Critique de
Jérôme Tharaud en quatrième de couverture du
Marius de
Pagnol édité au quatrième trimestre 1963 par le Livre de Poche :
Je vois assemblés autour de vous tout ce peuple gracieux sorti de votre imagination, les
Marius, les
César, les Panisse et les
Fanny... tous ces santons marseillais qui sentent l'ail et la lavande, les coquillages et le pastis, les nostalgiques odeurs du Vieux Port de Marseille, tout ce monde jovial, emporté, mélancolique, aussi près du rire que des larmes, de la tragédie que de la comédie.
On oublie que l'on est au théâtre, on est sur le Vieux Port, on en respire l'odeur, on en perçoit l'accent.
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