Il y a toujours une part de chance dans la vie, Sabrina. Le destin nous joue des tours que tout notre talent et toute notre expérience ne peuvent parfois contrer. C’est une chose que nous ne devons jamais oublier.
Il y a toujours dans nos vies des compartiments sombres, des recoins obscurs, où nous laissons entrer certaines personnes et d’où nous excluons les autres. C’est comme un tissu dont la trame inextricable mêlerait secrets, illusions et espoirs déçus.
J’ai l’impression que ma vie n’est qu’une suite de commencements et que je ne sais jamais par où commencer.
Les vies et les souvenirs du passé font partie intégrante de nous, même si on ne les entend plus, même si on ne les voit plus. Rien n’a disparu ; seulement, nous n’avons pas trouvé la clef qui permet d’accéder à ce qui n’est plus.
Si on fait l’effort de comprendre quelqu’un, c’est qu’on l’aime.
L’espoir n’est pas une façon de conduire les affaires. Surtout quand il s’agit de l’argent du gouvernement.
Ceux qui font le bien se tournent toujours vers ceux qui font de l’argent.
Nous avons préféré parler de l’avenir. Nous avions tant de projets, d’espoirs, de rêves… qui peuvent encore tous se réaliser.
Quand on est jeune, on n’écoute que sa propre voix, on ne fait attention qu’à soi. La plupart des gens ne dépassent pas ce stade-là, quel que soit leur âge. Mais l’artiste doit apprendre à voir et à entendre au-delà de l’évidence.
La plupart des gens diraient n’importe quoi pour meubler un silence.