Je reste là, immobile et impuissante, à regarder la mort.
A la sentir.
Et même si je l'ai déjà regardée dans les yeux, elle me fait encore peur.
Mon maître zen disait aussi que le seul moyen d'être vraiment heureux, c'est de vivre le moment présent et de ne pas se préoccuper du futur.
Évidemment, il est mort pauvre et célibataire.
Je me sentais écrasée par l'horizon limité de notre village, mais en réalité, ces limites étaient rassurantes, et nous avions la vie devant nous.
La chose la plus pénible dans la mort de quelqu'un que l'on aime, c'est que le monde ne s'arrête pas. Les circonstances nous poussent à continuer de vivre, mais il est plus difficile de trouver des raisons de le faire. Quand o,n a vraiment aimé quelqu'un, son absence devient un vide qui nous accompagne toujours, un voile qui nous obscurcit la vue. Et on avance à tâtons. On essaie de marcher malgré tout.
(pages 32 et 33)
« Venise, moitié femme, moitié poisson, est une sirène qui se défait dans un marécage de l’Adriatique »
Citation de Jean Cocteau
Si tu fermes les yeux, tu peux déjà sentir ma présence.
N'abandonne jamais celle que tu es. Et ne renonce pas à l'amour, même quand il te semblera impossible.
Qui brûle pour une passion comme toi a une place infini pour l'amour.
(page 190)
Venise, moitié femme, moitié poisson, est une sirène qui se défait dans un marécage de l'Adriatique.
(page 11)
- Tu fais une grosse erreur.
- Ouais, mais j'ai 17 ans, j'ai le droit de me tromper.
La chose la plus pénible dans la mort de quelqu'un que l'on aime, c'est que le monde ne s'arrête pas. Les circonstances nous poussent à continuer de vivre , mais il est plus difficile de trouver des raisons de le faire.