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3,18

sur 88 notes
Imaginez-vous vivant à Londres en 1944, privé de ressources pour subsister correctement, paranoïaque car engoncé dans la crainte permanente de périr, bombardé avec insistance par l'aviation allemande menaçant de vous souffler à chaque instant. Ah oui, d'un seul coup 2015, c'est plus sympa.

Comme nous sommes dans un roman policier, c'est à une enquête dans l'environnement historique de la seconde guerre mondiale que nous serons confrontés. Une série de meurtres étranges à résoudre ; une intrigue cosmopolite. Jugez plutôt : Des russes, des allemands, des américains, des anglais. It's a small World diraient nos poupées disneyéennes. Sauf que Disney n'a pas droit de cité ici. Et que toutes ces nationalités vont se déchirer pour être celle qui profitera au mieux de la guerre finissante.

Roman typiquement English mais savoureux. Drôle, bien mené et à l'écriture enlevée. John Lawton nous transporte dans un monde au bord de l'apocalypse.

Son héros, Troy, est un lieutenant de Scotland Yard pour qui traquer un meurtrier est la seule raison d'exister, de s'affirmer et de trouver son identité, lui le fils d'immigrés russes.
Ce garçon, malin comme un singe, ne saura éviter ni les coups ni les blessures. Si vous avez des notions de couture humaine, ce sera précieux pour l'aider.

Un livre enthousiasmant aux personnages hauts en couleur, certains ténébreux et froid comme le voile de la fossoyeuse se déposant lugubrement sur vos épaules ; d'autres gais comme des pinsons, comme si des luthiers lilliputiens venaient construire des instruments magiques aux cordes joyeuses dans votre cœur.
Un roman double face donc, alternant les moments légers aux événements plus tragiques.

Dommage cependant que Lawton n'évite pas certaines longueurs faisant trop piétiner son intrigue au risque d'être redondant.
Cela ne nuit en rien au plaisir de la lecture mais l'empêche d'accéder aux plus hautes marches du polar contagieux.

De l'espionnage, de l'intrigue policière des meurtres, du sexe et de l'amour, John Lawron convoque toutes les muses du roman, les noue dans un sac et l'agite dans une partouze livresque du meilleur effet.
Entre fausse ingénue et anglaise perverse, notre héros ne sait plus à quel sein se vouer. Et les tétons t'étonnent quand tu les tâtonnes, le sais-tu ?

Ce roman est aussi délicieux qu'une tasse de thé agrémentée d'un nuage de lait et d'un délicieux morceau de pain d'épices. Prosper youpla boum !
3,5/5
Lien : http://cestcontagieux.com/20..
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Si j'ai apprécié ce roman, c'est essentiellement pour la description de la vie des londoniens pendant la seconde guerre mondiale et pour son personnage principal, le lieutenant Frederick Troy. « Tout bien considéré, le fait d'être flic était la meilleure des excuses à sa solitude égoïste. » Seulement, sa solitude est vite chamboulée par l'arrivée d'une suspecte splendide, Lady Diana Brack, de la haute qui cherche à s'encanailler en fréquentant un groupe de militants communistes. J'ai trouvé que le rendu permet de se plonger dans vapeurs de poussières asphyxiantes après un bombardement, cachés dans un couloir de métro, et de sentir la présence de toutes ces nationalités qui se mélangent dans les rues de Londres à cette période. L'histoire en revanche n'a pas été aussi prenante que je l'espérais, mais cela reste un roman policier historique très plaisant, avec une description des personnages, même secondaires, très agréable et bien faite.
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1944, Londres croule sous les bombardements, son métro est transformé en ville souterraine où viennent s'y réfugier ses habitants à la moindre alerte. Des enfants jouent parmi les gravas d'un immeuble, l'un d'entre eux reste un peu à l'écart. Il observe l'étrange manège d'un chien qui tient dans sa gueule…un bras humain, et vient le déposer à ses pieds avant de repartir roder ailleurs. Un bras dont le propriétaire a manifestement été assassiné…

Le lieutenant Frederik Troy va se trouver chargé de l'enquête. Ayant choisi de rester à Scotland Yard plutôt que de rejoindre l'armée au risque de passer pour un planqué, il va se trouver mêler à un affaire aussi complexe que dangereuse…Tous les ingrédients d'un bon roman d'espionnage sont réunis : des cadavres de savants allemands, des agents russes, des services secrets américains, la police anglaise et deux femmes mystérieuses, belles, élégantes, parfumées et irrésistibles…Mais qui sont-elles réellement ?

