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Quelle belle découverte pour moi que Renaud S. Lyautey. L'auteur fut lui même diplomate et j'imagine qu'il puise aisément dans son vécu pour nous livrer avec La Baignoire de Staline un récit franchement passionnant dans une langue claire, vive, contemporaine aucunement alambiquée comme pourrait l'être la langue d'un diplomate.
La baignoire de Staline met en scène René Turpin en poste à l'ambassade de France à Tbilissi en Géorgie et Nougo Shenguelia "policier nouvelle vague" à la criminelle.
Je dis policier nouvelle vague car le président de Géorgie, après l'indépendance, vu l'ampleur de la corruption dans les services de la police du pays a licencié tous les policiers et a embauché d'autres policiers mieux formés.
Le contexte est le suivant. Un ressortissant français est retrouvé mort dans sa chambre de l'hôtel Marriott de la capitale. C'est une mort très suspecte. René Turpin de l'ambassade est donc mandaté par l'ambassadeur pour travailler avec la police afin d'élucider ce meurtre. En toute transparence, ce qui fait tout un changement de culture, (on sait bien que l'ancien régime se nourrissait de mensonges, de lâcheté et de couardise) le policier Shenguelia et Turpin de l'ambassade travailleront ensemble.
Sans être didactique, Renaud S. Lyautey a su démontrer que l'ombre de Moscou se fait toujours sentir, même de nos jours. Les blessures passées ne sont certes pas toutes cicatrisées et même si le vent tourne, de vieux comptes restent à régler et pour certains, la soif de vengeance est toujours bien ressentie.
Le récit commence tout de même assez doucement et on se demande bien où il va nous mener. Tours et détours m'ont laissée perplexe mais ont attisé complètement ma curiosité et la lectrice que je suis en fut ravie. Ce meurtre du jeune étudiant français a allumé une lampe rouge quelque part. Ce jeune homme travaillait sur un élément de la guerre froide qui, faut-il croire, dérangeait encore de nos jours certains fans de l'ancienne URSS. Tout ça déclenchera d'autres meurtres perpétrés… par qui ? le saurons-nous jamais ? Qui est encore en danger? Est-ce possible qu'une menace tout à fait insaisissable et que l'on croit impossible, incompréhensible puisse frapper de nouveau ?
Ce fut un réel bonheur de lecture, un vrai plaisir, une belle découverte au point où je n'hésite pas du tout à me réserver le titre Les saisons inversées de cet auteur.
Renaud Salins a adopté le nom de plume Renaud S. Lyautey fut diplomate et ambassadeur de France. C'est très triste d'apprendre son décès trop jeune au sommet d'une belle carrière tant dans la diplomatie que dans l'écriture.
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Rendez-vous pour la Géorgie avec ses paysages, son architecture, ses souvenirs… le plus souvent soviétiques, l'URSS – comme indiqué dès le titre de ce roman qui convoque l'un des dictateurs les plus sinistrement connus de l'Histoire – n'étant jamais très loin : « Comme les indices d'un jeu de piste oublié, les traces du passé soviétiques se dissimulaient un peu partout, dans les esprits comme le long des trottoirs ». Ce roman nous confirmant ce que l'actualité ukrainienne nous a enseigne depuis février dernier : la Russie ne quitte jamais ses anciens territoires, et ne tente même pas de s'en cacher.

Tbilissi, 2009 : un jeune Français est retrouvé mort dans un hôtel. Si un suicide a été envisagé, il a été rapidement écarté par les services de la police locale, qui tente de passer sous silence ce meurtre, tant semble rôder le scandale… En raison de la nationalité de la victime, et dans une volonté d'une totale transparence, l'inspecteur chargé de l'affaire, Nougo Shenguelia, se fait assister de René Turpin, l'un des premiers conseillers de l'ambassade de France. S'ensuivra une enquête pleine de faux-semblants, qui mènera Nougo Shenguelia loin de Tbilissi, à Tskaltubo, ancienne cité thermale soviétique et lieu de résidence secondaire de Joseph Staline, jusqu'à la Russie et aux États-Unis, croisant ainsi la trace de Kim Philby, célèbre agent double (voire triple) de l'histoire de la Guerre froide.

