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Brigadistes
Liste créée par Pecosa le 13/10/2016
99 livres. Thèmes et genres : brigades internationales , romans policiers et polars , guerre civile espagnole , espagne , roman noir

80 ème anniversaire des Brigades Internationales.

Essais, romans, nouvelles, bandes dessinées.



1. L'espoir guidait leurs pas: Les volontaires français dans les Brigades internationales, 1936-1939
Rémi Skoutelsky
3.50★ (19)

Peu de textes ont raconté l'épopée des milliers d'hommes qui se sont portés au secours de la République agressée. Rémi Skoutelsky, s'appuyant sur d'importants fonds d'archives et sur nombre d'entretiens, nous donne ici une somme tragique et émouvante : on y découvre le contingent français dans ses idéaux, ses combats, dans son quotidien. L'auteur, grâce à des témoignages magnifiques, fait revivre, pour nous et pour l'histoire, l'aventure dans ses moindres détails.
3. Les brigades internationales
Jacques Delperrié de Bayac
3.75★ (25)

Combattant dans les rangs républicains pendant la guerre civile espagnole, les Brigades Internationales ont alimenté une légende, illustrée notamment par Hemingway (Pour qui sonne le glas) et Malraux (L'Espoir). Voici leur histoire. Engagés pour la première fois dans la défense de Madrid, puis à Malaga, Guadalajara, Brunete et Teruel, leurs effectifs ne dépassent pas 40 000 hommes. Elles sont composées essentiellement d'antifascistes allemands (bataillon Thaelmann) et italiens (bataillon Garibaldi). Parmi leurs cadres se trouvent des hommes qui joueront ensuite un rôle de premier plan dans le communisme international : François Billoux, André Marty, Walter Ulbricht, Georges Dimitrov, Josef Broz (Tito), Luigi Longo, Palmiro Togliatti, etc. Grâce à un constant effort d'objectivité, en dehors de toute passion partisane ou polémique, J. Delperrié de Bayac retrace avec exactitude et ferveur l'épopée de ces hommes qui se sacrifièrent pour que vive la République espagnole.
4. Lugares de las Brigadas Internacionales en Madrid centro
Ken O`Keefe
La presente guía pretende dar a conocer al público interesado los lugares de Madrid que estuvieron relacionados directa o indirectamente con las Brigadas Internacionales. La guía se organiza en torno a tres rutas orientativas. La ruta roja señala los lugares de memoria situados sobre el itinerario que el 8 de noviembre de 1936 siguió la XI BI desde la Estación de Atocha hasta las posiciones asignadas por el mando. La ruta amarilla rastrea diferentes lugares frecuentados por los brigadistas en las raras ocasiones en las que disfrutaron de un respiro en su dura actividad bélica. La ruta morada señala principalmente lugares relacionados con la solidaridad internacional en sus múltiples facetas. Junto con el libro se incluye un mapa que señala los tres recorridos y una síntesis informativa de los lugares. Al dar a conocer estos espacios de memoria queremos contribuir a mantener vivo y difundir el legado de aquellos “voluntarios de la libertad” que vinieron a defender la República española. Aquella fue la primera lucha de resistencia frente al fascismo agresivo que acabó siendo derrotado en 1945.
6. Lugares de las Brigadas Internacionales en Madrid. Vol.3: Batalla del Jarama y carretera de la Coruña
Ken O`Keefe
El tercer volumen de Lugares de las BI en Madrid está dedicado a señalar los lugares donde combatieron las brigadas XI, XII, XIV y XV durante los meses de diciembre de 1936 a febrero de 1937, así como aquellos otros en los que disfrutaron de algún tiempo de reposo y reorganización. Aunque el campo de batalla y las actuaciones de las cuatro brigadas internacionales tienen una atención preferente, no está de más señalar los muchos lugares de la geografía madrileña, desconocidos hasta ahora, por los que pasaron los diferentes batallones: Valdeavero, Pezuela de las Torres, Velilla de San Antonio, San Fernando de Henares, Miraflores de la Sierra... Hay que tener que, tras los duros combates, las unidades requerían tiempo para descansar, reorganizarse con nuevos combatientes, proseguir la instrucción, etc. y todo ello requería de lugares apartados y tranquilos. La AABI quiere con estas guías contribuir a esclarecer y difundir el recuerdo de aquellos jóvenes revolucionarios que cumplieron con su deber internacionalista combatiendo el fascismo en suelo extraño. Un ejemplo de solidaridad que se agiganta a medida que pasan los años, y a medida que la ramplonería individualista y consumista va destrozando los viejos ideales. O no tan viejos. Algún día aflorarán. A ello queremos contribuir.
7. Live Souls
Serge Alternês
Photographies de Alec Wainman.
8. Nouveaux regards sur les brigades internationales
Stanislav Demidjuk
Qui furent ces 35000 brigadistes ? L'armée de Staline ? Une armée d'intellectuels ? Les travailleurs manuels , souvent antimilitaristes mais tous antifascistes , y dominent . Certains rêvent de rébellion , mais la plupart sont des militants communistes ou anarchistes . Que deviennent-ils ? Après avoir connu , en 1939 , lors de la Retirada , les camps de concentration du sud de la France , beaucoup rejoindront la Résistance . Les cubains se battront au coté de Castro . Les Yougoslaves poursuivront leurs rêves révolutionnaires dans leur pays d'origine . Mais d'autres finiront , comme en URSS , dans des camps . Ce livre éclaire , comme jamais encore , l'engagement de femmes et d'hommes luttant pour un monde meilleur .
9. La naissance des Brigades Internationales (Octobre 1936-février 1937)
Pierre Rebière
Retrouvé dans les archives ex-soviétiques, ce témoignage est un document unique sur la création des Brigades internationales durant la guerre civile espagnole. Demeuré inédit depuis sa rédaction, il nous éclaire d‘une manière exceptionnelle sur la façon dont les premiers volontaires étrangers se sont organisés et ont mené leurs premiers combats contre le fascisme en Espagne dans « la Colonne internationale ». Avant de tomber pour la France face à l’occupant nazi en 1942, Philippe Rebière dit « Pierre Rebière » avait été l’un des tous premiers responsables parmi les volontaires français en Espagne. En 1937, il fut chargé d’écrire une histoire des débuts des Brigades internationales, un document qui n’avait jamais été publié jusqu’à aujourd’hui. Conservé sans altération du texte original, le récit de Rebière, dans sa simplicité, vient définitivement confirmer la nature généreuse et désintéressée de la survenue dans la guerre d’Espagne des volontaires internationaux. Extrait : Les effets civils ont presque complètement disparu. Cependant, certains n’ont pas trouvé d’effets à leur taille et on voit leur pantalon civil ou leur veston. Les bérets basques ont été distribués mais sont rapidement troqués contre des bonnets fantaisistes qu’arborent fièrement les « loustics » comme appelle le Commissaire politique ceux qui ne veulent jamais faire comme les autres. Les bretelles des fusils sont rares, aussi c’est avec de la ficelle, même avec des chiffons, que certains portent leurs armes. Quelle Armée ! Les sans-culottes de 1789 devaient avoir de nombreux points d’analogie avec nous. Les effets sont de tous coloris et la grande majorité en noir, ce qui n’inspire nulle confiance à ceux qui ont déjà fait la guerre et disent qu’on les verra de trop loin. Les chaussures aussi ne sont pas uniformes : les uns ont leurs souliers bas d’autres des savates et d’autres des souliers de l’Armée espagnole. Les barbes poussent et la mode est au bouc… Pierre REBIÈRE Philippe Rebière dit « Pierre Rebière » avait été des tous premiers responsables des volontaires français antifasciste partis combattre en Espagne durant la guerre civile. En 1937, il fut chargé d’écrire une histoire des débuts des Brigades internationales, demeurée inédite. Il fut ensuite un membre de la Résistance face à l’occupant nazi, fusillé en 1942.
10. En Espagne avec le Bataillon Commune de Paris
Marcel Sagnier
Composé en grande majorité de volontaires parisiens et d’immigrés espagnols, le plus souvent des ouvriers métallurgistes syndiqués de la région parisienne, le bataillon Commune de Paris fut la première formation française des Brigades internationales durant la guerre d’Espagne. Français et immigrés, ils ont été de tous les combats, devant Madrid puis dans la terrible vallée du Jarama. Marcel Sagnier, jeune sportif ouvrier de Villeneuve-le-Roi, s’est engagé parmi les tous premiers volontaires pour l’Espagne. Il connut une ascension fulgurante, jusqu’à prendre la tête de la brigade internationale francophone La Marseillaise. Mais son témoignage, au rythme trépidant est aussi une œuvre littéraire complète, où son modeste auteur, qui ne nous a pas laissé d’autre texte, déploie des qualités romanesques inattendues. Loin d’être un simple récit de choses vues, Marcel Sagnier et son narrateur nous dépeignent avec humour et émotion le quotidien de ces « Poilus » d’Espagne. Extrait : Le Ciudad de Barcelona est le premier transport par mer de volontaires internationaux ; jusqu’au soir il en arrivera de tous les coins de la France et de tous les coins du monde. C’est la Tour de Babel. Louis reconnaît quelques copains de son arrondissement qui étaient partis quelques jours avant. Des exclamations fusent : « – Tiens, t’es là aussi ? Tu sais untel, il est là »… Les conversations vont bon train, on peut causer de bon cœur. Un responsable arrive : « – Camarades, si on vous demande quelque chose, vous êtes Espagnols, vous avez vos papiers de rapatriés espagnols, ne répondez rien d’autre ». Jusqu’au soir tout est calme, à 10 heures le bateau s’ébranle, une manifestation drapeau rouge en tête vient nous saluer. Nous qui avions pris tant de précautions… Un camarade recommande le calme, pour notre sécurité. L’Internationale monte du quai … Marcel SAGNIER Militant communiste et jeune sportif ouvrier de Villeneuve-le-Roi, il s’est engagé parmi les tous premiers volontaires internationaux durant la guerre d’Espagne, en 1936. Il connut une ascension fulgurante dans les Brigades internationales, jusqu’à prendre la tête de la brigade francophone La Marseillaise. Il est décédé en 1962.
11. La defensa de Madrid
Geoffrey Cox
4.00★ (2)

