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Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Premier livre que je ne termine pas depuis longtemps. C'est impossible! Des mises en contexte façon voix off de film noir des années 50s, mais à toutes les deux répliques (je ne rigole pas). Chaque action, chaque personnage, chaque émotion etc, on a droit à une mise en contexte avec le passé du pays ou du personnage. Bonjour le rythme qui n'existe plus. Mais ce qui ma vraiment fait dire ça suffit, ce sont les informations techniques. L'auteur nous est présenté comme étant journaliste et rédacteur en chef du service de Macroéconomie au Figaro et le roman parle d'intelligence artificielle et de nano tech, chaque phrase techno ou informatique est du gros bull shit, pas dans un but de simplifier ou de romancer l'histoire, c'est du n'importe quoi POINT. du genre il chercheur tape une "longue ligne de code" pour afficher une vidéo, même le geekos sur open linus utiliserais un gestionnaire de fichier ou vidéo. Deux lignes plus loin, on à droit à un "microscope" qui à filmer des chiots, en entier, ce sont des micro chiots?... Même l'explication du paramétrage de l'IA au début est n'importe quoi, ce n'est pas du paramétrage, c'est la création de l'IA qui nous raconte, mais comme si l'IA existait déjà, pour vous le dire de façon simple, c'est comme si pour vous dire ce que fait un prof avec les élèves je vous explique la naissance des futures élèves. Je passe bien sûr sur le fait que leurs IA fait TOUT. Dans la vraie vie, même si c'était une IA du turfu, il serait absurde que la même IA fasse des prévisions de menace, de la reconaissance facial, de l'analyse linguistique, de la veille internet et j'en passe, il y aurait plusieurs IA spécialiser dans chaque domaine. Je n'est pas dépasser la page 200 et déjà TOUT les techno étais comme ça, ici ce n'est que quelques exemples. Pour un journaliste, c'est NUL, avec des recherches sur WIKIPEDIA il pourrait faire mieux. C'est à cause de journaliste comme S. Marchand, qu'aujourd'hui nous avons des cospis qui ne croient plus la presse.
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Idée de départ / Accroche du début de livre : 6/10
Développement des personnages : 4/10
Style de l'écriture : 5/10
Rendu de l'histoire : 3/10
Total 18/40 Babelio 2/5

Je remercie Babellio de m'avoir sélectionné lors de la masse critique. Sur le papier le livre me donnait un bon espoir. Mais une fois de plus le synopsis n'est pas représentatif du roman. En faite Stéphane Marchand tente de surfé avec le style irréprochable d'un certain Christophe Grangé, avec de courts chapitres (même si ici il n'a pas de chiffrage pour ceux-ci) pour nous coller à l'action. Et est-ce que ça marche ? Bien non c'est haché mal écrit (journaliste sérieux ?) et cela nous fait le plus souvent sortir du contexte.

Je vais d'abord vous dire a quoi je m'attendais. Je m'attendais à une histoire qui montre l'envers du décor de la formation d'un groupe de terroriste, et comment il s'organise. Voir aussi comment les cellules interagissent entre elles pour faire un coup sanglant. Je m'attendais aussi à une traque sanglante un peu comme le livre de Andrew Kaplan La traque.

Pour résumer l'auteur a essayé de faire un condensé de Homland, 24 heures chrono, Tom Clancy et jason Bourne. Pour cela l'auteur crée Face Mort un super ordinateur (programme) de reconnaissance facial, une sorte de logiciel à la Wargames. Sauf que au bout du compte l'ordinateur montre qu'il sert, pas à grand chose. Ensuite on a droit à un super virus (de science fiction) mis sous aérosol (sérieux avec des guignoles dans une grotte !!! merci le milieu stérile). On y croit pas une seconde, trop fantaisies tue l'histoire dans l'oeuf. On dirait même que l'auteur à des comptes à régler avec son Président.

Alors les personnages sont aussi vides de sens les uns que les autres. Peut-être qu'un Jack Bauer ou un Jack Ryan aurait pu relever le niveau. Mais il y a pas vraiment de héros fait sur mesure dans cette histoire. En faite tous les personnages de cette histoires devraient faire une thérapies de groupe pour leur nullité absolue. Certains diront c'est pour collé au contexte de notre société. Je répondrais simplement que si les personnages sont représentatifs des services secret français que Dieu ait pitié de notre âme.

Alors le plus gros manque de crédibilité de cette histoire hormis le virus complètement fantaisiste (Merci J.J Abrams pour sa série Révolution et ses nanobots), c'est la traversée des terroristes en territoire français. Bref rien ne se tient dans cette histoire. Comme quoi être journaliste ne fait pas de vous un bon auteur. Certains y arrivent d'autres non...
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Le petit lieutenant effectue un stage dans un centre radioélectrique, il s'agit en réalité une antenne secrète de la DGSE en France. Il y est chargé de programmer Face Mort, un algorithme surpuissant de reconnaissance faciale. Dans le même temps, en Afrique du Nord puis au Moyen-Orient, la capitaine des forces spéciales Maxime Barelli traque les djihadistes français pour les éliminer en toute discrétion. Sur son chemin, elle découvre qu'une nouvelle arme terrifiante vient d'être testée dans un petit village paumé : inodore, incolore et qui cible ses victimes. Les terroristes ont bien sûr pour cible la France, il y a urgence à agir.

Face Mort est à priori un thriller que j'aurais dû dévorer mais que j'ai mis un temps infini à lire… plusieurs choses m'ont gênées dans cette lecture et malheureusement, au fur et à mesure, ça a joué sur mon ressenti. D'abord, les chapitres sont trop courts. Parfois, c'est bien, ça pousse à la lecture intense et prenante, mais là, à plusieurs moments, j'avais envie que certains points soient développés et non, on passait à autre chose. Dans ce thriller, il y a énormément de personnages – qui sont constamment nommés par des surnoms, ce qui instaure une distance entre le lecteur et les personnages et qui rend l'identification parfois floue – et comme on survole les chapitres, on ne s'attache à aucun et c'est très dommage car Maxime Barelli aurait pu devenir une icône forte… quant à l'intrigue, je n'ai pas trop accroché. Face Mort n'est pas un roman pour moi, mais je pense qu'il peut trouver son public.
Lien : http://revoir1printemps.cana..
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