Il faut comprendre notre vulnérabilité que certains s’efforcent d’exploiter.
Il faut mondialiser ce qui est coopératif et démondialiser ce qui est toxique.
La nature doit être source d'inspiration car elle fonctionne selon des principes de coopération et de partage.
Pour rester libre, il faut se fixer des limites.
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Notre époque se caractérise par la profusion des moyens et la confusion des intentions (A. Einstein)
page N°252-253 : N.H. : - "Dans l'un des premiers livres que j'ai écrits, "états d'âme" en 1990, j'avais mis une phrase en exergue qui prêtait à discussion : "Le bonheur est un état d'inconscience." Que voulais-je dire par là ? Si nous regardons le monde tel qu'il est, avec toute notre sensibilité et notre empathie, il est difficile d'être heureux, même si nous avons le droit de l'être." Nicolas Hulot : D'un monde à l'autre : Le temps des consciences
N.H : C'est vrai que les personnes spirituelles ont toujours beaucoup d'humour. J'aime cette phrase du dalaï-lama, à la fois profonde et drôle : "Si vous avez l'impression d'être trop petit pour pouvoir changer quelque chose, essayez donc de dormir avec un moustique et vous verrez lequel des deux empêche l'autre de dormir !.
N.H. : La diversité, à la fois cuturelle et biologique, est nécessaire, car plus les connaissances, les expériences et les outils sont variés, plus l'être humain a de chances de bénéficier d'enseignements utiles pour surmonter les aléas de la vie. Un des drames qui frappe nos sociétés, sans même l'émouvoir, est malheureusement l'homogénéisation des cultures et de l'économie.
"Celui qui croit que la croissance peut être infinie dans un monde fini est soit un fou, soit un économiste". Kenneth E. Boulding
"Si vous voulez enterrer un problème, nommez une commission" disait Georges Clemenceau.