La Rose écarlate, Tome 6 : Je crois que je t'aime

Beaucoup de rythme dans ce tome !

Les langues et les coeurs se délient, les objectifs des uns sont atteints tandis que ceux des autres sont contrariés. Bien sûr, tout cela ne va pas sans quelques batailles et maladresses qui nous arrachent un sourire.

Très divertissant.

Rien qu'avec le titre, on se doutait qu'ils finiraient ensemble à la fin ! On le savait depuis le début qu'un fil les avait connecté mais elle aurait pu faire ressurgir un évènement quelconque qui va tout fausser dans leur amour. Eh bien non... Elle se l'est gardée pour le 2e cycle en 2011 (donc qui ne va pas tarder à paraître !) avec la dame venue du grand froid !

Mon hypothèse à ce sujet : comme nous ne savons pas où est le père de Guilhelm, celui-ci va apparaître comme ça, avec une future femme pour son fils. Chose qu'il ignorait, il est marié avec Maud et coule (peut-être) des jours heureux avec sa double vie. Mais comme était le grand-père de Maud au début, il ne doit pas discuter les ordres...

La fameuse scène qui devait arriver arriva dans ce sixième tome. Ils s'aiment et veulent rester ensemble. D'ailleurs, ils vont rentrer en France pour retrouver le reste de leur famille. Tout est bien qui fini bien et l'amour peut tout vaincre. Mais vont-ils pouvoir rester ensemble pour affronter l'injustice et l'horreur? 

L'histoire va assez vite comme les autres tomes. Patricia Lyfoung respecte un rythme très précis. Je n'apprécie pas toujours le découpage car parfois cela va trop vite et parfois je trouve que cela s'étale trop. Mais je regarder aussi avec un regard d'adulte et le récit est à destination des adolescents. Et vu comment la série se vend, je pense que le coeur de cible a adoré. 

La couverture est très vendeuse pour l'esprit fleur bleue. Toutefois, je pourrais dire qu'elle est aussi un peu menteuse car on ne retrouver pas cette scène dans ce tome. On pourrait presque croire qu'elle est faîtes pour un livre harlequin. 

Maud et Guilhem se sont avoués leur amour et donc ils doivent se marier. Il ne faut pas oublier le poids des convenances de l'époque. Donc pour en savoir plus, il faudra lire la suite. Tout ne peut pas se passer tranquillement surtout pour le duo du Renard et de la Rose écarlate. Ils viennent d'affronter un terrible trio de méchants qui voulaient se venger sur la planète entière. Un nouveau cycle va débuter avec de nouveaux méchants. Qui cela va être? 

Un premier cycle qui se termine en beauté avec la formation d'un couple. Les fans de la série vont-être heureux. En plus, un nouveau cycle existe avec 6 nouveaux tomes. Donc, affaire à suivre. 
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Le premier arc de la Rose écarlate se conclut dans ce sixième tome, dont le titre, Je crois que je t'aime, annonce la couleur. Maud et Guilhem se retrouvent, s'avouent leurs sentiments, mais doivent surtout se préparer pour leur ultime confrontation avec les frères de Huet.

Je ne sais vraiment plus quoi penser de cette BD. D'un côté, je passe un assez bon moment de lecture, mais d'un autre, je suis assez déçue par ses défauts. Les péripéties s'enchaînent un peu moins vite qu'au cours des deux tomes précédents, mais j'ai malheureusement trouvé la résolution de l'intrigue trop simpliste.

À la vue de la réaction du père de Maud dans le cinquième tome, lors de son intrusion dans le temple de Dieu, je m'attendais à quelque chose d'un peu plus… plus… Plus tout, en fait. Or, le secret que renferme cet endroit ne devient finalement terrifiant qu'avec les frères de Huet, puisqu'ils peuvent contrer ses « limites ». À moins que le père de Maud ait anticipé une telle éventualité, son attitude me semble en inéquation avec la révélation finale. (Pardon pour ce paragraphe qui peut paraître confus, mais j'essaye d'en dévoiler le moins possible.)

Outre le fait que l'auteur alterne toujours les passages dramatiques et ceux beaucoup plus légers avec un gros manque de subtilité, les réactions des personnages m'ont régulièrement laissé perplexe. Les sentiments d'Alban étaient évidents depuis un moment, mais je trouve que Maud se montre un peu trop clémente vis-à-vis de l'homme qui a tué son père. de même, je ne comprends pas pourquoi Guilhem tient à rentrer si promptement en France, au point d'affirmer que sa vie est là-bas, alors qu'il a créé le Renard pour tromper l'ennui et la monotonie de son existence.

Au final, cette conclusion, malgré quelques bonnes trouvailles du côté des frères de Huet, n'a rien de vraiment transcendante, et sans m'être attendue à toutes les révélations de cette BD, je ne peux pas non plus prétendre être restée bouche bée. Dans le fond, chaque tome de la Rose écarlate me fait le même effet qu'un épisode des Lolirock : c'est gentillet et distrayant, mais ça ne va pas plus loin.
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Sympathique!

De très beaux dessins et de l'humour ! Malgré tout, l'histoire n'est pas assez travaillée à mon sens.
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