« Bien des choses liaient cette sordide usine à l’étrange maladie ! J’ai noté que selon vos dires, seuls les ouvriers de la conserverie, ainsi que les pêcheurs qu’elle sous-traitait, souffraient tôt ou tard de ces maux. » (p. 103)
Il y a des jours qu'on aurait voulus éternels ... mais il y a des jours, qu'on voudrait ne jamais avoir vécus ...
(pages 9 et 11)
Le courage ne se vend pas à l'auberge.
« Le malheur n’est pas là-bas, mais ici, dans ce village. Je ne sais pas si le mal qui ronge le pays sera vaincu, mais la vieille sorcière m’a donné la force de le combattre. » (p. 93)
"Le soleil, la terre, il y a des jours qu'on aurait voulu éternels. Ces après-midi sur les rochers... les cris des mouettes, la fraîcheur et le fracas des vagues."
À bord des bateaux, la vie était dure, mais la pêche était un combat où l'homme respectait la mer ...
(page 74)
C'était donc ça, l'âge adulte ... ou bien était ce dette étrange sensation au creux du ventre, l'impression fugace de pouvoir caresser le passé, revivre un morceau d'enfance ? ...
(pages 62 et 63)
Quand le jour s'est éteint ... et que la terre est en sommeil ... la mer s'éveille.
(p
« Nous avions la conserverie qui faisait travailler tout le canton et nous préservait de la misère. » (p. 27)
« N’est-ce pas un lieu à faire froid dans le dos, une véritable source d’inspiration ? » (p. 10)