Durante los últimos meses de 1936 el enviado especial del diario británico News Chronicle, Geoffrey Cox fue testigo de lo que sucedía en aquel Madrid asediado, que parecía a punto de caer en manos de las tropas franquistas pero que, contra todo pronóstico, logró rechazarlas. Sus crónicas se publicaron como libro en Londres en 1937, y de ellas dice el autor: "Las escribí con el enforque de un periodista e historiador, no de un propagandista (...) Me di cuena de que estaba presenciando un momento de significado histórico excepcional" Ésta es la primera historia que se escribió -y se publicó- sobre la defensa de Madrid y que explica con nitidez los confusos y trascendentales acontecimientos que se produjeron durante noviembre de 1936 en la ciudad, con el enemigo a las puertas. También es el primer libro donde se narran los primeros combates de las Brigadas Internacionales.
12. Le sel de la terre : Espagne, 1936-1938, des brigadistes témoignent de leur engagement
Florence Gravas
4.00★ (5)

Moi qui suis un éternel élève de la vie, cet ouvrage m'enseigne cette raison indestructible : il ne faut jamais désespérer et surtout pas de l'homme. Ces pages nous apportent réponse, au travers de témoignages de femmes et d'hommes qui ont pour nom : Lise London, Albert de Coninck, Roger Ossart, Milton Wolff..., une autre vérité, sinon une contrevérité à une histoire salie et revue par des " historiens " plus préoccupés par leur anticommunisme. Enfin des participants parlent et racontent leur hier mais aussi l'utilité et le pourquoi d'un combat, en ces jours de diète idéologique. Lise London d'entrée de jeu plante le décor de cette guerre d'Espagne : Le mot d'ordre de l'insurrection là-bas au Maroc était : " Sur toute l'Espagne le ciel est bleu ". Et Albert de Coninck prêche pour plus de raison : Je suis peut-être le seul qui nie que la guerre d'Espagne ait été une guerre civile... Les témoins à fleurs de mots, à peau de rêves et de douleur nous amènent, en plus de la connaissance de notre Histoire, dans une initiation onirique d'humanité. Ils nous guident vers ce qui est et restera notre essentiel de vie d'homme : " le sel de notre terre ", qui nous fait tant défaut en ces jours maintenant et ici. Que l'Histoire laisse sa semence aux générations qui s'en inspireront pour prendre part à notre poétique de combat. Et qu'à jamais l'injustice et la dictature trouvent sur leur ignominieux passage des femmes et des hommes toujours prêts à relever le poing contre toute barbarie et dictature. Ces brigadistes resteront en notre mémoire et notre c?ur ce symbole vivifiant : tant que l'homme est debout, l'humanité est République. Que sur le grand livre de la Mémoire s'inscrive en lettres de sel et de chair le sacrifice de leur engagement. Michel Reynaud.
13. Hommage à la Catalogne : 1936-1937
George Orwell
4.24★ (1470)

