Beautiful sex bomb

- Il avait l'air de penser qu'on était des trous du cul
- Nous sommes des trous du cul
Il n'a pas tort

- J'ai tellement hâte que tu deviennes M. Bennett Mills.
Mes yeux s'écarquillent.
- Quoi?
- Tu m'as entendue, fait-elle en riant, de sa voix basse et enrouée.

Mes pensées sont occupées par Sara. Elle a dit qu'elle me désirait tant qu'elle se sentait déchirée.Mon Dieu, cette affirmation me rend fou, une fois de plus.

– Tu ressens quoi ? parviens-je à articuler, les lèvres contre son oreille. Puissance ? Contrôle ? Tu es là, les yeux bandés, attachée à une table, et je suis perdu en toi. Je suis si perdu en toi, putain, que j’ai du mal à reprendre mon souffle.

En respirant lourdement, elle semble se noyer dans la table, repue :

– De l’amour.

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– Pose ta main sur ta cuisse, la paume en l’air, et relève le nombre dedoigts sur lesquels tu veux que je m’empale.

Est-elle sérieuse ? Sans la quitter des yeux, je glisse ma main sur ma jambe, la paume en l’air et tends mon majeur :

– Voilà.

Elle regarde vers le bas et glousse.

– C’est un bon choix, mais je mérite peut-être un doigt supplémentaire. Je voudrais quelque chose qui se rapproche un peu plus de ta queue.

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Aucun d'entre eux n'est plus grands que moi mais, j'ai la très nette impression que leur entrainement de lutte est bien plus au point que le mien.

Je suis impatient que tu trouves la fille exceptionnelle qui fera trembler le sol sous tes pieds. Tu penses que tout peut être organisé, planifié. Tu penses que ton appartement de célibataire mal rangé, le triathlon, ton boulot et tes plans-culs réguliers te suffisent. Mais quand cette fille arrivera, je te dirai que je te l'avais dit, et je n'aurai aucune pitié pour toi quand tu seras devenu un connard fou amoureux.

- Absolument. Et elle était... je soupire en me rappelant l'apathie totale de la soirée. Elle n'était pas mal du tout. Mais elle n'était pas toi. Tu m'obsédais horriblement. J'adorais t'énerver. J'adorais te rendre folle, parce que j'étais le centre de ton attention pour un instant, même si tu me détestais.

Max s'impatiente :
- Je veux la retrouver, vieux. Je dois être honnête. Elle est là et elle... eh bien, j'aimerais la revoir. Il me regarde, j'acquiesce. Je le comprends : "Will ne me foutra jamais la paix s'il réalise que je ne suis pas capable de passer un week-end entier sans la voir.
Tu le connais. Je l'adore, mais il nous traque assez comme ça."

Elle appuie un doigt sur mes lèvres avant de le coincer entre nos deux bouches par un baiser rapide.
- Je suis seulement contente d'avoir raison. Max me doit cinquante dollars. Je lui ai dit que tu détesterais qu'une inconnue te fasse une lap-dance. Ta limite, c'est l'infidélité.