Voici la surface : Jessica est en couple avec son mari depuis des années. Tout va bien. Elle a eu une petite fille avec lui, qui a maintenant sept ans. Tout va bien. Elle a un travail, qui lui convient. Un mari, un enfant, un travail. Tout va bien, n'est-ce pas? Maintenant, grattons la surface. Jessica est en couple avec un mari qui a dû oublier le respect sur le pas de la porte, voir certainement le balayer sous le tapis. Sa fille est heureuse, mais connaît à peine son père, qui brille par son absence la plupart du temps. Son travail est certes, plein de couleurs, mais les fleurs fanent aussi vite que l'espoir de faire un jour, autre chose. Heureusement, sa soeur et sa meilleure amie sont les piliers de sa vie, et l'aident à voir la triste réalité sous cette surface sombre et ennuyeuse qu'est devenue sa vie.
Plus qu'une histoire, ce récit est avant tout un message d'espoir, une lueur dans le noir, un phare pour sortir des eaux troubles. C'est d'abord un signe de la main, un coup de fouet, puis un bon coup de pied au c... c'est une façon familière de crier «si tu ne prends pas ta vie en main, qui le fera ? » car le ton donné est léger, et c'est volontaire : chacun doit pouvoir se reconnaître, se prendre par la main et se relever. le style est très simple, agrémenté de nombreux dialogues dynamiques, autant que les personnalités hautes en couleurs des personnages. C'est pétillant, sans tabou, et à consommer sans modération pour les femmes qui veulent se libérer et les hommes qui veulent aider les femmes à se libérer.
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Un livre contemporain et actuel où l'on peut se retrouver ou retrouver des situations de nos proches. Qui n'a pas eu envie de tout quitter, de tout plaquer ? Qui n'en a pas assez d'avoir un boulot alimentaire qui ne sert qu'a régler les factures à la fin du mois? Qui n'a pas connu un burn-out ? Qui n'est pas enfermé dans une vie de couple routinière ?
Heureusement notre héroïne principale Jessica va ouvrir les yeux et décider de prendre sa vie en mains. Dans son parcours, elle est très soutenue notamment par sa soeur Caroline et sa meilleure amie Lola. Et surtout, il y a la prunelle de ses yeux sa fille. Oui elle va prendre des risques majeurs en démissionnent et se séparant mais pour une autre vie, une vie plus alignée. Un livre qui nous fait voyager entre Londres, Marseille et la Provence. Un livre qui a du peps, du dynamisme, de l'humour mais qui a aussi de la sagesse et une âme.
Un roman écrit à quatre mains et bravo aux auteurs car on ne le ressent pas et tout est fluide.
Mes sentiments : un roman feel-good, léger et agréable à lire. Il redonne espoir même si parfois j'ai eu l'impression que tout allait trop vite et était trop facile. Ca serait mon seul bémol. J'ai aimé car on a l'impression de faire partie de la bande, de prendre un verre avec eux. J'ai adoré les trois amies, ces drôles de dames à la fois semblables et différentes mais tellement unies. J'ai beaucoup apprécié la relation de Jessica et Caroline avec leur grand-père. Enfin, j'ai beaucoup apprécié la présence de l'art dans le roman, on pourrait dire que cela a été une forme de thérapie aussi pour Jessica.
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Voilà encore une lecture dévorée et lue en très peu de temps. J'ai aimé la modernité des dialogues, de l'écriture et l'histoire.
Nous suivons les questionnements, le ras-le-bol et l'évolution du personnage principal, Jessica.
Elle a le courage de quitter sa vie qui ne lui convient plus.
Pour elle et pour sa fille, Lilou.
Elle est grandement soutenue par sa soeur, son beau-frère et sa meilleure amie. Nous entrons dans un groupe où la bienveillance, le soutien et la gentillesse sont présents : on se sent bien avec eux.
Qui ne tente rien, n'a rien...
Jessica, elle, fait le choix du bonheur, le choix d'être enfin elle-même, le choix de réaliser ses rêves... ❣️
Dans ce roman, nous passons par des moments émouvants, touchants, mais aussi drôles. Il détend, il fait du bien et nous remet en question aussi.
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C'est pas une obligation pour la femme mais un choix, elle a le droit de ne pas en vouloir, d'en vouloir seulement un ou dix. Elle a le droit de vouloir se consacrer à sa carrière ou tout simplement de ne pas en avoir ENVIE !
C'est pas une obligation pour la femme mais un choix, elle a le droit de ne pas en vouloir, d'en vouloir seulement un ou dix. Elle a le droit de vouloir se consacrer à sa carrière ou tout simplement de ne pas en avoir ENVIE!