Renaud S. Lyautey maîtrise visiblement son sujet, la Géorgie aussi bien que la diplomatie, puisqu'il l'a longtemps exercée dans le pays. L'écriture aussi, puisqu'il livre un dernier roman certes classique, dans son traitement comme dans le déroulé de l'enquête, mais vraiment prenant, et dans lequel on entre facilement pour ne plus le lâcher. Et pourtant, quand je l'ai ouvert, j'avais la tête encore dans le précédent roman que je venais de terminer, et qui n'avait absolument rien à voir. J'ai ainsi découvert un pays plein de traditions et riche d'une gastronomie plutôt sympa, écrasé par une histoire marquée par l'influence de la Russie dont il constitue un ancien satellite.
Un grand merci à #NetGalleyFrance pour cette lecture dépaysante et instructive à plein d'égards
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Grâce à babelio et les éditions Seuil, j'ai eu le plaisir de recevoir dans le cadre d'une masse critique privilégiée : La baignoire de Staline de Renaud S. Lyautey.
Tbilissi, capitale de la Géorgie, terre natale de Staline.
Un ressortissant français est retrouvé mort dans des conditions suspectes à l'hôtel Marriott.
Avant qu'un scandale n'éclate, René Turpin, à l'ambassade, est mandaté pour assister les inspecteurs locaux.
L'enquête les mènera sur les traces du dictateur et d'une immense ville balnéaire abandonnée..
La baignoire de Staline est un roman qui me tentait, mais avec un peu d'appréhension car je n'ai pas l'habitude de lire ce genre de roman, qui est du policier mais aussi de l'espionnage. J'ai un peu de mal avec ce genre, qui peut me lasser rapidement car je n'y comprend pas toujours grand chose lol
Je prenais donc un risque en acceptant de lire ce roman et ce fût une très bonne surprise. Je ne m'attendais pas à apprécier autant ma lecture !
Sébastien Rouvre, 26 ans, est découvert étranglé dans un hôtel en Géorgie le 8 juin 2009. L'inspecteur Nougo Shenguelia est chargé de l'enquête, assisté de son adjoint, Lacha Bregvadze.
Le premier conseiller de l'ambassade de France, René Turpin, va suivre cette affaire de très près, assisté du consul et du chef de station de la Direction générale de la Sécurité extérieure. Tout cela pour éviter, évidemment, des incidents diplomatiques ! Ce n'est pas tous les jours qu'un ressortissent français est assassiné dans ce pays.
Peu après, d'autres personnes sont assassinées de façon similaire.. Qui donc en veut à ces personnes et surtout.. pourquoi ?
L'enquête est très bien ficelée et nous emmène dans un pays que je connais mal, de Tbilissi à Tskaltoubo, ancienne cité thermale où Staline possédait une datcha. J'ai trouvé ce roman fascinant et extrêmement bien documenté. On sent que l'auteur connaissait bien son sujet, puisque lui même avait été ambassadeur de France auprès de la Géorgie de 2012 à 2016.
Il n'y a aucunes longueurs même si certains passages sont un peu plus techniques. En effet, il y a pas mal d'explications sur le pays, son contexte politique, géographique.. Comme je ne suis pas du tout familiarisée avec la Géorgie, j'ai trouvé ça absolument fascinant.
J'ai adoré l'enquête, j'ai apprécié les personnages et j'ai suivi cette enquête avec un grand intérêt. D'ailleurs, j'ai lu La baignoire de Staline en seulement deux jours, et encore car j'ai du allé travailler. Sur une journée de repos, je l'aurais lu d'une traite.
Je vous invite à découvrir ce roman qui est fascinant, différent de ce que je lis d'habitude, ce qui m'a beaucoup plu.
Ma note : cinq étoiles bien méritées.
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Généralement quand je lis le mot "espionnage", je me détourne aussitôt d'un livre, car c'est un sujet qui ne m'intéresse pas du tout et en plus, souvent, je n'y comprends rien, entre les espions, les agents double voire triple...
Je n'avais donc aucune envie de découvrir ce roman, mais en lisant par hasard une critique, j'ai finalement eu l'impression que ce roman pourrait me plaire.
On est transporté en Géorgie, le pays, pas l'état américain, et on va suivre l'enquête liée au meurtre d'un jeune français, survenue dans un hôtel de la capitale.
L'affaire sera menée par un policier, accompagné d'un conseiller de l'ambassade, ce qui change un peu.
J'ai bien aimé découvrir l'évocation de la vie dans cette région durant la guerre froide, les références à Staline et aux vieux secrets surgis du passé.
Le roman n'est finalement pas vraiment un roman d'espionnage, du moins, il n'est pas compliqué à suivre.
Les personnages ne sont pas très développés, ce qui m'a un peu frustrée, mais c'est un choix de l'auteur.
Un roman plaisant qui a le mérite de ne pas être un roman policier tout à fait classique, car on apprend de choses sur ce pays, sur son passé et sur des personnages ayant réellement existé.
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Ah, c'est un vrai plaisir de recevoir un tel bon petit roman de la part des Éditions du Seuil, merci à elles et à l'initiative de l'opération Masse Critique de Babelio.

Un roman écrit par Renaud Lyautey, un jeune diplomate français, qui nous emmène dans un pays de l'ex-URSS, la Géorgie, un pays dans lequel il fut ambassadeur, et pour lequel il a , c'est manifeste et touchant, beaucoup d'amour, y compris pour la gastronomie, car nous nous asseyons souvent à table avec le héros de l'histoire, lui aussi jeune diplomate.

