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Critique de cleophas35


Reconnaissons à @Deon Meyer d'avoir imaginé avant l'heure une pandémie mondiale résultant d'un coronavirus. Heureusement, la vraie pandémie n'a pas eu la gravité de la fièvre telle que racontée dans le roman.
A part cela, je dois avouer que je n'ai pas du tout accroché avec le livre, que je considère comme le plus mauvais de tous ceux que je l'ai lus de cet auteur, que j'apprécie pourtant. Les 700 pages m'ont parus longues et sans grand intérêt.
Nous sommes dans le récit d'une après-pandémie, l'humanité ayant réduite de 95%. le narrateur, un ado (c'est dit à peu près 90 fois, donc on le retient), est témoin de la reconstruction difficile d'un nouveau monde. le problème, c'est que ce récit de Robinsons tourne en rond. Arrivent plein de personnages dont on survole l'histoire. Ils sont très traumatisés, mais pas longtemps... D'autres sont très blessés, mais pas longtemps... Ne parlons pas des incohérences permanentes, de la traduction médiocre, des clichés et des répétitions incessantes.
Quant à la fin, elle pourrait être intellectuellement stimulante à défaut de plausible, mais le narrateur amorphe ne nous donne pas envie de creuser davantage. On est juste content de passer à autre chose.
Pour les amateurs du genre, le Fléau de Stephen King me parait bien meilleur; je n'ai pas lu La Route.
Et ne vous fâchez pas définitivement avec @Deon Meyer, il est capable de bien mieux.
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