La guerre d'Espagne à laquelle Orwell participa en 1937 marque un point décisif de la trajectoire du grand écrivain anglais. Engagé dans les milices du Parti ouvrier d'unification marxiste (POUM), le futur auteur de 1984 connaît la Catalogne au moment où le souffle révolutionnaire abolit toutes les barrières de classe. La mise hors la loi du POUM par les communistes lui fait prendre en horreur le «jeu politique» des méthodes staliniennes qui exigeait le sacrifice de l'honneur au souci de l'efficacité. Son témoignage au travers de pages parfois lyriques et toujours bouleversantes a l'accent même de la vérité. À la fois reportage et réflexion, ce livre reste, aujourd'hui comme hier, un véritable bréviaire de liberté. Le texte le plus personnel et le plus émouvant de George Orwell.»
14. Bob Doyle. Memorias de un rebelde sin pausa
Severiano Montero Barrado
El autor, un dublinés nacido en 1916, vino a España a finales de 1937 para luchar por la República en las Brigadas Internacionales. Fue hecho prisionero en Calaceite por los Flechas Negras, tropas enviadas por Mussolini para ayudar a Franco a ganar la guerra. Pasó 10 meses en el campo de concentración de San Pedro de Cardeña #otro esclavo de Franco# hasta ser canjeado por prisioneros italianos en poder de la República. Al regresar se instaló en Londres, se casó con Lola, una inmigrante española y, muy pronto, se enroló en la marina británica durante la segunda guerra mundial. Trabajó en el sector de las artes gráficas, donde destacó como sindicalista de base. La BBC le dedicó el documental titulado Bob: un rebelde sin pausa, en reconocimiento a su labor como defensor de todas las causas humanas.
15. ¡Salud! Un Irlandés en la Guerra Civil Española
Peadar O´Donnell
¡Salud! Un irlandés en la Guerra Civil española representa uno de los testimonios más entrañables escritos por un irlandés que fue testigo de excepción durante los primeros meses de la guerra. A principios de julio de 1936, a la edad de 43 años, O´Donnell se encontraba en el pueblo barcelonesde Sitges, a donde había recalado para escribir sobre las reformas agrarias del nuevo Gobierno republicano español, cuando le sorprendió el levantamiento militar. Desde un primer momento. se vio envuelto en el fervor revolucionario que se vivia en Cataluña y viajó por otras partes de España, recogiendo sus experiencias en este libro originalmente titulado Salud! An Irishman in Spain (1937).
16. Charlie Donelly. Vida y poemas
Manolo Garmendia Agirre
El joven irlandés Charlie Donnelly, mientras estudiaba en la Universidad Católica de Dublín, escribía artículos y poemas y se comprometía en las luchas sociales y políticas de aquellos tiempos agitados por la crisis del capitalismo. Viviendo ya en Londres, recibió la noticia del golpe militar fascista en España y él, como otros miles de jóvenes de todo el mundo sintió pronto la “llamada de España”, traducida en la necesidad de ayudar al pueblo español. La barbarie fascista, que había avanzado de forma impetuosa desde la llegada de Hitler al poder en 1933, golpeó con fuerza en España tres años más tarde. La sublevación de los militares, pronto apoyada por Hitler y Mussolini, alertó a un Charlie que, en los artículos políticos que había publicado en los meses anteriores, había seguido con preocupación el avance del fascismo en Europa. Estaba convencido de que su contención en España era la clave de la supervivencia de la democracia en Europa. Charlie Donnelly marchó, con cerca de trescientos compatriotas más, a luchar codo con codo con el pueblo español. Pero, como Tommy Patten, Kit Conway, Eamon McGrotty y tantos otros, no volvió; y terminó dando su vida por la libertad. Este escritor, joven promesa de las letras irlandesas, fue capaz de describir anticipadamente su final en el trágico poema “La tolerancia de los cuervos”. Ahora el poeta forma parte de aquel espléndido y numeroso grupo de héroes solidarios que forjaron la leyenda de las Brigadas Internacionales.
17. Michal Bron
Mónica Cifuentes
MICHAL BRON, judío nacido en Polonia en1909, emigró en 1929 a Palestina, de donde fue expulsado en 1937 por sus actividades políticas. En junio de ese año llegó a España para sumarse a las fuerzas de las Brigadas Internacionales en la defensa de la República. Combatió en el Batallón checoslovaco-balcánico "Georgui Dimitrov", del que llegó a ser comandante, y como otros muchos interbrigadistas y refugiados españoles al acabar la guerra civil estuvo internado en campos de concentración de Francia y el norte de África. Tras combatir en la segunda guerra mundial, desempeñó diversos cargos en el servicio diplomático y en el ejército polaco, entre otros como representante de Polonia en la Subcomisión de la ONU para los Balcanes. Tras dos años de cárcel durante la época estalinista, fue nombrado agregado militar de la Embajada de Polonia en Belgrado. De estas etapas de su vida ha dejado testimonio en tres libros de memorias, publicados en polaco. En 1984 abandonó el Partido Comunista y se trasladó a Suecia, donde continúa residiendo en la actualidad.
18. Amor y saludos revolucionarios. Un chico de Ohio en la Guerra Civil española
Laurie Levinger
El libro es la historia de Sam Levinger, un joven que fue a España en 1937 para unirse a las Brigadas Internacionales. Es la historia de un idealista que se comprometió a viajar a un país extranjero para luchar contra el fascismo. El libro se fundamenta en las cartas, poemas y crónicas que San Levinger enviaba a casa desde España, junto con las cartas y reflexiones de su madre, la escritora Elma Levinger. Narrado a partir de las palabras de un joven soldado y de su madre, así como de otros miembros del Batallón Abraham Lincoln, el libro ofrece un testimonio de primera mano sobre los conflictos y la política de la época. Hombres y mujeres de todo el mundo fueron a España a combatir en defensa de la democracia española. Dos mil ochocientos estadounidenses se unieron a las Brigadas Internacionales. Sam Levinger fue uno de ellos. Sam murió tras resultar herido en la Batalla de Belchite, a la edad de veinte años. La autora de este libro, sobrina de Sam Levinger, viajó a España en busca de su tumba sin nombre. Esta obra narra la crónica emocional y política de la participación de los norteamericanos en la Guerra Civil española, en el lenguaje de quienes lo vivieron.
19. Brigadistes
Jordi Marti-Rueda
A Fanny Schoonheyt li deien la dona més valenta de Barcelona. Felicia Browne va decidir que havia arribat l’hora de deixar els pinzells i agafar un fusell. Els germans Nielsen es van enfilar a tres bicicletes i van pedalar des de Copenhaguen fins al Pirineu. En un vagó de tren ple de soldats, a la infermera Penny Phelps l’amoïnava la bota de vi que s’acostava, de mà en mà i de boca en boca. Durant la Guerra Civil va passar una cosa extraordinària. Milers d’homes i dones d’arreu del món van deixar família, feina i un món en pau per creuar la frontera i combatre el feixisme a la península Ibèrica. Mai en la història s’havia vist un gest de solidaritat com aquest, i mai s’ha tornat a veure. Brigadistes hi posa noms i mirades, amb seixanta relats i seixanta fotografies.
20. Hombres en guerra
Alvah Bessie
Hombres en guerra es un clásico que habla de soldados en la línea de fuego, y uno de los mejores testimonios jamás escritos sobre cualquier guerra. Su autor, Alvah Bessie, fue un escritor y periodista estadounidense que en 1938 combatió en la guerra civil española como voluntario de la Brigada Lincoln. Al volver a su país convirtió los cuadernos que había escrito durante la contienda en la base de este libro, que fue publicado en inglés en 1939 -gracias al apoyo de Ernest Hemingway-, coincidiendo con la invasión de Polonia por parte de la Alemania nazi. Pronto Bessie se convirtió en un reconocido guionista de la Warner Brothers. Sin embargo, en 1950, tras ser acusado por el macartismo de pertenecer al Partido Comunista, fue uno de los Diez de Hollywood, el grupo de personas obligadas a abandonar la industria cinematográfica. Estamos, pues, ante una obra de no ficción que posee un alto valor histórico y literario. En ella Alvah Bessie narra su llegada a España, su incorporación a la Brigada Lincoln, su adiestramiento y su participación en la batalla del Ebro; comparte con nosotros sus marchas nocturnas hasta la primera línea de fuego y los momentos de intimidad... Y al hacerlo nos ofrece un testimonio, entrañable y profundamente humano, de aquellos hombres y mujeres que vinieron de todos los rincones del mundo para luchar por una misma causa.
21. Autobiographie, 1909-1950
Stephen Spender
3.67★ (10)

Les voies de la traduction sont tortueuses .... et opaques. Si le lecteur français a pu récemment découvrir un roman comme "Le Temple", qui est plus un texte de formation qu'une ?uvre accomplie, il attend toujours que les poèmes de Stephen Spender soient enfin intégralement traduits. Il en était de même pour cette "Autobiographie 1909-1950". Ce chef-d??uvre, qui paraît en France plus de quarante ans après sa publication, n'est pourtant rien moins que l'une des autobiographies littéraires majeures de ce siècle....
22. No Pasaran ! Un relato del sitio de Madrid
Upton Sinclair
"Este libro es un grito por la libertad y por la decencia en las relaciones humanas" Collet?s and Workers? Bookshop Edition Un muchacho de origen alemán, Rudy Messer, de vida aburguesada y un tanto frívola, conoce en Nueva York, tras una manifestación en favor de la República al inicio de la Guerra Civil española, a un joven socialista llamado Izzy Bloch. Ambos entablan una amistad y Rudy se interesa por conocer las razones por las que hay que apoyar al gobierno popular de la República. Rudy asiste a reuniones y conoce a otros trabajadores, entre ellos, a un anarquista y a un comunista, que también le exponen sus puntos de vista. Poco a poco va tomando conciencia de la amenaza que representa el fascismo. Al final, repudiado por su familia, de simpatías pro-nazis, decide alistarse como voluntario en las Brigadas Internacionales.
23. les fils de la nuit : Souvenirs de la guerre d'Espagne
Antoine Gimenez
4.12★ (53)

La première partie de cet ouvrage est constituée du manuscrit original des Souvenirs de la guerre d'Espagne, d'Antoine Gimenez. Il y conte tout ce qu'il a vécu au sein de la colonne Durruti, entre 1936 et 1938, sur le front d'Aragon. La seconde partie est consacrée à une étude critique du Groupe International de cette colonne (cantonné à Pina de Ebro), portant sur les principaux épisodes de la guerre dans sa zone d'intervention, sur les collectivités paysannes et, plus généralement, sur les groupes de francs-tireurs, les " Fils de la Nuit ", qui furent formés sous le contrôle des colonnes.
24. Ceux de Barcelone
Hanns Erich Kaminski
4.00★ (21)

