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Citations sur Dylan Stark, tome 14 : Quand gronde la rivière (7)

On ne joue pas bien et le cœur n’est pas clair quand on s’installe à la table en cours de partie, quand on connaît mal les règles et qu’il vous est interdit de donner les cartes. On n’est pas vraiment dans le jeu et l’on peut simplement admirer ses partenaires. Rien de plus.
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Fin du printemps 1866 (juin)
"Quand gronde la rivière", dangereuse en raison de sa propre furie et surtout de la folie destructrice des hommes, Dylan et Kija embarquent sur le radeau de Rigo-la-rivière. Marginal sympathique et chaleureux, il est poursuivi par les honnêtes gens qui ont en poche le contrat permanent de voler le bois en toute légalité.
C'est dans une nouvelle chasse à l'homme dont ils sont le gibier, et sur l'Alabama River, redoutable piège fluvial, que les compagnons sont engagés sans le savoir.
A la loi stricte s'opposent l'amour de la liberté et de la justice des coutumes et des clans, la spontanéité et la tendresse de ceux que lient le danger et le rêve, la joie et l'amitié virile.
Le drame consommé, les deux hommes à cheval, impuissants à le conjurer, continuent la piste vers Mobile.
(extrait de l'introduction du recueil "Dylan Stark Intégral 2" paru aux édition "Lefrancq littérature" en 1998)
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C’était encore presque un gosse… un gosse un peu fou, inconscient, qui jouait avec la vie, avec la mort, avec le risque. Qui ne savait que jouer et qui, au fond de lui, était sans doute surpris du courroux déchaîné chez les hommes.
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Le fleuve était calme et lourd, comme une grande coulée d’argent fondu, soigneusement ramassé entre ses rives touffues. Une belle nuit de juin, sans une tache dans l’encre pâle du ciel. Quelque chose de parfait.
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Il eut peur – réellement peur – une seconde, se sentit moite et glacé en découvrant soudain cet enfer au cœur duquel il était plongé. Pas plus d’une seconde, trop heureux que cette nuit incertaine – qui avait insolemment caché le vrai visage du danger – fût enfin terminée. Mieux valait voir, encore, mieux valait se crisper à chaque seconde sur la barre, plongeant derrière l’incroyable débandade, plutôt que de se laisser glisser dans l’incertitude. Mieux valait voir, si cela devait être, la roche hurlante qui crèverait le radeau.
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Un marin, ça devrait mourir la bouche ouverte, enlevé par une lame de fond, ou écrasé sous un paquet de mer, quelque chose dans ce goût-là. Un marin, c’est comme ça, et ce n’est guère copain avec la terre ferme.
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Le timide a peur avant le danger, le lâche au milieu du danger, le courageux après le danger.
 
J.-P. Richter
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