De la lignée des hommes qui accompagnent nos vies, un jour, il ne restera rien. Rien, écrit-il. Quelque temps, oui, peut-être, quelques années encore, quelques êtres familiers se souviendront de nous, puis deux ou trois parents, puis un seul, puis personne.
Cette petite valse lente, commencée autrefois dans le lit de sa mère en pleine lumière d'été, s'époumonait maintenant à l'approche des couches froides de l'obscurité...