ceux qui prônent le partage sont souvent les plus gras, ceux qui parlent de la foi dans la joie sont tristes à mourir, chacun prêchant pour sa paroisse. Le clergé doit rester encadré et à sa place, sinon rien ne va plus !
Pas de quartier. Il ne peut pas y avoir d’entente avec les Rouges.Leur élimination est une œuvre de salubrité. On ne discute pas avec la vermine,
on l’écrase.
Faut battre le fer tant qu’il est chaud.
C’est de votre silence et de votre stricte obéissance que dépendent les membres d’une telle armée ! Et dès que vous dites oui, vous êtes lié par un serment que seul le sang peut défaire. La seule punition que nous connaissons, c’est la mort !
Alors, oui, le sang peut couler, mais pas le vôtre car nos hommes sont
bien trop précieux pour que nous prenions le risque de les perdre !
Nous avons besoin d’hommes comme vous, fougueux,prêts à des actions militaires, et, comme je vous l’indiquais, votre nom m’est naturellement venu à l’esprit. Tous mes amis ont approuvé. Mais, attention,c’est dangereux, on ne joue pas ! On lutte à mort, avec des armes, comme dans une armée, mais secrète.