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Critique de Ponderosa
Coste, le retour. Enfin ! Je commençais à désespérer qu'il revienne un jour.
Coste n'est pas au mieux de sa forme, ou sans doute est-ce par ce qu'il cache bien son jeu pour pouvoir assumer ses nouvelles fonctions, ni vu ni connu.
Je ne peux en dire plus par peur de spoiler. En revanche ce que je peux vous dire c'est qu'il est indispensable de lire la trilogie (Code 93, Territoires, Surtension) avant ce quatrième opus car tout au long de l'histoire il y a des allusions à la fin du 3ème volume et lire Dans le brumes de Capelans avant serait gâcher l'effet de surprise.
J'ai retrouvé avec grand plaisir l'écriture d'Olivier Norek, précise, sans détails inutiles et avec toujours quelques notes d'humour. L'auteur nous fait également voyager et découvrir l'ile De Saint-Pierre.
La fin est tout à fait surprenante ; je ne m'attendais pas du tout à ça. L'auteur a bien su ménager son effet !
J'ai pris tout mon temps pour lire ce quatrième volume mettant en scène Victor Coste. J'ai savouré chaque phrase, chaque paragraphe et je ne regrette qu'une seule chose : l'avoir déjà terminé.
Coste n'est pas au mieux de sa forme, ou sans doute est-ce par ce qu'il cache bien son jeu pour pouvoir assumer ses nouvelles fonctions, ni vu ni connu.
Je ne peux en dire plus par peur de spoiler. En revanche ce que je peux vous dire c'est qu'il est indispensable de lire la trilogie (Code 93, Territoires, Surtension) avant ce quatrième opus car tout au long de l'histoire il y a des allusions à la fin du 3ème volume et lire Dans le brumes de Capelans avant serait gâcher l'effet de surprise.
J'ai retrouvé avec grand plaisir l'écriture d'Olivier Norek, précise, sans détails inutiles et avec toujours quelques notes d'humour. L'auteur nous fait également voyager et découvrir l'ile De Saint-Pierre.
La fin est tout à fait surprenante ; je ne m'attendais pas du tout à ça. L'auteur a bien su ménager son effet !
J'ai pris tout mon temps pour lire ce quatrième volume mettant en scène Victor Coste. J'ai savouré chaque phrase, chaque paragraphe et je ne regrette qu'une seule chose : l'avoir déjà terminé.