?Il y a déjà plusieurs semaines que je suis à Barcelone. La ville m?est familière ; les miliciens dans leurs vêtements romantiques ne me font plus impression. Lorsque je vois une femme coiffée d?un chapeau, je suis étonné. Je trouve tout naturel d?être assis à la même table que des gens armés de fusils ou de revolvers comme dans un roman de pirates. Mais la Révolution donne toujours des impressions nouvelles. La vie est ici mille fois plus intense et cette suite rapide d?événements produit l?effet de piqûres de caféine. Comment pourrai-je vivre désormais dans des pays tranquilles, dans des temps tranquilles ?? Auteur d?un pamphlet contre Céline paru en 1938 et d?une biographie de Bakounine, Kaminsky se trouvait à Barcelone, aux côtés des anarchistes, pendant les mois décisifs pour la révolution espagnole. Son témoignage à chaud sur ces événements est à bien des égards plus précieux que maintes études historiques : ?Je ne crois pas que pour décrire les révolutions on doive attendre leur fin. Car une révolution se maintient et alors elle ne se termine jamais, ou bien elle ne trouve sa fin que par la victoire de la contre-révolution.?
25. Espagne...
Arthur London
4.00★ (5)

Artur London a entrepris la rédaction de ce livre dès sa sortie de prison en Tchécoslovaquie, bien avant que ne paraisse L'Aveu. Malgré l'évidente sympathie que l'auteur entretient pour la République espagnole, Espagne... n'est pas pour autant une histoire partisane - ses adversaires la trouvant trop académique - mais un travail fouillé effectué par un ancien des Brigades Internationales auxquelles l'auteur consacre de nombreuses pages fourmillant d'anecdotes vivantes - comportant une importante introduction historique concernant les mouvements ouvrier et socialiste espagnols qui aide à comprendre les racines historiques des divisions qui coûtèrent tant à la République. L'édition originale du livre d'Artur London parut à Prague en 1963 au moment où une première réhabilitation, après sa condamnation lors du procès Slansky, lui permettait de s'exprimer, mais avec précaution, en public (il ne sera pleinement réhabilité qu'au moment du printemps de Prague). C'était sa façon de réhabiliter ses camarades persécutés partout où des partis communistes obéirent aux ordres de Staline et pas seulement dans les démocraties dites, bien à tort, populaires. Espagne... est donc l'histoire de la guerre d'Espagne vue et vécue par un de ces vaincus porteurs du virus dangereux de la liberté, qui entend apporter à ses camarades l'hommage qui leur est dû. C'est donc un livre qui dérange encore aujourd'hui bien des idées régnantes.
26. Tant pis si la lutte est cruelle : Volontaires internationaux contre Franco
Jean Batou
3.50★ (6)

Si un spectre hante le 20e siècle, c'est bien celui de la guerre civile d'Espagne. En effet, ce conflit en révèle l'anatomie profonde : il en éclaire les humeurs les plus sombres, comme les élans d'espoirs les plus audacieux, alimentés par la perspective récurrente d'une révolution sociale. Ce livre prend le parti d'envisager ce condensé de l'âge des extrêmes, d'abord du point de vue des acteurs de la société civile internationale qui y prennent part. "Tant pis si la lutte est cruelle ", elle paraît essentielle à ces dizaines de milliers de volontaires des cinq continents qui s' engagent dans le camp antifranquiste. Pour la première fois, une analyse minutieuse des trajectoires et motivations de nombreux contingents de combattants étrangers. Âgés le plus souvent de 25 à 30 ans et d'origine ouvrière, ceux-ci sont mus avant tout par une solidarité de classe, quelle que soit leur obédience politique: antifasciste, socialiste, communiste, révolutionnaire... Une attention particulière vouée aux représentants des groupes opprimés qui font de l'Espagne une étape incontournable de leurs propres combats d'émancipation : féministes de tous les pays, nationalistes des territoires coloniaux ou dépendants d'Asie, d'Afrique et d'Amérique latine, militants afro-américains luttant pour l'égalité des droits contre le racisme, opposants des pays autoritaires d'Europe, mais aussi du Japon, etc. Les conflits qui agitent la galaxie des volontaires ne sont pas négligés. En réalité, ils reflètent certes la diversité des composantes du mouvement ouvrier de l'État espagnol, mais incarnent avant tout la virulence des antagonismes qui traversent le mouvement ouvrier international. Au-delà des brigadistes enrôlés par le Komintern, il est donc amplement question des miliciens anarchistes et de ceux qui luttent avec le Poum. En arrière-plan, le rôle de l'Union soviétique de Staline, du Komintern et des réseaux qu'ils contrôlent, est abordé en détail : dates et modalités des décisions d'intervention en Espagne, implication des partis communistes, missions particulières de personnages clés comme Marty, Thorez ou Togliatti, parcours de figure emblématiques comme le général Kléber, alias Manfred Stern, etc.
27. L'Espoir
André Malraux
3.78★ (1594)

Le pilote continuait son cercle, reprenait l'Alcazar à la tangente ; la bombe était tombée au milieu de la cour. Les obus de l'Alcazar suivaient l'avion, qui repassa, lança la seconde grosse bombe, repartit, s'approcha de nouveau. La main de nouveau dressée de Marcelino ne s'abaissa pas : dans la cour, des draps blancs venaient d'être étendus en toute hâte : l'Alcazar se rendait. Jaime et Pol boxaient de jubilation. Tout l'équipage trépignait dans la carlingue. Au ras des nuages apparut la chasse ennemie.
28. La Section Italienne de la Colonne Ascaso, Hommage a Nino et a Ses Copains, Combattants de la Libert
Alba Balestri
Le 19 juillet 1936, en Espagne, c’est tout un peuple, libertaires aux premiers rangs, qui s’est levé, pour s’opposer, les armes à la main, au coup d’État fasciste du général Franco. Immédiatement, et plusieurs mois avant les brigades internationales encadrées par le Parti communiste, qui n’était alors qu’un groupuscule (15 000 membres), ils furent des dizaines de milliers, de tous les pays, à rejoindre l’Espagne pour combattre le fascisme et participer à la plus grande révolution sociale de tous les temps. Ce livre est l’histoire de mon père, Nino Balestri, anarchiste italien exilé à Paris dans les années 1930 et de ses copains qui se sont enrôlés dans la Section italienne de la colonne Ascaso crée par Carlo Rosselli et Camillo Berneri. Animés par l’enthousiasme et l’espoir de vaincre le fascisme, ils n’hésitèrent pas à laisser famille et travail pour aller soutenir la révolution espagnole et œuvrer à la construction d’une société nouvelle, véritablement fraternelle et solidaire. Mais quand le peuple décide de prendre son destin en main, ses ennemis sont en embuscade : le fascisme via Franco, Hitler et Mussolini ; les fascistes rouges du stalinisme et les « démocraties » bourgeoises, qui fi rent tout pour l’écraser. Le 14 avril 1937, Camillo Berneri, conscient des atermoiements de certains cadres libertaires, dont certains, membres du gouvernement, écrivait : « Le dilemme “guerre ou révolution” n’a plus de sens. La seule attitude possible est celle-ci : ou la victoire sur Franco grâce à la guerre révolutionnaire, ou la défaite. » C’était prémonitoire !
29. Renégats
Michael Petrou
4.00★ (4)

Entre 1936 et 1939, près de 1 700 Canadiens ont défié la politique étrangère de leur gouvernement et se sont engagés comme volontaires dans la guerre civile espagnole. S'appuyant sur des archives de l'Internationale communiste rendues publiques récemment et sur les témoignages de vétérans qu'il a interviewés, Michael Petrou raconte l'histoire de ces hommes.
30. La guerre, camarade !
Cesar Covo
4.00★ (5)

