On s'ennuie. il n'y a que 320 pages, et je met aussi longtemps à le lire que 800 pages de Grangé ! L'histoire, ben, creuse et moins profonde qu'un canal de Venise. Cette ville on a envie de la découvrir, car, par contre,
Donna Leon en parle beaucoup, les canaux, les vaporetti, et la nourriture, le soleil, les taches de moisissure au plafond, la chaleur (encore, et encore...). Mais d'une histoire policière, on en parle... un peu. de temps en temps, entre 2 phrases sur le monde et son manque de scrupules, et la vie quotidienne de Brunetti. Si, au demeurant, ces remarques peuvent être d'un certain intérêt, je n'achète pas un polar pour ça !! On cherche l'intrigue. La remarque du "times" : "on ressent la tension, l'horreur, mais aussi e l'émerveillement!" me semble être un copié/collé d'un autre livre... car il n'y a rien de tout cela. Surtout pas l'horreur, à part le café pas bon, à peine la tension, cardiaque de Brunetti du fait de la chaleur, et l'émerveillement, certes, des gondoles et calles... Je suis méchant, mais ça doit être parce que je suis très déçu. On s'ennuie..............