Malgré la douleur de l'autrice très clairement exprimée et comprise, ce roman m'est apparu comme vindicatif et confus tout du long. Au travers des mots, j'ai perçu sans connaître l'autrice ni la vie de Gaspard Ulliel avant la lecture, un besoin d'être reconnue comme centrale dans la vie - et la mort - du comédien (son unique amour, après qui aucune n'aura compté - imaginez une seconde la douleur de ces mots pour une femme qui a pu sincèrement l'aimer entre-temps). le traitement réservé aux gens qui ont été peinés par son décès mais n'appartenaient pas à son cercle proche m'a paru aussi injuste et violent.
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