En Espagne, la guerre dite civile a été le début de la Seconde Guerre Mondiale. En 1936, la plupart des électeurs espagnols ont voté pour le Front Populaire. D'un côté, le général Franco, appuyé par Hitler et Mussolini, s'est opposé au résultat des urnes par la violence et la guerre. De l'autre, les bavards de la Société des Nations ont cru trouver une solution avec la "non-intervention", convaincus qu'ils allaient régler le conflit en marchandant et avec des pourparlers. Au milieu, les laissés pour compte qui doivent prendre les choses en main. Venant de cinquante-deux pays différents, trente mille jeunes accourent en Espagne décidés à agir, bravant le danger... Des dangers, il y en a eu pendant la guerre et après la guerre. Il ya eu les balles qui tuent, des paroles et des actes qui nous ont fait très mal. Des adversaires nous ont maudits, nous l'avons subi avec orgueil. Des amis nous ont dénigrés par jalousie car nous étions ceux qui osent. Des "raisonnables" nous en voulaient d'avoir dénoncé le stalinisme avant les autres. Et que dire de ceux qui, résidant dans les pays dits socialistes, ont été passés à la moulinette. Dans le monde des "raisonnables", les précurseurs ont toujours été honnis.
31. La compagnie Botwin : Combattants juifs dans la guerre d'Espagne
Efraïm Wuzek
4.00★ (4)

Décembre 1937. Quatorze mois après la création des Brigades internationales, la seconde compagnie du bataillon Palafox est déclarée « compagnie juive ». Celle-ci adopte le nom de Naftali Botwin en hommage à un jeune militant communiste polonais condamné à mort quelques années plus tôt. L?histoire de cette compagnie illustre de manière exemplaire l'engagement massif des volontaires d?origine juive au sein des Brigades internationales. Près du quart des brigadistes venus en Espagne combattre pour la République sont d?origine juive et Radio Barcelone diffuse des émissions en yiddish. La compagnie possède son propre drapeau sur lequel figure en yiddish, en polonais et en espagnol la devise : « Pour votre liberté et la nôtre » et publie organe de presse en yiddish. Ses membres sont sur tous les fronts : Teruel, Guadalaraja, Madrid, Èbre? Ils sont parmi les premiers à comprendre que non seulement le sort de l?Europe se joue sur le sol espagnol mais aussi celui des Juifs menacés au premier chef par l?hydre fasciste. Efraïm Wuzek fut l?un d?entre eux. Né en Pologne, il émigre très rapidement en Palestine et intègre les rangs du Parti communiste palestinien. Il gagne ensuite l?Espagne pour grossir les rangs des internationaux et participe à la création de la compagnie Botwin dont il relate l?épopée de l?intérieur. Quand Franco triomphe, les survivants seront parqués dans les camps français à Gurs et à Saint-Cyprien et nombre d?entre eux formeront pendant l?Occupation les FTP-MOI, les groupes de combats de la main-d?oeuvre immigrée liée aux Francstireurs et partisans. Édité en yiddish à Varsovie, voici près de cinquante ans, le récit de ces événements que nous donne à lire Efraïm Wuzek constitue un exceptionnel témoignage de première main, dont la traduction française est proposée pour la première fois. En complément, la fille de l?auteur, Larissa Wuzek-Gruszow, retrace l?itinéraire politique de son père à partir des nombreux carnets qu?il a laissés
34. Los médicos errantes
Carles Brasó
La guerra civil española y la guerra de China contra Japón trascendieron sus fronteras. Para buena parte de la opinión pública mundial, eran la avanzadilla de los grandes conflictos ideológicos y militares contemporáneos. Algunos voluntarios internacionales decidieron implicarse directamente y compartir sobre el terreno la suerte de aquellas tierras hasta entonces en los márgenes del tablero global. Entre ellos, pocos tuvieron la relevancia del equipo internacional de doctores que, primero integrados en las Brigadas Internacionales favorables a la República española y después como colaboradores de la Cruz Roja China, destacaron por la continuidad de su compromiso ideológico y su sacrificio personal, por la relevancia de sus conocimientos médicos, por su significación individual y colectiva, y por la huella indeleble de aquellas experiencias en sus vidas. El investigador Carles Brasó Broggi recupera con documentación inédita de archivos de todo el mundo, la historia de estos médicos errantes, tanto durante su etapa en ambas guerras, como de sus trayectorias previas y posteriores, estrechamente ligadas a los movimientos internacionalistas, a la influencia comunista, a la Segunda Guerra Mundial y a la posterior Guerra Fría.
35. Les aventures extraordinaires d'un Juif révolutionnaire
Alexandre Thabor
4.33★ (49)

Alexandre Thabor, aujourd'hui âgé de 92 ans, nous livre l'incroyable récit que lui a fait son père, Sioma, il y a quelques décennies : celui de sa vie, de ses idéaux et de son amour pour sa femme. Il lui a notamment raconté son engagement dans certains des plus grands évènements de la première moitié du 20e siècle : la révolution russe, la guerre civile espagnole, l'occupation de la France, la création d'Israël. Un récit époustouflant, épique et sentimental qui nous fait voyager au coeur de l'histoire et des continents. Une aventure intérieure aussi, celle d'un homme qui voit s'effriter et s'effondrer ses idéaux de paix et de fraternité. Préface exceptionnelle d'Edgar Morin (qui n'en fait plus).
36. Ma guerre d'Espagne : Brigades internationales : la fin d'un mythe
Sygmund Stein
4.31★ (21)

