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Critique de zabeth55


Un vendeur de sex-shop, la trentaine, tombe amoureux d'Alice. Ils se marient, ont un fils, Léo. Chaque mardi soir, sans que personne d'autre ne le sache, Dieu lui rend visite et ile papotent comme de vieux potes.
Les premières pages, dialogue avec Dieu, sont plutôt désolantes et je me suis demandée si j'allais continuer. Oui, je l'ai fait.
C'est une histoire pas tout à fait maîtrisée, qui dégouline de bons sentiments. Les dialogues sont assez plats en général.
J'ai eu la même impression qu'avec « 100 pages blanches » et « Je suis l'Homme le plus beau du monde » : il manque quelque chose.
Ma première rencontre avec l'écriture de Cyril Massarotto s'est faite avec « La petite fille qui aimait la lumière », livre que j'ai beaucoup aimé et qui, lui, me semble véritablement abouti et digne d'entrer dans une littérature digne de ce nom.
D'où mon envie de lire ses trois titres précédents.
Disons qu'ils sont gentillets, populaires ; que l'auteur tâtonnait avant de trouver et de maîtriser son sujet et son talent.
Je suis curieuse de lire son cinquième roman, ‘Le premier oubli é », en espérant qu'il sera dans la lignée du quatrième.
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