Sahnoun M.
EAN : 9789973195142
Ceres Tunis (26/06/2012)
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1 notes
Ceres Tunis (26/06/2012)
Résumé :
Mokhtar SAHNOUN est enseignant de littérature et de langue dans le département de français de la Faculté des Lettres, Manouba.
Enfant et adolescent, il a évolué à Bab Souika, l'un des quartiers mythiques de la Médina, au coeur même de la ville de Tunis.
Sa poésie se fait le lieu où résonne l'écho de son expérience d'enfant, où bruissent les voix d'un passé aux intonations indéniablement tragiques, où tourbillonnent des images d'un univers tourmenté. (.... >Voir plus
Enfant et adolescent, il a évolué à Bab Souika, l'un des quartiers mythiques de la Médina, au coeur même de la ville de Tunis.
Sa poésie se fait le lieu où résonne l'écho de son expérience d'enfant, où bruissent les voix d'un passé aux intonations indéniablement tragiques, où tourbillonnent des images d'un univers tourmenté. (.... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Dans son roman "Tsunami", Mokhtar Sahnoun, par un style recherché et, finalement, poétique recrée sans doute de façon intime, autobiographique, les conditions de la nostalgie de son enfance, à Tunis.
Mais, n'oublions pas la formule de Victor Hugo : "La nostalgie, c'est le bonheur d'être triste".
Mais, n'oublions pas la formule de Victor Hugo : "La nostalgie, c'est le bonheur d'être triste".
Citations et extraits (3)
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Ses pieds, qui le portaient à travers ces rues auxquelles ils étaient habitués, s'engagèrent dans la rue El-Ghasroun qui était juste en face de lui. Comme son nom l'indiquait, c'était une ruelle tortueuse à tel point étroite que lorsque deux passants s'y croisaient, l'un d'eux devait s'arrêter, se plaquer contre le mur pour que pût l'autre passer et qu'on la surnommât "Zenkit Annakni", impasse "enlace-moi'.
Comme le corps d'une femme qu'on déshabille, un rameau de lyciet, éclatant de beauté sauvage, offrit aux dernières heures du jour, l'émeraude de ses feuilles fines et l'arrondi luisant de ses baies rouge sang.
Regarder sans voir, c'est aussi une manière d'être aveugle, de se déposséder de la vie.
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