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Critique de VicMick73
Un tome spécial où nous retrouvons Martin Servaz dans ses débuts au SRPJ de Toulouse.
Dans la première partie, on est en 1993, il a alors 24 ans, et participe à sa première enquête : un double meurtre de deux jeunes femmes de 20 et 21 ans, soeurs, Ambre et Alice, mortes dans de drôles de circonstances.
Nous le retrouvons avec Alexandra, son ex-femme qui est encore sa femme, et Margot, âgée alors de 2 ans.
Son enquête aboutit bien vite, trop vite, l'affaire est bouclée.
Dans la seconde partie, nous ferons un bon en avant, 25 ans plus tard, en 2018, un an après le tome précédent « Nuit ».
Cette fameuse enquête semble revenir sur le tapis... Que s'est-il passé... Pourquoi semble-t-elle se rouvrir autant d'années plus tard ?
C'est ce que nous découvrirons avec l'aide de Martin, dorénavant Capitaine, après les péripéties du dernier tome.
Comme « Nuit », j'ai trouvé cette suite avec beaucoup de longueur.
Mais bien heureusement, Bernard Minier sait nous tenir en haleine dans son dénouement.
Une très bonne lecture avec une fin qui donne envie : mais pourquoi Martin, n'as-tu pas ouvert cette lettre d'Autriche, nous avons envie de savoir, d'avoir des nouvelles de notre Julian Hirtmann !!
Nous le saurons probablement dans le prochain tome.
Dans la première partie, on est en 1993, il a alors 24 ans, et participe à sa première enquête : un double meurtre de deux jeunes femmes de 20 et 21 ans, soeurs, Ambre et Alice, mortes dans de drôles de circonstances.
Nous le retrouvons avec Alexandra, son ex-femme qui est encore sa femme, et Margot, âgée alors de 2 ans.
Son enquête aboutit bien vite, trop vite, l'affaire est bouclée.
Dans la seconde partie, nous ferons un bon en avant, 25 ans plus tard, en 2018, un an après le tome précédent « Nuit ».
Cette fameuse enquête semble revenir sur le tapis... Que s'est-il passé... Pourquoi semble-t-elle se rouvrir autant d'années plus tard ?
C'est ce que nous découvrirons avec l'aide de Martin, dorénavant Capitaine, après les péripéties du dernier tome.
Comme « Nuit », j'ai trouvé cette suite avec beaucoup de longueur.
Mais bien heureusement, Bernard Minier sait nous tenir en haleine dans son dénouement.
Une très bonne lecture avec une fin qui donne envie : mais pourquoi Martin, n'as-tu pas ouvert cette lettre d'Autriche, nous avons envie de savoir, d'avoir des nouvelles de notre Julian Hirtmann !!
Nous le saurons probablement dans le prochain tome.
