Citations sur Après tout (74)
Les livres vous apprennent la vie. Les livres vous enseignent l'empathie. Mais vous ne pouvez pas acheter des livres si vous avez à peine de quoi payer le loyer. Donc, cette bibliothèque est une ressource vitale ! Si vous fermez une bibliothèque, Louisa, vous ne condamnez pas seulement un bâtiment, vous fermez la porte de l'espoir.
Je ne pleurerais plus si j'étais toi, dit-elle sagement. Primo, aucun homme n'en vaut la peine. Même Katy Perry te le dira. Deuxio, tes yeux deviennent vraiment petits quand tu pleures. Petits genre couilles de mites.
Je ne pus me retenir de rire.
Je pensais à la chance que c'était de tomber amoureuse non pas d'un homme extraordinaire, mais de deux - et de votre veine s'ils vous aimaient tous les deux en retour. Je songeai à combien nous sommes modelés par les gens qui nous entourent, et par conséquent au soin qu'il faut mettre à les choisir. Et enfin, je me dis que, malgré tout, il fallait se résoudre à tous les perdre pour pouvoir se trouver vraiment soi-même.
On ne peut pas tout avoir. Et nous, les immigrés, somme bien placés pour le savoir. Toujours un pied dans deux endroits différents. On ne peut jamais être complètement heureux parce que, à partir du moment où vous partez, vous êtes deux personnes, et, où que vous soyez, il y a toujours une moitié de vous qui appelle l'autre.
Agnes, vous êtes à peu près cent fois plus belle que n'importe laquelle des femmes dans cette salle. Vous êtes magnifique. Et la robe est fabuleuse. Alors, portez-la comme un énorme doigt d'honneur. Vous voyez ? Je porte ce qui me plaît et je vous emmerde.
Quand des êtres chers meurent jeunes, c'est un rappel permanent que rien ne doit être tenu pour acquis, qu'il est de notre devoir de profiter au maximum de ce que la vie nous donne.
Les livres vous apprennent la vie. Les livres vous enseignent l’empathie. Mais vous ne pouvez pas acheter des livres si vous avez à peine de quoi payer le loyer. Donc, cette bibliothèque est une ressource vitale! Si vous fermez une bibliothèque, Louisa, vous ne condamnez pas seulement un bâtiment, vous fermez la porte de l’espoir.
- Je suis lesbienne, papa. Je suis lesbienne, et je suis plus heureuse que je ne l'ai jamais été, et la façon dont je choisis d'être heureuse ne regarde personne.
Ce fut la moustache qui me rappela que je n'étais plus en Angleterre : un mille-pattes gris, compact, qui dissimulait la lèvre supérieure de l'homme. Une moustache de Village People, une moustache de cowboy, la tête miniature d'un balai-brosse qui ne plaisantait pas.
Ah, mais nous vivons à une époque où le moindre désir doit être immédiatement satisfait. Et nous habitons dans la ville [ NY ] où tu obtiens ce que tu veux "hier" .