Portrait très vivant de Philippe le Bel : ses conflits avec l'Angleterre en Guyenne, la guerre en Flandres, le conflit avec les papes, avec l'émergence du sentiment national, notamment lors des états généraux.
L'auteur porte des jugements mesurés sur la lutte contre l'ordre des Templiers dont le concile de Vienne ordonna la suppression, avec transfert de ses biens à l'ordre des hospitaliers (sauf en Espagne et au Portugal où ils furent remis à des ordres chargés de combattre les Maures). L'étude des dépositions des témoins montre des pratiques hérétiques suspectes que le grand
Maître Jacques de Molay avait avouées dans ses premiers interrogatoires.