Je me plante devant lui, ne sachant pas trop comment me comporter. Il me tend la joue et met fin à mon dilemme.
— Bonsoir Rose, vous semblez gelée, entrons vite.
Une fois à l'intérieur, nous nous dirigeons ensemble vers le vestiaire. Je tends mon manteau par dessus le comptoir, dévoilant ma robe blanche fluide et échancrée. Julian émet un son semblable à un petit grognement et siffle entre ses dents :
— Je comprends mieux pourquoi vous n'étiez pas réchauffée...
Je jubile en sentant son regard me parcourir. Et un premier point de marqué avec ma tenue légère, un !
« Puisque l'homme idéal n'existe pas, pourquoi attendre après lui ? Même ceux qui ont l'air de parfaits gentlemen tombent vite le masque et se révèlent aussi décevants que les autres. Dans ma tête, la voix de Laure résonne : "Profite un peu plus de la vie, Rose, arrête de courir après des chimères ! " » (p. 74)