John Lawton nous offre à la fois une reconstitution historique très réussie et un roman policier palpitant dans lequel on ne trouve pas le temps de s'ennuyer. Alors que la seconde guerre mondiale touche à sa fin et que se dessinent les prémisses de la guerre froide, nous sommes entrainés à la suite de notre jeune héro dans les coulisses de l'Histoire à la recherche d'une vérité que dissimulent bien des mensonges…

Merci à Babelio, aux éditions 10/18 et à la SNCF pour la découverte de ce nouveau « grand détective ».
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Londres 1944. Tous les jeunes sont entrés en guerre. Tous ? Non, Fred Troy a préféré rester sur place. Agent de Scotland Yard, il traque assassins et malfaiteurs de tous poils, car en temps de guerre le crime organisé, ou pas, est toujours présent et même en recrudescence.
L'affaire qui l'occupe ici commence avec un bras. Un bras ? Oui, trouvé par des gamins dans les décombres. Ce bras appartient à un Allemand. Un scientifique allemand. Y aurait-il un espion infiltré ? Difficile de répondre pour l'instant car voilà que d'autres corps sont retrouvés et liés au premier meurtre. Peu à peu, les indices mènent vers un Américain appartenant aux services secrets. Meurtrier, traitre, en service commandé ? le lieutenant Troy va mettre toute son énergie, son talent et sa hargne pour trouver la vérité...

De suspens, en suspens, Lawton nous emmène dans le chaos de Londres organisé par les bombardements de la Luftwaffe. On renifle la poussière des bombes autant que l'odeur nauséabonde des jeux de pouvoir, on pénètre dans le haut commandement des forces armées, des services secrets américains, on assiste les grandes puissances dans le dénouement de ce conflit mondial. On croise Anglais, Allemands, Américains, Soviétiques et on poursuit même la quête du Lieutenant Troy jusqu'à Berlin après l'armistice...

Le contexte historique est remarquablement décrit. de plus, le texte de Lauwton est truffé de références littéraires (je regrette ma maigre culture dans ce domaine pour apprécier véritablement toutes ces citations), musicales et cinématographiques. Donc amateurs de thrillers, de romans d'espionnage et de littérature anglaise, ce roman vous est destiné. Il se lit facilement et même se dévore, et il va vous falloir ouvrir les yeux malgré le black out pour suivre l'hyperactif lieutenant.

Un grand merci à Babélio et à l'équipe Prix SNCF du polar pour m'avoir envoyé ce roman qui fait partie des dix titres en compétition pour l'année 2016.

Lien : http://mes-petites-boites.ov..
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Une plume facile pour un récit consensuel, un polar "à l'ancienne", avec ambiance en toile de fond, de Londres sous les bombes, Londres qui résiste, Londres qui crève de faim, Londres qui ramasse ses morts, et parfois même, des morts suspectes...
Personnellement, j'ai eu du mal à accrocher à cette histoire. le personnage principal est très sommairement amené ((il faut sans doute avoir lu les précédents ouvrages pour avoir fait connaissance...), et le tout est à l'avenant, direct, sans fioritures.
Mais ça m'a laissée de marbre tout ça, cette histoire d'espionnage, de nazis, de scientifiques cachés...
Merci quand même à Babelio et aux éditions 10/18, ainsi qu'à l'opération "Polar SNCF", pour ce livre que je met dans ma liste : à échanger, car ce n'est pas parce qu'il ne m'a pas séduite qu'il ne plaira pas à quelqu'un d'autre ! ;)
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L'histoire démarre avec la découverte d'un bras et de Troy, policier britannique qui va enquêter et découvrir que plusieurs meurtres sont en réalité liés.

J'ai eu beaucoup de mal à me plonger et à accrocher dans l'histoire au début, cependant à partir de la deuxième moitié du livre j'ai commencé à plus apprécier ma lecture.

Petit point bonus également pour plein de détails sur les conditions de vie des britanniques lors de la seconde guerre mondiale.
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♫ Excuse-me Sir mais j'entends plus Big Ben qui sonne, les avions bourdonnent, c'est la folie à London !

♫ Et les allemands bombardaient, et les allemands bombardaient…

Un roman qui me colle encore au coeur et au corps ♪ (mes excuses à Voulzy pour le détournement de sa chanson !) tant je viens de vivre une époque que je n'ai pas connue mais dont l'auteur nous a brillamment rendu compte !

Encore un peu et j'allais fermer mes rideaux spécial black-out moi… et planquer du bon café en prévision de la diète qui sévit et sévira encore après la guerre à Londres.

C'est fou ce que les gosses peuvent trouver comme ossements en jouant ! Dans « La femme en vert » d'Indriðason c'était un bébé qui mâchouillait un ossement humain, ici, c'est un chien, qui, en tant que bon chienchien, dépose un bras humain au pied d'un des gosses qui regardait ses amis jouer à la marelle.

Une enquête qui se révèlera pas facile pour le lieutenant Frederik Troy de Scotland Yard, qui, tout comme l'inspecteur Linley d'Elizabeth George provient d'une bonne famille.

