Je suis lecteur de fiction, beaucoup plus rarement de récits. Quand j'ai vu ce livre dans une boîte à livre, j'ai reconnu le nom de
Delia Owens, dont j'avais beaucoup aimé
Là où chantent les écrevisses. LA 4e de couverture m'a appris que ce livre était le récit de leurs années de recherches sur la faune sauvage au fin fond du désert du Kalahari dans les années 70.
Pendant ces années, seuls dans le désert, ils ont vécu des choses incroyables qu'ils savent parfaitement raconter. Ils arrivent à nous faire vibrer pour des hyènes ou des chacals, ce qui montre à quel point l'exercice est réussi.
J'avoue quand même avoir un peu tiré la langue sur la fin de ces 500 pages. Je suis admiratif, mais content de retourner à la fiction et à son rythme.
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