AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations sur Une enquête du commissaire Brunetti : Le prix de la chair (27)

Ces étrangères ne possédaient rien et, du coup, ne pouvaient se permettre de refuser un client, quelles que soient ses exigences. Elles (et les accros à la drogue) étaient les pires, acceptaient n’importe quoi, pouvaient être forcées de faire n’importe quoi. Totalement réduites à l’esclavage, elles étaient victimes des pires sévices et la plupart étaient porteuses des plus redoutables maladies.
Commenter  J’apprécie          00
Elles n’avaient pas de papier, se croyaient criminelles du seul fait de leur présence sur le territoire italien ; certaines n’apprenaient même jamais l’italien. D’ailleurs, ce n’était pas comme si elles exerçaient une profession dans laquelle une brillante conversation était un atout important.
Commenter  J’apprécie          00
Les bordels des pays développés se remplissaient de sujets exotiques aux cheveux noirs, à la peau sombre des femmes thaï, dont les manières douces et soumises flattaient tellement le sentiment masculin de supériorité ; les métisses de la Dominique – et l’on sait combien les Noires « aiment ça » ; et bien entendu les Brésiliennes, ces Cariocas au sang chaud nées pour devenir des catins.
Commenter  J’apprécie          00
Le contrat de travail qu’elles avaient signé n’était souvent qu’une reconnaissance de dette et qu’elles devaient rembourser, à la personne qui les avait fait venir en Europe, des sommes pouvant aller jusqu’à cinquante mille dollars. Si bien qu’elles se retrouvaient dans un pays étranger, après avoir confié leur passeport à cette personne, persuadées qu’elles étaient hors-la-loi du fait de leur seule présence et qu’elles risquaient l’arrestation et de longues peines de prison à cause de la dette qu’elles avaient contractée en signant le contrat.
Commenter  J’apprécie          00
On garde un prévenu en détention à l’endroit où il a été arrêté jusqu’au moment où il est formellement inculpé. Tout le monde le sait…
Commenter  J’apprécie          00
Il se souvenait d’un temps où il récupérait sans difficulté d’une nuit sans sommeil, ou d’une expérience particulièrement horrible, où il pouvait tenir pendant des jours à talonner la vérité, à rechercher ce qu’il croyait être la justice. Plus maintenant. Si la volonté qui l’animait était aussi farouche que jamais, sinon davantage, il ne pouvait nier que son organisme, lui, ne suivait plus.
Commenter  J’apprécie          00
Une relation sexuelle sans culpabilité, je suppose. Pas de liens, pas d’obligations, pas besoin d’être poli.
Commenter  J’apprécie          00
Les femmes sont en général plus fines que les hommes…
Commenter  J’apprécie          00
Ce sont des livres qui datent du XVIIIe siècle, quand se bâtissaient des fortunes avec l’argent des colonies, et qu’il fallait enseigner aux grosses dondons, les épouses de tous ceux qui s’étaient enrichis dans les filatures, la manière de se servir d’une fourchette.
Commenter  J’apprécie          00
Il est bien plus difficile d’imaginer des choses qui sont mal, mais pas criminelles.
Commenter  J’apprécie          00






    Lecteurs (431) Voir plus



    Quiz Voir plus

    La Venise de Donna Leon

    Le premier roman paru en France (1992) "Mort à la Fenice" est un roman à clef. Qui se cache derrière le chef d'orchestre très médiatique assassiné ?

    Wilhelm Furtwängler
    Antonio Toscanini
    Herbert von Karajan
    Agostino Steffani

    13 questions
    68 lecteurs ont répondu
    Thème : Donna LeonCréer un quiz sur ce livre

    {* *}