Citations sur Astrid et Veronika (25)
L'amour nous vient sans prévenir et, une fois qu'il nous est donné , on ne peut plus jamais nous l'enlever.Il ne faut pas l'oublier. L'amour ne se perd pas.Il ne se mesure pas.p.244
L'essentiel se trouve souvent dans les choses simples, vous ne croyez pas ? Pour la peinture et la photographie, il paraît que tout est dans le regard. Pour l'écriture, dans l'observation. La technique est secondaire. Parfois, les choses les plus simples sont aussi les plus difficiles.
Vivez, Veronika ! Prenez des risques ! C'est là tout le sens de la vie. Nous devons chacun chercher notre bonheur. Personne n'a jamais vécu notre vie, il n'y a pas de règles. Fiez-vous à votre instinct. N'acceptez que le meilleur, mais surtout cherchez-le bien, ne le laissez pas vous filer entre les mains. Les bonnes choses passent parfois inaperçues. Rien ne nous arrive tout entier. C'est ce que nous faisons de ce que nous trouvons en chemin qui détermine l'issue. Ce que nous choisissons de voir, ce que nous choisissons de conserver. Et ce que nous choisissons de garder en mémoire.
Chaque jour de ces premières semaines, de ces mois, même, occupe pourtant une place bien a lui dans mon esprit. Je peux le ressortir et le contempler a l'envi, ses couleurs sont toujours aussi éclatantes, sa résolution toujours aussi nette.
Vivez, Veronika ! Prenez des risques ! C'est là tout le sens de la vie. Nous devons chacun chercher notre bonheur. Personne n'a jamais vécu notre vie, il n'y a pas de règles. Fiez-vous à votre instinct. N'acceptez que le meilleur, mais surtout cherchez-le bien, ne le laissez pas vous filer entre les mains. Les bonnes choses passent parfois inaperçues. Rien ne nous arrive tout entier. C'est ce que nous faisons de ce que nous trouvons en chemin qui détermine l'issue. Ce que nous choisissons de voir, ce que nous choisissons de conserver. Et ce que nous choisissons de garder en mémoire.. N'oubliez jamais que tout l'amour de votre vie est là, en vous, et qu'il le restera toujours. Jamais on ne pourra vous le prendre.
N'acceptez que le meilleur, mais surtout cherchez-le bien, ne le laissez pas vous filer entre les mains. Les bonnes choses passent parfois inaperçues. Rien ne nous arrive tout entier. C'est ce que nous faisons de ce que nous trouvons en chemin qui détermine l'issue. Ce que nous choisissons de voir, ce que nous choisissons de conserver. Et ce que nous choisissons de garder en mémoire.. N'oubliez jamais que tout l'amour de votre vie est là, en vous, et qu'il le restera toujours. Jamais on ne pourra vous le prendre.
- Il en va de même des secrets. Des souvenirs aussi. On peut bien se convaincre qu'ils ont disparu, ils sont toujours là quand on y regarde de plus près. S'il y a une volonté de les déterrer.
Tandis que le soleil se coulait sur la colline derrière nous, la ville abdiqua ses couleurs face à la nuit tombante. Les stridulations d'un millier de cigales nous enveloppèrent et le parfum de leurs fleurs invisibles flotta das l'air. Alors, nous ne fîmes plus qu'un, l'un avec l'autre et avec la nuit. Comme nous reposions ensuite par terre, mon regard se posa sur la douce obscurité au-dessus de nous, où scintillaient des étoiles inconnues. Ma tête était appuyée sur son épaule , mon nez enfoui dans le creux de son cou. Je respirai son odeur puis caressai mon ventre. Et songeai à nos enfants avec une confiance absolue dans l'avenir.
Chaque minute, elle peinait davantage à détacher son regard de l'autre maison. Celle-ci finit par occuper tout l'espace, toutes ses pensées. Alors elle alla chercher sa veste. Lorsqu'elle émergea sous le porche et s'aventura à pas hésitants sur l'allée de gravier, elle ne savait pas encore tout à fait où la menaient ses pieds. Comme sa main lorsqu'elle avait rendu le salut, ses jambes agissaient indépendamment de sa conscience. Elle emprunta le chemin et traversa le jardin de l'autre maison, toujours inanimée. Elle frappa à la porte, puis recula, comme pour prendre la fuite. Mais, la réponse se faisant attendre, elle avança et tapa de nouveau, plus fort cette fois. Elle crut entendre des bruits feutrés, des pieds nus sur des marches de bois. Lorsque la porte s'ouvrit et qu'elle se retrouva face à la jeune femme, elle sut que la vie était irrévocablement revenue. La glace se fissurait en elle.
J'ai l'impression que mon existence a été soufflée, que mon univers est devenu incompréhensible. Qu'il n'en reste que des éclats et des particules que je traîne partout avec moi. Des débris encore coupants qui me blessent lorsque j'y touche. Et lourds, si lourds à porter. je sais qu'il y en a d'autres, des fragments moins intenses dont j'ai besoin pour reconstituer l'ensemble. Je veux me souvenir de tout. Mais sans doute dois-je faire preuve de patience, m'accorder du repos, prendre un peu de recul, voir si j'arrive à distinguer une structure. Et affronter la vérité.