme au marteau est découverte par les autorités compétentes et n'ayons pas peur des mots, ça jette un froid.
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Bien entendu, la police enquête et on découvre tous les petits secrets que chacun cache... et il s'en passe des choses, mine de rien dans ce patelin tranquille.
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Pendant tout le bouquin, on va donc découvrir tout plein de choses sur ces charmants voisins... un jour ils disent un truc aux flics, jurent qu'ils ne savent rien de plus, puis le lendemain retournent au commissariat parce que finalement ils n'ont pas tout dit...
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Bon, le livre se lit très vite grâce aux courts chapitres et aux rebondissements constants, mais c'est un peu lassant ces interrogatoires et découvertes sur les uns et les autres.
Si les personnages sont bien décrits, on ne s'attache à aucun, en fait on s'en fiche un peu de leurs histoires. Ça manque un peu de passion, tout ça.
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Je dirais qu'Une voisine encombrante se laisse lire, mais que je n'en garderai pas un souvenir impérissable. de plus, cerise sur le gâteau, on a droit à une fin ouverte, du genre que je n'aime pas du tout puisqu'on reste vraiment sur notre faim et qu'on ne peut élaborer aucune hypothèse.
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Mais bon, ce n'est que mon avis, et libre à vous de vous faire le vôtre.
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Dans le prologue, nous découvrons une femme et un assassin de genre indéterminé. La femme est devant une fenêtre, elle se retourne et là... l'assassin dans la tête duquel nous sommes pense : "Nous savons tous les deux que j'ai un marteau à la main." Sans blague...
Et le (ou la) voilà qui explose allègrement et de bon coeur la tête de la dame avec son marteau.
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Sans transition, l'auteur nous entraîne ensuite dans une charmante petite bourgade, Aylesford, dans la vallée de l'Hudson.
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C'est calme, c'est tranquille, vous voyez le genre, tous les voisins se connaissent, ça va chez l'un et chez l'autre, les maris ont de bonnes situations et ces dames restent à la maison.
Elles se réunissent même régulièrement à domicile pour leur club de lecture, c'est pour dire comme c'est paisible.
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Et puis d'un coup, tout vole en éclats. Robert va voir la police pour signaler la disparition de sa femme, et on apprend que les ados sont finalement... des ados, à savoir qu'ils sont maintenant loin de l'étape charmant poupon et qu'ils commencent à faire des leurs.
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Sur ces entrefaites, la femme au marteau est découverte par les autorités compétentes et n'ayons pas peur des mots, ça jette un froid.
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Bien entendu, la police enquête et on découvre tous les petits secrets que chacun cache... et il s'en passe des choses, mine de rien dans ce patelin tranquille.
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Pendant tout le bouquin, on va donc découvrir tout plein de choses sur ces charmants voisins... un jour ils disent un truc aux flics, jurent qu'ils ne savent rien de plus, puis le lendemain retournent au commissariat parce que finalement ils n'ont pas tout dit...
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Bon, le livre se lit très vite grâce aux courts chapitres et aux rebondissements constants, mais c'est un peu lassant ces interrogatoires et découvertes sur les uns et les autres.
Si les personnages sont bien décrits, on ne s'attache à aucun, en fait on s'en fiche un peu de leurs histoires. Ça manque un peu de passion, tout ça.
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Je dirais qu'Une voisine encombrante se laisse lire, mais que je n'en garderai pas un souvenir impérissable. de plus, cerise sur le gâteau, on a droit à une fin ouverte, du genre que je n'aime pas du tout puisqu'on reste vraiment sur notre faim et qu'on ne peut élaborer aucune hypothèse.
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Mais bon, ce n'est que mon avis, et libre à vous de vous faire le vôtre.
