[...]tout comme les jeunes gens attendent avec impatience leur anniversaire, je ne peux m'empêcher de me demander à quoi ressemblera ma mort. Vous pouvez peut-être vous offrir le luxe de penser à autre chose, mais moi, la mort est le prochain grand événement qui m'attend.
Et je comprends seulement alors que, si elle garde mon secret, c'est parce que voler est une responsabilité, c'est se donner le pouvoir de changer les choses, et pas seulement une toquade.
Personne n'est parfait, jusqu'au jour de ses funérailles !
Ils ignoraient que ce qui me manquait le plus n'était pas mon écriture, qui avait été belle, ni mon mari, assez beau lui aussi, mais mon avenir. L'avenir renfermait tant de promesses et d'espoir autrefois ! La pire des pertes, c'était de n'avoir plus rien à attendre.
Tu ne dois pas écrire pour devenir écrivain, mais parce que tu as quelque chose à raconter.
Ce qu'il y a de bien lorsqu'il y a un décès dans une famille, c'est que les gens sont un peu plus gentils, du moins pour un certain temps.
Ce qu'il y a de bien lorsqu'il y a un décès dans une famille, c'est que les gens sont un peu plus gentils, du moins pour un certain temps, (…).
Aujourd'hui, je comprends à mes dépens que jouir de la solitude et être seule sont deux choses complètement différentes.
"toute famille a ses secrets, qui ne comptent généralement que pour ceux qui les garde."
C’est Toby mon abruti de frère, qui a vu l’annonce dans le Pittsburg Past-Gazatte. « hé, écouté ça : ‘’Recherchons écrivain. Talent non exigé !’’ Ils parlent de toi, Elyse ! » Notre père a dit que ces gens semblaient bien désemparés et ma mère s’est inquiétée à propos de la formule « ouvert à tous ! »