Comme c'est un roman policier sur fond d'histoire d'espionnage, je ne raconterai pas en détail l'intrigue, ce ne serait pas gentil pour le futur lecteur! Sachez seulement que le point de départ c'est, suite au meurtre énigmatique d'un jeune chercheur français, Sébastien Rouvre, une enquête policière dans laquelle vont collaborer principalement un inspecteur géorgien, Nougo Shenguelia, et un jeune conseiller de l'ambassade de France, René Turpin. Meurtre suivi de celui de deux autres personnages sans lien apparent avec le premier, mais sur le même mode opératoire.

A partir de là, l'enquête va remonter l'histoire de l'espionnage de l'ère soviétique, en faisant un détour par la baignoire de Staline, et en évoquant les heures glauques du KGB, les agents doubles, etc…

L'intrigue est vraiment bien menée, pleine de rebondissements, les personnages principaux sont attachants, et il y a plein de personnages secondaires bien campés, et parfois bien comiques, malgré eux, ainsi l'ambassadeur.

Et, en fin de compte, ce roman nous révèle la paranoïa toujours présente au sein de la « machinerie » des services secrets russes.
Et ça fait inévitablement penser à la paranoïa d'un de ses anciens membres, un certain Vladimir dont je tairai le nom.
Ça m'a fait aussi penser à tous ces ex- espions, opposants, journalistes, éliminés par empoisonnements et autres élégants procédés.

Le roman, achevé en 2021, rappelle souvent à notre bon souvenir les méfaits du grand frère russe, et le fait qu'il a annexé en 2011, 20% du territoire de la Géorgie. En 2022, on sait que ça n'est pas fini, cette volonté paranoïaque d'annexion.

En conclusion, j'ai beaucoup apprécié ce roman au rythme alerte, aux personnages (et aux plats! ) pleins de consistance, qui nous fait poser un regard d'empathie sur un pays de l'ex-Union Soviétique qui gagne à être connu.
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Tout d'abord je voudrais remercier @Yvan_T qui m'a fait découvrir cet ouvrage grâce à une de ses critiques.

J'aime bien les romans polars-historique. Et j'adore aussi découvrir l'histoire d'un pays telle que la Géorgie, ainsi que le récit d'un illustre agent secret Kim Philby.

Ce livre est court 200 pages, un récit rudement bien mené entre espionnage, enquête, et secrets…
Les intrigues sont passionnantes, les personnages attachants… Tout y est pour passer un agréable moment de lecture. J'ai découvert que c'était la suite du roman « les saisons inversées », il me reste plus qu'à l'acheter.

Bonne lecture !
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Je vais aller en Géorgie cet été, c'est décidé (le pays, pas l'état dont Atlanta est la capitale).
C'est grâce à la magie de ce polar savoureux.
Renaud Salins , de son véritable nom , est décédé des suites d' une maladie fulgurante, en Avril 2022. Ce grand diplomate , en poste à Mascate, est mort dans la force de l'âge après avoir écrit son deuxième et ultime roman.
Quelle tristesse.
La baignoire de Staline est un livre absolument captivant , fluide malgré l'épaisseur et la complexité du sujet : la vie de l'agent double Kim Philby.
J'ai suivi avec un intense plaisir René Turpin, le consul de Tbilissi, et le jeune Nougo Shenguelia , policier formé à St Cyr au Mont d'Or(!) et originaire d'Abkhazie.
J'ai appris une foultitude de choses sur l'histoire géorgienne mais aussi sa merveilleuse gastronomie , ses paysages de montagnes rugueuses et de vallées enchantées , la nature de ses habitants etc...
Mais surtout j'ai compris la nature des relations entre l'ex-URSS et ses anciennes républiques. Enfin un peu, un tout petit peu évidemment. Mais à l'heure du conflit ukrainien , c'est tés éclairant
Pour cela je me suis laissé porter par un récit parfaitement huilé , plein d'humour et de nostalgie.
"La mort résout tous les problèmes. Pas d'hommes, pas de problèmes" nous dit Staline en exergue . C'est clair et net.
Alors j'ai hâte de découvrir ces villes et ces sites dont le nom commencent par 4 consomnes , me frotter à l'impétuosité de ses habitants qui ont résisté
à toutes les invasions , et goûter au khatchapouri , aux raviolis aux champignons et autres koupatis. Miam, j'en ai l'eau à la bouche.
Renaud S. Lyautey n'est plus et avec lui disparait René Turpin, son fidèle enquêteur . Tout comme le timbre qui fait office de première de couverture ,considérons ce livre comme absolument collector !!!
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Ce roman policier écrit par un diplomate de carrière, dont le vrai nom est Renaud Salins, fait la part belle à … un diplomate : René Turpin, attaché à l'ambassade de France en Géorgie.

