"Un sacré cirque, n'est-ce pas ? continua Strasser. Mais c'est à ça que ressemblent les hommes de l'entourage du leader national-socialiste. Dans une société normale, ils seraient considérés comme un ramassis de désaxés. Mais en ces temps chaotiques, ils apparaissent comme des sauveurs aux yeux de beaucoup de monde. Les jours de la République sont véritablement comptés..."
page 465 - 22 septembre 1931
Aucun homme n’a jamais conscience du moment précis où son destin commence à s’accomplir, qu’il le veuille ou non.
« Il y a des gens qui sont faits pour la réalité, commissaire Forster, et des gens qui sont faits pour la fiction.
–Et tu ne pourrais pas faire semblant de t’intéresser à la réalité ?
–La réalité est un endroit terrible. Je préfère y passer le moins de temps possible »
Je ne comprends pas ces fanatismes raciaux. Bavarois, allemands, aryens, juifs… Quelle différence ? On est tous des pauvres diables qui se donnent du mal pour s’en sortir.
Le bonheur est comme un flocon de neige, il faut le manipuler avec soin, et le moins possible.
Souvent, dans leur éternelle ignorance, les hommes nomment fin ce qui n'est en réalité qu'un début.
Quand Herr Hitler se tut, Sauer s’aperçut qu’il avait écouté son récit sans prendre une seule note, comme captivé par un de ses compteurs hors pair qui parviennent à faire oublier l’existence du monde réel à leur public.
" Autrefois, j'espérais qu'il mûrirait avec le temps, mais vous voulez savoir la vérité ? "
[...] " La vérité, c'est que les hommes sont comme les fruits. Ils restent verts une bonne partie de leur vie, puis ils pourrissent. Le temps de leur maturité vient tard et dure peu. "
Le bonheur est comme un flocon de neige il faut le manipuler avec soin et le moins possible
La vérité, c'est que les hommes sont comme les fruits. Ils restent verts une bonne partie de leur vie, puis ils pourrissent. Le temps de leur maturité vient tard et dure peu.
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