Nous sommes plongés ici en 1683 dans une auberge qui va voir ses portes se fermer avec ses occupants après le décès d'un de ses voyageurs de passage qu'on soupçonne d'avoir trépassé de la peste. Devant ce péril, l'auberge est mise en quarantaine mais cette fois c'est l'aubergiste qui manque de trépasser.
Voilà voilà, en soit l'histoire n'est pas inintéressante mais j'ai craqué après 200 pages ce qui est plutôt exceptionnel. C'est très érudit, autant dire trop à mon goût, avec moult détails de l'histoire de France, mais franchement au final on finit par s'y perdre dans l'histoire en elle-même. Lâche abandon d'un ouvrage dont on m'avait pourtant vanté les mérites NaNvotre avis si vous l'avez lu ?
Commenter  J’apprécie         30
Personnellement, j'ai lâché l'affaire au tiers du livre.
Je me suis ÉCOnomisé tellement les auteurs louchaient en vain de ce côté.
L'érudition sans incarnation n'est qu'ennui.
Le moins que l'on puisse dire c'est que l'on n'embarque pas le lecteur. On ne reste même pas à quai : l'intrigue principale se passe dans une maison close romaine pour cause de peste supposée.
Je n'ai accroché à aucun des personnages malgré ma bonne volonté. Les meilleurs moments se situent lors des nombreuses descriptions de prescriptions médicinales.
Amusant mais, à la fin, il faut une bonne purge.
En résumé, pour moi ce livre c'est « clystères et boules de gomme » .
Commenter  J’apprécie         30