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Critique de Maxie


Quand Babelio m'a proposé ce roman, j'ai lu en couverture « Un premier roman envoûtant où l'on croisera un exilé grec, un instituteur du haut pays niçois, une vieille Jaguar… et Leonard Cohen. ». J'aime beaucoup Leonard Cohen et l'ambiance très particulière de sa musique. J'étais donc ravie, a priori, de pouvoir découvrir ce premier roman de Pauline Maurenc. Heureusement que ce n'est pas pour l'instituteur, l'exilé grec ou la Jaguar que j'ai craqué, parce que j'aurais été un peu déçue…J'ai bien aimé l'ambiance de A ceux qui se croisent. Surtout la première partie, quand Lucy fuit à New-York, ville si particulière, pour se remettre du choc de la double vie de son mari. J'ai un peu moins aimé la seconde partie, qui tournait un peu trop à l'eau de rose à mon goût. Mais au final, si on n'en attend pas trop, c'est une lecture agréable car ce roman est bien écrit. Il m'a un peu (beaucoup) fait penser au premier roman de Virginie Grimaldi, le premier jour du reste de ma vie, qui évoquait Goldman au lieu de Cohen, mais avec de nombreux parallélismes entre l'histoire de Lucy et celle de Marie, toutes deux parties pour se (re)construire… A croire qu'elles avaient la même recette pour leur premier roman. Je souhaite à Pauline Maurenc le même succès que sa consoeur, et je remercie Babelio et les éditions Robert Laffont pour cette découverte.
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