Comme je le disait, l'ambiance « guerre » est bien décrite, bien rendue. Nous sommes en février 44 et notre inspecteur aura l'impression qu'un Jack The Ripper (pour hommes) a sillonné les rues car il y avait eu un autre cadavre l'année d'avant, une disparition ensuite et des tas de trucs louches qui vont se passer devant les yeux de Troy qui ne verra pas toujours la vérité dans les ténèbres.

On alterne souvent les moments moins drôle tels les bombardements où l'extrême misère dans laquelle vivotent certaines personnes, avec des touches d'humour, notamment en la personne du légiste haut-en-couleur, Ladislav Kolankiewicz, de la culture générale avec des références littéraires, politiques, militaire,…

Du sexe aussi, parce que oui, Troy ne fait pas que travailler ses petites cellules grises, mais aussi son engin – bien qu'on reproche aux Anglais d'être coincé du cul, même si, en cette période où l'on peut mourir à tout moment, le sexe à tout-va et avec le(la) premier(ière) qui passe soit devenu sport national.

Non seulement, Troy paiera de sa personne en étant moult fois blessé, mais il fournira aussi quelques millilitres de liquide séminal à deux femmes. Pourtant, c'est un grand coincé qui fait l'amour toutes lumières éteintes…

La Luftwaffe ne nous laisse pas répit, les morts, le chef et les femmes en chaleur non plus… Heureusement que pour nous réjouir, nous avions les personnages dont j'ai ressenti de l'attachement pour eux, surtout pour Troy, son adjoint, Wildeve et le légiste.

Un mélange de polar historique, sur fond de guerre et d'espionnage, sans pour autant verser dans un roman de John le Carré.

Un enquête difficile, des preuves qui n'arrivent pas à la pelle, malgré le côté Holmes du légiste (une monographie sur les boutons de manchettes allemands, cher Ladislav ?), de l'humour, du sexe, des morts, une plume qui nous entraine au fil des pages et, hélas, quelques longueurs à un moment donné.

Pas au point de gâcher la lecture, mais il y avait moyen de passer outre, je pense. Notamment, cette enquête sur le crime du Black Swan n'était pas indispensable. Sans ces quelques longueurs, j'aurais mis un 4/5, mais là, ce sera un 3,5 et ce n'est en rien une punition, j'ai passé un super moment sous les bombes.

Dans ce roman, tout le monde en prendra pour son grade grâce à quelques petits détails piquants insérés dans le récit. Que ce soit envers les Américains, les Anglais, leurs collèges huppés, les flics pas très malins, l'homosexualité (du moins, comment elle été tolérée), les moeurs débridés des femmes en ces temps de guerre, les clichés…

Y'en aura pour tout le monde !
Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Mouais mouais il y en a à prendre et à laisser.
D'abord, ça met longtemps à démarrer. Jusqu'à environ la moitié du livre, j'ai cru que j'allais passer à autre chose. Ca s'emballe sur la fin.
A prendre : Londres, toujours intéressante, la Londres victorienne de Dickens rasée, les quartiers chauds du XIXème siècle ( Whitechapel...) qui semblent paradoxalement s'intégrer à la ville par effet de destruction globale et égalitaire de tous les quartiers. Ca fait drôle, on sent que le monde change. L'intrigue, qui finit par devenir intéressante quand elle vire à l'espionnage. Troy, le héros, comique malgré lui, qui finit régulièrement en lambeaux et ressuscite, se cognant à toutes les brutes russes, américaines, anglaises qui traînent dans la cité. Tosca la mini blonde mini bombe.
A laisser : je ne sais pas le définir, une impression de langueur qui fait qu'on n'arrive pas à adhérer complètement. Il y a quelque chose là-dedans qui manque d'intérêt, de précision. C'est peut-être dû à l'écriture, ou aux caractères trop peu approfondis des personnages, qui demeurent malgré tout des silhouettes à peine esquissées. Troy : qu'est-ce qui l'anime ? On a des bribes, mais c'est vague. Tosca : pareil. Lady Diana : rien compris à ses motivations. Wayne : idem. Et puis les Soviétiques semblent bien cool. Et puis finalement, pourquoi tous ces meurtres ? N'ai-je rien compris ? Angoisse.
Note : la moyenne, 2.5.
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Londres, 1944. Sous les raids aériens qui continuent de faire souffrir une ville déjà exsangue, Frederick Troy, jeune policier qui a préféré rester à Londres que s’engager, s’intéresse à un bras retrouvé par des gamins jouant dans les décombres. Bizarrement, il ne s’agit pas d’une victime de bombardement, et le jeune détective de Scotland Yard fait le lien avec plusieurs disparitions de scientifiques réfugiés. S’ensuit une patiente, mais dangereuse recherche, agrémentée de rencontres pas dénuées d’intérêt pour le jeune homme.

