Personne ne pouvait priver le monde d’une vie comme la
sienne. Quelqu’un qui m’avait fait l’amour comme il l’avait fait la veille ne pouvait pas avoir disparu. Nous étions trop heureux, trop vivants… La mort ne pouvait pas suivre des moments comme ceux-là.
Cela ressemblait beaucoup à notre combat sur la pelouse et trahissait la même passion brûlante. Au fond, les instincts qui poussent les gommes à se battre et à faire l'amour ne sont pas si différents. Tous deux viennent de notre part animale.