Un jeune précepteur français vient d'être assassiné à Tbilissi. Les autorités veulent montrer qu'elles prennent le sujet au sérieux et demandent à l'inspecteur Nougo Shenguelia, francophone, de permettre aux représentants de l'ambassade de France d'assister aux premières constatations. Voilà donc Turpin associé à l'enquête, ce qui n'est pas pour lui déplaire. Plusieurs pistes sont suivies par le duo : oligarque véreux, potentielle fiancée dans l'ancienne ville thermale de Tskaltubo, là où Staline passait des séjours, trafic de biens culturels… Mais c'est avec un deuxième meurtre, commis avec le même mode opératoire, que l'enquête va se réorienter.

La présentation de la Géorgie limite ce pays du Caucase à quelques paysages, beaucoup de cuisine et aux sympathiques habitants. La présence d'une mafia organisée, les VoR n'y est qu'à peine évoquée. La mainmise de Staline et plusieurs autres caucasiens (dont Beria) sur l'ancien pouvoir soviétique sont eux plus détaillés.

Pas d'action trépidante à attendre de ce roman. Pas de scoop non plus, même si l'auteur y fait une petite incursion dans le monde des services secrets, des agents doubles,, voire triples.

L'intrigue se laisse lire, sans éclats, ni sueurs froides. Parmi les livres de l'ambassadeur, je préfère les Ferrero... pardon la série de Jean-Christophe Rufin autour d'Aurel le consul, tout aussi tranquille, mais dotée de pas mal d'humour et de second degré.
Renaud S. Lyautey est décédé avant la publication de ce livre. Il était l'auteur d'un autre roman Les saisons inversées, mettant lui aussi en scène René Turpin.
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Sympa.
La baignoire de Staline est en gentil petit roman noir qui nous permet de revivre l'époque des espions, des agents doubles.
Le meurtre d'un étudiant français en Georgie est prétexte à revoir la vie de Kim Philby, un des plus célèbre agent double du MI6.
Il nous permet d'appréhender aussi l'âme slave, la vie sous l'empire communiste, la guerre froide.
Ce n'est pas un essai, ni un livre d'histoire mais le roman est assez bien ficelé. Bref, une petite distraction qui ne mange pas de pain et qui se lit bien vite.
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«La baignoire de Staline » est tout à fait le genre de polar que j'aime lire, pas de scènes gores ni perverses. Tout est dans le non-dit. Les recherches des coupables se font à coup de déductions, de réflexions.
C'est donc juste avant de mourir, que l'auteur français Renaud S. Lyautey, diplomate de profession a écrit son roman. Il décrit l'intrigue en Géorgie, à Tbilissi, capitale du pays. Il y a lui-même été en poste comme ambassadeur pendant trois ans. Il sait donc de quoi il parle, aussi bien niveau enjeux géopolitiques que culturels. On sent à travers sa narration tout l'amour qu'il porte à ce pays. Les bonnes tables ne devaient pas lui être inconnues. Les spécialités culinaires émaillent le récit quand le héros René Turpin nous décrit ses repas avec un vieil ami géorgien.
Une histoire de meurtre : un jeune français agrégé d'histoire est assassiné, d'autres meurtres suivent. La police locale piétine, les pistes se croisent.
A l'ambassade de France, on demande à René Turpin de remplacer le consul absent et d'assister les enquêteurs locaux, et notamment Nougo Shenguelia, personnage atypique et attachant. Jeune policier formé en France c'est un géorgien d'origine Abkhaze, région autonome sous contrôle Russe, que sa famille a dû quitter précipitamment et dans la douleur au moment de l'autonomie de la région.
On sent la chape de plomb qui est encore sur le pays malgré son indépendance vis à vis de son encombrant voisin, la fédération de Russie. le polar se mélange à l'espionnage ainsi qu'à des intérêts de certains oligarques géorgiens.
Une fiction à travers des évènements très réels et qui ont marqué le pays. La Géorgie était déjà une cible de Vladimir Poutine en 2008, quand le président russe a envoyé ses troupes jusqu'aux abords de Tbilissi. Ce polar remet en lumière le rôle du célèbre espion britannique Kim Philby, devenu agent double pour le compte de l'URSS où il a fini par émigrer et même mourir.
J'ai lu ce livre avec grand intérêt. le style est agréable et fluide. le polar est le support à une approche de l'histoire du pays et de sa culture. Il y a un juste milieu entre les deux. Deuxième livre de l'auteur, je l'ai trouvé fort intéressant.
Merci à Babelio et les Éditions Seuil cadre noir pour la découverte de cet auteur à travers une masse critique privilégiée.
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