Alain Nueil fait revivre, sous un titre déjà choisi en son temps par
Théophile Gautier, les mystères de la cour du roi de Perse Shahryar et de sa légendaire concubine Shéhérazade.
Il imagine que le plus insignifiant des scribes, Halemi, ait écrit dans l'ombre de ces importants personnages, des contes d'inspiration très personnelle, prêtant des propos tour à tour licencieux ou séditieux aux occupantes et gardiens du harem.