Pour beaucoup, le mythe des Brigades internationales reste aujourd'hui encore intact. Et pourtant, derrière l'aventure héroïque de milliers de volontaires venus de tous les pays au secours de la République espagnole, se cache une autre vérité, déconcertante et douloureuse, que révèle ce témoignage sauvé de l'oubli. Sygmunt Stein, militant communiste juif en Tchécoslovaquie, bouleversé par les procès de Moscou qui ébranlent sa foi révolutionnaire, va chercher en Espagne l'étincelle qui ranimera ses idéaux. Mais arrivé à Albacete, siège des Brigades internationales, il se voit nommé commissaire de la propagande, poste où il découvre jour après jour l'étendue de l'imposture stalinienne. Très vite, la réalité s'impose à lui : "La Russie craignait d'avoir une république démocratique victorieuse en Europe occidentale, et sabotait pour cette raison le duel sanglant entre les forces démocratiques et le fascisme." Tout ce qu'il croyait combattre dans le franquisme, à commencer par l'antisémitisme, il le retrouve dans son propre camp. La déception est à la mesure de l'espoir qui l'avait mené en Espagne: immense. Affecté par la suite à la compagnie juive Botwin, il sera envoyé au front pour servir de chair à canon. Des exécutions arbitraires du "boucher d'Albacete", André Marty, aux banquets orgiaques des commissaires politiques, en passant par les mensonges meurtriers de la propagande soviétique, Sygmunt Stein dénonce violemment dans son livre, écrit en yiddish dans les années 1950, et resté inédit en français, la légende dorée des Brigades internationales.
38. La brigadista. : Diario de una dinamitera de la Guerra Civil
Elizaveta Parshina
Elizaveta Parshina o Josefa Pérez Herrera, nombre con el que la conocieron los españoles, fue una de los miles de mujeres y hombres que vinieron a luchar voluntarios a España durante la Guerra Civil. Entre la aventura romántica y la lucha por la defensa de los ideales políticos, los brigadistas llegaron a este país deseosos de defender la legitimidad de un gobierno democrático y la libertad de un pueblo, pobre pero noble, contra la sublevación fascista. Este libro, escrito con un estilo sencillo y veraz, es el diario que la soldado Parshina llevó en España, durante el tiempo que formó parte de un destacamento de reconocimiento y sabotaje compuesto por mineros andaluces, que actuó en la retaguardia, en todos los frentes desde Andalucía a Aragón. Ésta es la historia de aquellos hombres, sin experiencia militar pero conocedores del manejo de la dinamita, asesorados por consejeros soviéticos que los adiestraban tácticamente, y de su valiente intérprete: aquella joven, que se encontró siempre en primera línea en los momentos más peligrosos, sin rehuir el encuentro con el enemigo cuerpo a cuerpo, y que siempre manifestó preocupación por su compañeros y sus familias. Un espléndido ejemplo de microhistoria que permite conocer la vida verdadera, sencilla y cotidiana de tantos combatientes republicanos y miembros de las brigadas internacionales en aquel período crucial en el cual la victoria de las fuerza democráticas todavia posible.
39. Les volontaires cubains dans la défense de la République espagnole 1936-1959 : La légende rouge
Denise Urcelay-Maragnès
La Guerre civile espagnole a été l'occasion d'une solidarité internationale sans précédent dans la lutte contre le fascisme. Cuba a été le pays qui, eu égard à son nombre d'habitants, a fourni le plus de combattants pour la défense de la République espagnole. Pourtant la proximité de la guerre d'indépendance de Cuba - contre l'Espagne - et ses séquelles ne laissaient pas entrevoir une aussi forte participation. Comment expliquer pareil revirement ?. Ce texte analyse les conditions politiques et humaines de l'engagement, et trace avec minutie l'itinéraire des combattants jusqu'au retour à Cuba où Fulgencio Batista est encore à la direction des forces armées. Il présente enfin l'esprit de l'époque. Les grandes figures y apparaissent, Pablo de la Torriente Brau, Juan Brea, Rodolfo de Armas, mais aussi la témérité et le courage de " los de abajo ", ceux d'en-bas, qui donnèrent leur vie pour la défense de leurs valeurs. A partir de recherches d'archives et de documents inédits, d'entretiens réalisés à Cuba, et avec une connaissance intime de l'histoire de Cuba, Denise Urcelay-Maragnès livre ici un travail désormais incontournable pour ceux qui veulent comprendre l'originalité du lien de la grande île caribéenne avec l'Espagne, et connaître un volet oublié de la solidarité internationale avant le second conflit mondial
40. Voluntarios de Argentina en Guerra Civil española
Jerónimo E Boragina
La batalla contra el fascismo europeo y mundial, cuya primera expresión militar fue en España, en 1937, finalizó ocho años más tarde en territorio alemán e italiano con la entrada de tropas aliadas y sobre todo soviéticas, que expulsaron a los invasores #que casi habían llegado a Moscú# hasta enarbolar la bandera roja con la hoz y el martillo sobre el Reichstag berlinés. Ese primer enfrentamiento, en suelo español, vuelve una y otra vez, en formas diversas, a la memoria de los pueblos. También reaparece en textos históricos, con diversos enfoques históricos y políticos, así como en el arte. La presencia de las Brigadas Internacionales, cuyos contingentes provinieron de todos los rincones del mundo, fue un episodio especialmente significativo de esta epopeya, heroica con frecuencia y trágica siempre, que a su vez dividió los campos de manera terminante en todos los continentes: por la República, muchas veces con matices y sesgos de izquierda definida, o con la ultraderecha franquista apoyada por Hitler y Mussolini, con el visto bueno de las oligarquías europeas y de parte de la socialdemocracia (Blum en Francia).
41. Voluntarios suizos en la Guerra Civil Española. Diccionario biográfico
Peter Huber
El pasado 12 de marzo, el Parlamento suizo aprobó, por fin, un moción por la que se rehabilitaba la memoria de los más de 600 voluntarios suizos que regresaron a su patria, tras su paso por las Brigadas Internacionales de la Guerra Civil española y en la que sufrieron cárcel y proscripción acusados de violar la neutralidad suiza. Se cerraba así un triste capítulo de relegación histórica de los voluntarios por parte oficial. El parlamento suizo rechazó entre 1969 y 2003 hasta siete veces una propuesta de la izquierda para rehabilitar a los condenados. Según explica el profesor Huber, los voluntarios extranjeros vivieron en España una triple tragedia: En primer lugar, la de la República, abandonada por Inglaterra y Francia y luchando contra la pared. Segundo, la de 45.000 hombres (y algunas mujeres) procedentes de un movimiento que rechaza la guerra en general y tiene poca práctica en el manejo de las armas. Un voluntario resumió el problema así: "Educado de antimilitarista, nos costó mucho aguantar la vida de soldado. Tercero, la del "voluntariado" que se convierte lentamente en coerción (obligación), con disciplina, subordinación y obligación de luchar hasta la victoria, una victoria que se aleja cada vez mas, a pesar del optimismo oficial. Huber, cita el caso de un brigadista suizo que echó al comisario político el siguiente desafío: "Vine a luchar por mi propio voluntad a España y me iré cuando me parezca oportuno". Gracias a la apertura de los archivos de las Brigadas Internacionales, se ha podido extraer un perfil sociográfico de los voluntarios de las brigadas internacionales que hasta hace poco, y hoy todavía, se han visto por un lado, románticamente idealizados, o por el contrario, demonizadas y convertidas en herramientas de Moscú.
42. Diccionario de los voluntarios austriacos en la España republicana 1936-1939
Lans Landauer
Hubo casi 1400 austriacos en el conjunto de voluntarios que en la Guerra Civil española lucharon contra el fascismo, defendiendo la democracia o propugnando la idea de una revolución social. Este diccionario es el resultado de muchos años de investigación para elaborar un listado completo de estas mujeres y estos hombres y para darlos a conocer en sus perfiles biográficos. También es un documento de la disposición, a menudo negada, de los austriacos a arriesgar la propia vida por la libertad de otros pueblos. Hasta hoy no existe ninguna otra obra tan completa como esta sobre un contingente nacional de las Brigadas Internacionales.
43. Volver a las trincheras
Alfredo González Ruibal
5.00★ (2)

Quelques pages , Huellas de las brigadas.
44. Ma guerre d'Espagne à moi
Mika Etchebéhère
4.20★ (110)

Donc je suis pour eux une femme, leur femme, exceptionnelle, pure et dure, à qui l'on pardonne son sexe dans la mesure où elle ne s'en sert pas, qu'on admire autant pour son courage que pour sa chasteté, son attitude, sa conduite. Puis-je risquer de manquer à cet engagement tacite, faire l'amour et qu'ils l'apprennent, et garder en même temps leur confiance, leur respect, cette espèce d'admiration qu'ils me vouent à l'heure de la vérité ? Eh bien, non ! je reste ce que je suis, chaste et pure comme ils me veulent, femme ou hybride, quelle importance ! L'essentiel est de servir cette révolution avec le maximum d'efficacité et merde pour la petite secousse de la chair ! D'ailleurs, elle est déjà si loin que je peux retourner dans la tranchée et regarder Antonio Guerrero droit dans les yeux, lavée de toute faute, drapée dans mon inviolabilité et ma légende. Un superbe coup de canon, si proche que j'ai l'impression de voler en l'air, me libère de mes cogitations. Tant mieux, faisons la guerre. Ce n'est pas le moment de faire autre chose, et en vérité je n'en ai pas envie.
45. La capitana
Elsa Osorio
3.80★ (238)

Il y a des vies qui sont des romans qu?aucun romancier n?oserait écrire par crainte d?être taxé d?invraisemblance. Mika, la Capitana d?Elsa Osorio, semble avoir eu l?habitude de se trouver à l?épicentre des convulsions qui ont secoué le monde contemporain depuis les années 30. Mika, Micaela Feldman de Etchebéhère (1902-1992), la Capitana, a réellement vécu en Patagonie, à Paris, à Berlin, en Espagne, elle a tenu toute sa vie des carnets de notes. À partir de ces notes, des rencontres avec les gens qui l?ont connue, des recoupements de l?Histoire, Elsa Osorio transforme ce qui pourrait n?être qu?une biographie en littérature. Mika a appartenu à cette génération qui a toujours lutté pour l?égalité, la justice et la liberté. Elle est allée à Paris avec son mari pour participer au mouvement intellectuel dans les années 30, ils ont fondé la revue Que faire ?. Puis ils sont allés vivre à Berlin dont les ont chassés la montée du nazisme, ainsi que les manipulations du mouvement ouvrier par le stalinisme. Enfin ils sont allés rejoindre les milices du POUM dans la guerre civile en Espagne.
46. Ma bataille de l'Ebre : La cote 666
Juan Miguel de Mora Vaquerizo
4.00★ (3)

