Une littérature peut avec le temps, -car trop marquée par la sociologie d'une période donnée-, revêtir un halo désuet, suranné, mais charmant.
Ici, la lecture de Larbaud devient pénible.
En cette occurrence, ce n'est pas temps, le contexte qui dérangent.
Ou pour être précis, c'est précisément le contexte politique de son époque, qui rend la lecture pénible.
Ouvertement affiché: un racisme, une hiérarchie dans les rapports homme/femme qui jamais, n'auraient dû appartenir à une époque particulière.
Pour rappel, bien après la 2eme guère, Larbaud à adhéré à
L Association des amis de
Robert Brasillach...
De ce point de vue, l'oeuvre est en accord avec la biographie de l'auteur.
Sans nouveautés particulières, ce petit roman est néanmoins assez bien fait.
Mais les émanations nauséabondes de certaines scènes rendent la lecture fastidieuse..