J’ai choisi Black-out pour l’opération Babélio/prix du Polar SNCF, et d’être à Londres sous les bombes allemandes m’a fait réaliser la capacité de résilience des peuples. On s’immerge dans l’atmosphère de la ville martyrisée, et l’effet est saisissant de voir, même si je le savais déjà, comment les londoniens continuent à vivre, bien que la ville soit bombardée toutes les nuits, bien qu’ils manquent de tout. C’est plutôt rassurant, finalement, cette leçon venue du passé.

Quant à l’intrigue, elle est passionnante à souhait, compliquée sans être embrouillée, détaillée sans longueurs. L’auteur fait preuve de finesse lorsqu’il décrit les relations entre différents policiers, car plus que des oppositions de caractères, ce sont les écarts d’âge ou de classe sociale qui transparaissent. Fred Troy est un policier atypique, jeune célibataire d’origine russe et bourgeoise, cultivé, et surtout doté d’une obstination remarquable (ce qui est évidemment préférable pour un policier de roman, sous peine de voir celui-ci se terminer au bout de 65 pages).

Le roman dans son ensemble sonne très anglais, avec une certaine rigueur, un goût du détail juste, qui n’empêchent pas l’humour d’affleurer souvent, et pas toujours lorsqu’on l’attend. Je crois qu’il s’agit du premier et seul roman de l’auteur traduit en français, mais je retrouverais bien volontiers ce détective si la suite vient à paraître.

A noter, je le signale gentiment, au moins deux coquilles (pages 92 et 215), qui mériteraient d’être corrigées…
Lien : https://lettresexpres.wordpr..
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Dans la fantastique série Grands Détectives, voici le lieutenant Frederick Troy de Scotland Yard, un personnage qui ne manque pas de sel, plongé dans un Londres martyrisé par les bombardements allemands. Nous sommes au début de 1944, la capitale britannique souffre depuis quatre ans, ses habitants ont appris à vivre dans les abris du métro, les gamins jouent dans les décombres, une foule cosmopolite mêlant exilés, combattants et espions attend avec espoir le futur débarquement annoncé par des rumeurs incessantes et la présence de l'État Major américain. Ce contexte, extrêmement bien restitué, c'est sans aucun doute le point fort de ce polar qui flirte avec une belle réussite du côté du roman d'espionnage.

Le second point fort, c'est son héros. le lieutenant Troy a choisi de rester à Scotland Yard plutôt que de s'engager dans l'armée. Il faut dire qu'en période de guerre, le crime continue, pourquoi en serait-il autrement ? Souvent critiqué pour ce choix, regardé de travers, soupçonné de lâcheté, il mène ses enquêtes sans se préoccuper de ce que l'on pense de lui, obsédé par la justice, fin limier et doté d'une excellente intuition. Benjamin d'une famille émigrée de Russie en 1905, il est aussi son seul membre à être né sur le sol anglais. Son père ayant bâti un empire de presse, il a navigué dans un milieu aisé et côtoyé un microcosme proche du pouvoir. Son caractère est marqué par ses origines slaves, teinté d'une certaine mélancolie et qui lui offre une sorte de recul de vue par rapport à la société britannique. Ce qui nous vaut quelques observations savoureuses tout au long du roman. Et offre un intérêt particulier dans ce contexte où se mêlent des populations de toutes les origines, véritable melting-pot de circonstances et qui n'est pas anodin dans le déroulement de l'intrigue.

Car oui, c'est la guerre, mais les gouvernements n'ont pas que cette seule préoccupation. Parallèlement aux manoeuvres et à la préparation du débarquement, on s'inquiète déjà de l'après. Et notamment des menaces que représentent les communistes pour les États-Unis (une obsession, on le sait). Pour l'heure, quelqu'un sème des cadavres dans Londres en se donnant beaucoup de mal pour les faire disparaître. Quand il s'avère qu'ils sont tous allemands, la perplexité gagne Scotland Yard car ils n'ont jamais été répertoriés. Impossible dans ce cas de ne pas inclure le MI5 ni de remonter jusqu'aux États-Majors américains qui semblent impliqués. Pour le lieutenant Troy, ce n'est que le début d'une longue traque qui changera quelque peu sa vision du monde et au cours de laquelle il frôlera plusieurs fois la mort.

Savants allemands à exfiltrer, femmes fatales, agents doubles, sirènes d'alerte, tueurs à gages... L'intrigue est menée tambour-battant, on ne s'ennuie pas. Ce polar possède également ce petit supplément d'âme qui le rend intéressant au-delà de son intrigue policière. Il offre une plongée sidérante dans le Londres de la fin de la guerre, sorte de vision d'apocalypse ainsi qu'un tableau plutôt fin de la nature humaine. de la belle ouvrage !
Lien : http://www.motspourmots.fr/2..
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