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Citations sur Dialogues avec l'ange : Intégrale (32)

- Pourquoi y-a t-il tant de vengeance, de joie maligne chez les hommes ?
- Parce qu’ils sont faibles.
L’homme heureux n’est pas hargneux
Et ne se réjouit pas du malheur des autres.
Le malade hait le sain. Le malheureux hait l’heureux.
L’ivrogne hait le sobre.
La haine est peur. Peur active. Sentiment de honte.
Le malade répand la maladie.
Aussi, je te dis de nouveau :
Répands la santé ! Seulement cela !
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Retiens cela ma bien-aimée :
Ne complète jamais, ne conseille jamais
ne mâche pas à l'avance la nourriture !
Toi, donne autrement
et tout se renouvelera entre tes mains.
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La cause de chaque chose se perd dans l'infini, la ligne vient de si loin...
Tes yeux voilés sont incapables de la percevoir.
Isolément tout est dépourvu de sens.
Suis la ligne qui vient de l'infini avec joie, librement, et tout fardeau va disparaître !
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La parole est acte.
Bonne - elle élève, mensongère - elle enterre.
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Pendant le silence qui suit, je me demande quelles seront nos possibilités d'évolution en tant qu'êtres humains, et je reçois immédiatement une réponse à ma question muette.
Je m'adresse à toi aussi. C'est cela, la direction de l'évolution :
Ces paroles sont accompagnées d'un geste qui n'est ni vertical, ni horizontal, mais oblique. Je suis très étonnée d'apprendre que l'évolution humaine ne dépend pas seulement du développement spirituel (vertical), ou du développement matériel (horizontal), mais des deux ensemble.
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Naissance et mort sont couple,
Et non vie et mort.
Ici l'âme se trompe - lorsqu'elle a peur -
Car la Vie vit éternellement.
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Une brève introduction ne sera pas inutile pour comprendre les événements qui vont suivre.
Je voudrais insister sur le caractère tout à fait ordinaire de la vie que nous avions menée, mes trois amis et moi, jusqu'au jour où commença cet enseignement. Et pourtant, cette vie fut une préparation à ce qui nous attendait.
C'était en 1923 - j'avais seize ans - que je rencontrai Hanna à l'École des arts décoratifs de Budapest, où sa table était à côté de la mienne. Dès le début, elle se montra tout à fait expansive et amicale à mon égard. Moi qui étais née dans une famille de militaires, et avais reçu une éducation toute Spartiate, j'étais déconcertée par le caractère naturellement tendre de Hanna. Dans mon enfance et mon adolescence, manifester ses sentiments était un signe de faiblesse, et même un simple baiser d'adieu pouvait devenir affreusement embarrassant.
Hanna, au contraire, dont le père était directeur d'une école élémentaire, avait grandi dans l'atmosphère beaucoup plus détendue d'une famille juive moderne, et n'éprouvait aucune gêne à montrer ce qu'elle ressentait.
En dépit de ces différences de tempérament et d'éducation, nous nous liâmes, pendant ces trois ans d'études, d'une amitié profonde. Pourtant, au sortir de l'école, nos chemins se sépa­rèrent, et nous ne nous vîmes plus que rarement. Hanna continua ses études à Munich; quant à moi, je me lançai à corps perdu dans le sport. Devenue championne de natation, je me laissai griser, pendant cinq ans, par l'adulation presque idolâtre que manifestent les Hongrois envers les héros du sport. C'est à cette époque que je fis la connaissance de Lili, qui pratiquait la thérapie corporelle. Chaleureuse et naturelle, elle avait beaucoup d'élèves, et je compris très vite que si ses classes étaient surchargées, c'était que ses élèves y trouvaient beaucoup plus qu'une simple relaxation : une nourriture pour ce qu'il y avait de plus profond en eux.
Pendant toute cette période, j'ai su peu de chose de Hanna, sinon qu'elle s'était mariée avec Joseph, qu'elle connaissait depuis l'enfance : un homme calme, qui était ce que nous appelons aujourd'hui un designer (il dessinait des meubles). Sa seule présence avait un effet apaisant sur son entourage : je l'ai vu plus tard, lorsque nous vivions ensemble à Budaliget. A l'auberge du village, les discussions politiques les plus houleuses se calmaient lorsque Joseph arrivait, et en quelques instants l'atmosphère redevenait complètement paisible grâce à sa silencieuse présence.
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incipit :
- On va te faire perdre l'habitude de poser des questions inutiles !
Attention ! Bientôt des comptes te seront demandés !
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"Autour de celui qui sait s’émerveiller, éclosent les merveilles."
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- Pourquoi ma mémoire est-elle mauvaise ?
- Parce que ton passé est mauvais. Tu n’aimes pas t’en souvenir. Tu l’as dissimulé derrière des rideaux épais.
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