Peut-être que ma vie ne va plus être que ça, maintenant : une suite de gouttes qui font déborder le vase.
Il n’y a rien de plus effrayant que de montrer aux autres ce qu’on n’aime pas chez nous.
L’ennui, quand on est constamment à cran, c’est qu’on oublie que les autres aussi peuvent en baver. Ou c’est peut-être juste moi.
Maintenant que je mesure toute la toxicité qui peut se cacher sous l’apparence de la perfection, j’aimerais bien pouvoir remonter quelques années en arrière pour voir la famille Riordan à travers des yeux plus mûrs, plus sages.
Je ne comprends pas comment on peut regarder une personne visiblement en souffrance en train de se débattre et se dire : « Vous savez ce qu’il lui faut ? Du temps pour mouliner ses pensées. »