Il m'a fallu soixante ans pour pouvoir en parler, pour isoler cet enfer intérieur, pour pouvoir le voir de l'extérieur. Il est impossible de pouvoir oublier une expérience comme celle de l'Ebre mais pendant des années je l'ai oubliée. Ou peut-être l'ai je cachée par peur. Ou pour me libérer inconsciemment du souvenir de l'horreur. Comme si quelque chose dans mon cerveau avait fermé une porte. Je ne peux pas l'expliquer, peut-être que j'avais honte de parler de ces choses. Parler de mort et de guerre à des yens tranquilles qui n'ont jamais rien connu de semblable et qui sont déjà un peu fatigués de voir des filins ou de lire des romans de guerre, ce qui est, en fin de compte, tout ce qui reste des guerres
47. Sólo queda el silencio
Juan Miguel de Mora Vaquerizo
Dedicada a los brigadistas internacionales en general y en concreto y con sus nombres a varios de los mexicanos que pertenecieron a las Brigadas durante la guerra civil, esta novela estructurada sobre hechos históricos y escrita por un brigadista mexicano- penetra en los hechos posteriores a la guerra misma: ¿cómo reaccionaron los familiares de los brigadistas desclasados, que siguieron a su ideal y no a su clase social? ¿Cómo fueron tratados los brigadistas en los dominios de Stalin?¿Cómo en los Estados Unidos?¿Qué sentían los voluntarios de la libertad cuando comprobaban la verdad de la Europa del Este? Por responder a los sentimientos reales de quien vivió esas situaciones, esta novela desmiente a quienes pretenden encuadrar a los brigadistas en un patrón de conducta inventado y elaborado desde la derecha.
48. La Libertad, Sancho,... Testimonio de un soldado de las Brigadas Internacionales
Juan Miguel de Mora Vaquerizo
Mi amigo y camarada Juan Miguel de Mora, uno de los últimos supervivientes de los ôvoluntarios de la libertadö, acaba de escribir, después de más de sesenta años de silencio, el relato de los últimos días apocalípticos que vivió en 1938 en la Sierra de Pandols durante la batalla del Ebro, la más sangrienta y la más feroz de toda la guerra de España.Ese año de 1938, en el que cumplía 17, llevaba ya dos años esperando ese momento y cuando el gobierno de la República retiró las Brigadas Internacionales, él siguió combatiendo en el ejército republicano. Su odisea merece ser conocida y por eso, con mucha emoción, he aceptado prologar su trágico y emotivo relato. (Lise London)Lise London, compañera del Arthur London (hombre excepcional y brigadista, víctima de la tiranía de Stalin), trabajó en Albacete en el Estado Mayor de las Brigadas Internacionales durante la guerra de España y dedicó su vida a la lucha por la libertad y la justicia social, enfrentándose a la ocupación nazi en Francia y combatiendo en la Resistencia hasta que fue capturada por la Gestapo y enviada a los campos nazis, después de haber tendido el valor de pronunciar un discurso antinazi en la calle Daguerre del París ocupado. Si hay alguna mujer que merezca ser llamada heroína, Lise London ocupa un lugar de honor. Para el autor de estas memorias es una distinción excepcional que alguien como ella prologue su libro?
50. "Car ce combat est aussi le nôtre". Bordeaux, les Bordelais et la Guerre d'Espagne
Bernard Lavallé
Bordeaux a toujours joué un rôle important dans les relations entre la France et l’Espagne. Il allait en être de même lors de la guerre civile espagnole, d’autant qu’une communauté espagnole nombreuse et politisée était intégrée à la population de la ville. Le présent ouvrage s’est attaché à étudier les moments où la ville s’est trouvée confrontée de très près à cette guerre : bataille d’Irun sur la frontière, menées des services secrets espagnols, recrutement des volontaires des Brigades internationales, vifs débats dans la presse, arrivée dans le port de l’aide soviétique, accueil des vagues successives de réfugiés. Le conflit eut aussi des conséquences très directes dans les années qui suivirent avec les difficultés d’intégration des Espagnols, la politique discriminatoire à leur égard de l’occupant et de Vichy, leur participation à la Résistance et à la Libération. Les sources utilisées sont celles de la presse bordelaise, de grande diffusion ou plus restreinte dans le cas des partis politiques, et surtout un travail systématique en archives à Bordeaux et dans la région mais aussi en Espagne.
51. Soldado de tres ejércitos. Karol Swierczewski, General Walter
Antonina Swierczewski
"Walter" era el nombre de guerra del general Karol Swierczewski. Este varsoviano que nunca renegó de sus orígenes, pasó la mayor parte de su vida en Rusia y formó parte del Ejército Rojo desde su creación hasta su temprana muerte.
52. Por vuestra libertad y la nuestra
Pedro Mateo Perino
Hijo de labradores modestos, nace en Humanes de Mohernando (Guadalajara) en 1912. Allí cursa la instrucción primaria. Luego se gradúa de bachiller en Madrid. Ingresa en la Universidad Central. Desde muy joven milita en las filas republicanas y comunistas; actúa en el movimiento estudiantil (FUE y FUHA); toma parte en el derrocamiento de la dictadura primorriverista y de la Monarquía. Sufre persecuciones, torturas y encarcelamientos en Madrid, Zaragoza y Barcelona. La sublevación le sorprende estudiando Ciencias. Empuña las armas en defensa de la República. Sus universidades de guerra le llevan a Somosierra, Madrid, Brunete, Teruel, Lérida, Ebro, Cataluña y de nuevo Madrid. Recorre toda la gama de cargos y empleos desde miliciano a teniente coronel de Infantería. En el Ebro manda la 35 división internacional. Obtiene las medallas republicanas del Valor y de la Libertad por méritos de guerra. Al producirse la traición casadista marcha al exilio. Francia, URSS. Cursa estudios militares superiores en la Academia Frunze y luego se gradúa de economista y profesor de economía política. Durante la segunda guerra mundial participa en la defensa de Moscú y desarrolla actividades militares docentes. En los años de postguerra desempeña funciones técnicas en el Ejército Yugoslavo y es ascendido a coronel; más tarde enseña español y estudia ingeniería en Praga (Checoslovaquia). Visita Polonia en tres ocasiones. Diez años ejerce como técnico en las Fuerzas Armadas Revolucionarias de Cuba, donde revalida su título. Después de treinta y tres años de exilio, regresa a España, donde ahora reside y trabaja. Actualmente es licenciado en Ciencias Económicas por las Universidades de Moscú y la Habana.
53. Le mercenaire
Nick Gillain
3.50★ (8)

Le titre de son livre est comme une insulte que Nick Gillain s'adresserait à lui-même. Pourtant ce «mercenaire» réussit à déjouer les gardes de trois frontières et l'accord de non-intervention, pour se rendre en Espagne et combattre de façon désintéressée au sein des Brigades Internationales. A partir de là tout le monde s'attendrait, venant de Gillain, à un témoignage au ton romantique, idéaliste et gauchisant Rien n'est plus loin de la réalité. Dès que Gillain met le pied en Espagne, il est englouti par le tourbillon de la guerre moderne et dans la machinerie du credo politique communiste, jusqu'au point où il réalise qu'il est impossible de lutter efficacement contre l'armée rebelle de Franco, bien mieux organisée. La conclusion qu'il en tire - la nécessité de dissocier les opérations militaires des idéaux politiques - n'est que le sommet de l'iceberg au milieu de l'océan d'émotions qu'il doit affronter dans un système en désintégration. La désolation, le ressentiment et une immense déception : tels seront ses compagnons dans son combat pour survivre, mais aussi les bagages qu'il emportera dans son inéluctable fuite hors d'Espagne.
54. Un automne pour Madrid
Christine Diger
4.62★ (7)

