[Raoul de Lorraine] Pour gagner une bataille, il ne suffit pas toujours d'être le plus fort... Parfois, l'essentiel est de savoir lire le cours des choses pour influer sur le moral des troupes.
HAWKWOOD : La colère vous aveugle donc au point de ne pas sentir une lame approcher de votre nuque ?
EDOUARD : Cet homme m’a pris à revers.
HAWKWOOD : Vous aurez beau trouver ça fourbe et lâche… une fois la gorge tranchée… tous vos principes mourront avec vous.
Combattre avec bravoure, et savoir reconnaître sa défaite lorsque l'ennemi s'avère plus fort... Voilà la seule manière qui sied à un chevalier qui se respecte.
Jouer de ruse, user de stratagèmes retors plutôt que de croiser le fer, c'est trahir tous les principes de la chevalerie... C'est se comporter en lâche !
[Otto Doria] Jadis, ils méprisaient l'arbalète, la considéraient comme déloyale...au point d'en appeler au pape afin qu'il la frappe d'anathème...Car l'arbalète était une arme qui ne demandait que peu d'entraînement...quiconque capable d'en presser la gâchette était en mesure de s'en servir ! Elle mettait le manant en position d'occire un chevalier ! Alors, les nobles défenseurs du peuple ont pris peur...S'ils ont demandé à l'église de 'interdire...c'est parce qu'ils craignaient de voir l'arbalète menacer leur suprématie ! Et ils avaient cent fois raison...Aujourd'hui leur prétendu supériorité n'est plus qu'une vaine illusion...Le temps des chevaliers est révolu !
JACQUES III, Roi de Majorque : Quand un ennemi vous tourne le dos… plutôt que de le poursuivre, mieux vaut passer devant lui.
[…] à général fougueux, armée fougueuse…