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Critique de Josephine2


Après avoir lu « Là où chantent les écrevisses », le premier roman de Delia OWENS, à sa sortie, et en attendant son prochain qui ne devrait pas tarder, je me suis lancée dans la lecture de ce remarquable témoignage. Mark et Delia OWENS, fraîchement diplômés, étudient, en plein désert du Kalahari les animaux sauvages, que ce soit les lions, les hyènes, les oiseaux, les oryx et autres troupeaux d'animaux, avec très peu de moyens, c'est le moins que l'on puisse dire. Ils racontent leurs péripéties, leurs espoirs, leurs découragements, leurs déboires, leurs réussites. On découvre un pays fabuleux, encore vierge, qui ne le restera malheureusement pas longtemps.

A travers ce récit, ils racontent la fragilité de l'espèce animale et humaine, de la nature et du désastre causé par les hommes, qui a chaque fois qu'ils foulent un territoire, met en péril l'équilibre naturel. L'homme en pâtira. Il suffit de voir le changement climatique actuel. Tout est lié.

Le travail de fourmi de Mark et de Delia a permis de faire prendre conscience, à certains, et aux populations qui vivent en Afrique, de l'importance de préserver cette nature sauvage, avec plus ou moins de succès.

Mais ne dit-on pas « les petits ruisseaux font les grandes rivières » ?
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