"[...] toute souffrance est lâche, elle recule devant la puissance du vouloir-vivre qui est ancré plus profondément dans notre chair que toute la passion de la mort ne l'est dans notre esprit."
Des pauvres si pauvres et si lâches qu'ils sont prêts à vendre leur enfant pour survivre. Et des riches avares et veules au point de donner les leurs pour garder leur matelas de réis.