Fuyant la misère et les problèmes politiques, la famille Francos quitte son petit village de la Castille en 1909 et s'installe à Bayonne. Le petit Théo est élevé dans un idéal de justice et de liberté que son père Julio lui a transmis et dans la nostalgie de l'Espagne. En 1936, lorsque les généraux rebelles déclenchent la guerre civile, d'un simple appel du coeur, Théo part au secours de la République espagnole. Combattant pour la paix, il se retrouve en première ligne de tous les combats, le fusil à la main, pour barrer la route à Franco et au fascisme. En mars 1939, il est fait prisonnier des franquistes et vit pendant deux années des répressions bestiales. Sorti de cet enfer, il rejoint aussitôt les Forces françaises libres en Angleterre pour continuer son combat contre le fascisme et se retrouve propulsé en première ligne de la Seconde Guerre mondiale. Depuis lors, Théo vit avec ses blessures et sa mémoire d'homme engagé viscéralement dans le combat pour la paix et la liberté. Aujourd'hui, il repart à la conquête des mêmes idéaux, mais avec une autre arme : la mémoire de son expérience, en nourrissant l'espoir que l'horreur qu'il a vécue ne se reproduira jamais.
56. Les oubliés : trois Suisses de la guerre d'Espagne
Jean-Marc Beguin
Les oubliés, ce sont près de huit cents Suisses, jeunes ouvriers pour la plupart, partis pour se battre volontairement en Espagne dans les Brigades internationales entre 1936 et 1938. Deux cents ne sont jamais revenus, morts au champ d´honneur de la lutte contre le fascisme de Franco. Si dans cette guerre, ils découvrirent la fraternité et la solidarité, ils vécurent aussi l´horreur des tranchées, les exécutions sommaires et les gestes héroïques. Ayant vu au quotidien la mort de près, ils portent dans leur chair les traces de cette guerre qui fit près d´un demi-million de morts. Les survivants, loin de connaître la gloire à leur retour en Suisse, furent condamnés et humiliés. Ce livre retrace l´épopée de trois d´entre eux. S'ils font partie des justes qui ont sauvé l'honneur de ce pays, ils se battent toujours pour leur réhabilitation.
57. Las salvajes muchachas del partido
Làzaro Covadlo
3.50★ (4)

La Capitana, Simon Radowizky.
58. Instants de guerre 1937-1938
Laurie Lee
4.00★ (22)

Le 5 décembre 1937, Laurie Lee, âgé de 23 ans, franchit à pied et dans la neige la frontière des Pyrénées, et découvre une Espagne ravagée par une année de guerre civile. Sensible à leur colère, il désire s'engager auprès des républicains. L'heure est à la méfiance, mais jamais le jeune Anglais ne se départira de son violent désir de lutter contre la peste nationaliste. Au menu de chaque jour : scènes de désolation, froid implacable, attentes interminables et le silence parmi des ruines. Magnifique conclusion à la trilogie autobiographique de l'Anglais Laurie Lee (1914-1997), entamée avec Rosie ou le goût du cidre (Libretto, 2003) et Un beau matin d'été (Libretto, 2004) ce récit évoque, de façon vivante et poignante, la défaite héroïque de l'idéalisme naïf au cours de cette " décennie misérable et malhonnête " tant de fois dénoncée par WH Auden.
59. Le Mexicain
Francis Perez Lopez
3.00★ (12)

El Mexicano! 1940, l'homme que le peuple espagnol a ainsi surnommé fait trembler, de Guadalajara à Valence et Barcelone, tout ce qui porte l'uniforme franquiste. Pour les autorités, ce n'est qu'un bandit; pour les paysans et les ouvriers vaincus, le Mexicain est le vengeur, le justicier. A la tête d'anciens soldats républicains, ce chef d'une "section de la mort" des Brigades Internationales, évadé des camps franquistes, défie les vainqueurs au nom de la liberté. Son journal constitue le seul témoignage sur ce qu'il advint des combattants de la République après la victoire de Franco: la captivité, la répression, la guerilla.
62. Voluntarios con gafas: escritores extranjeros en la guerra civil española
Niall Binns
Nunca en la historia de la humanidad hubo un acontecimiento que encandilara con tanta pasión a intelectuales del mundo entero como la guerra civil española. Diversos motivos atrajeron a España a centenares de escritores: combatir en las milicias o en las filas de las Brigadas Internacionales, trabajar como periodistas, o intervenir en un multitudinario Congreso Internacional de Escritores para la Defensa de la Cultura en 1937. A estos "voluntarios con gafas", según los llamó el soviético Mijail Koltsov, han de añadirse otros muchos que participaron en la guerra civil sin pisar España y sin llegar ni a levantarse de sus escritorios. Desde sus países respectivos, imploraban y luchaban por la derrota de Franco y del fascismo, o bien -la minoría- por la derrota de la República y de la revolución. En cuestión de guerras, España era diferente. Para los escritores del mundo, el conflicto de 1936 a 1939 fue una guerra de ideas, una lucha apocalíptica entre el bien y el mal, o tal vez, según una fórmula utilizada tanto por la izquierda como por la derecha, una especie de Cruzada moderna. En esta antología comentada se reúnen, por primera vez en España, poemas, crónicas, cuentos, ensayos y fragmentos de novelas y de obras dramáticas sobre la guerra civil, escritos por autores extranjeros de lengua alemana, española, francesa, holandesa, inglesa, italiana y rusa. ÍNDICE Introducción Cambios de carácter, cambios literarios España en el drama universal Las grandes democracias y la No Intervención Los países totalitarios y la intervención La República, la guerra y las relaciones con Hispanoamérica La organización de los escritores ¿Quiénes eran, qué escribieron? Literatura y guerra civil La mirada extranjera Esta antología Bibliografía
63. Savage Coast
Muriel Rukeyser
A young reporter in 1936, Muriel Rukeyser travelled to Barcelona to witness the first days of the Spanish Civil War. She turned this experience into an autobiographical novel so forward thinking for its time that it was never published. Recently discovered in her archives, this lyrical work charts her political and sexual awakening as she witnesses the popular front resistance to the fascist coup and falls in love with a German political exile who joins the first international brigade.
64. Un camp d'internement en plein Paris
Louis Poulhès
4.50★ (4)

Quelques lignes sur les anciens brigadistes raflés et internés aux Tourelles.
66. Aventures d'un jeune homme
John Dos Passos
3.65★ (58)

Suggestion Aussierocknico. Ce grand roman raconte toutes les aventures politiques et amoureuses de Glenn Spotswood, jeune Américain idéaliste. Attiré par le Parti communiste, il y connaît la plus forte exaltation, avant d'être déçu. Il s'engage pour la guerre d'Espagne, où de nouvelles désillusions l'attendent, et où il trouvera la mort. A travers un destin tragique, Dos Passos peint les milieux progressistes sous l'ère Roosevelt, le grand tournant de toute une génération.
67. Pour qui sonne le glas
Ernest Hemingway
4.05★ (6715)

La guerre civile espagnole a inspiré à Ernest Hemingway un de ses plus dramatiques et célèbres romans : Pour gui sonne le glas. Le film qui en a été tiré, et dont Ingrid Bergman et Gary Cooper étaient les héros, étendit encore sa très grande popularité. Un pont, dans la montagne de Castille, doit sauter; il faut couper la route à l'armée franquiste. Pour cette mission précise, Robert Jordan, jeune Américain enrôlé volontaire dans les rangs républicains, rejoint un groupe de maquisards espagnols parmi lesquels se trouvent deux femmes : la terrible Pilar et la tendre Maria pour laquelle Jordan va immédiatement éprouver une vive passion. L'amour suspendra le temps, éloignera la solitude et fera oublier la mort.
69. La Fête espagnole
Henri-François Rey
4.25★ (10)

« C'est à cause de la petite musique, dit Georgenko ; pour qu'un jour tout le monde, les hommes, les enfants, les filles n'entendent plus qu'elle, rien qu'elle. » C'est pour que vive cette petite musique-là que Georgenko s'est engagé dans les Brigades Internationales, à l'automne de 1936. Mais, sur le chemin de Barcelone, il trouve Nathalie et la petite musique se met à chanter de nouveau en lui : Nathalie, c'est l'amour, le bonheur, la vie. Pourtant, la guerre est là, qu'il faut faire, qu'il fait : c'est Madrid encerclée et c'est l'horreur. Mais la petite musique est restée avec Nathalie : comment ne pas tout risquer pour l'entendre à jamais ? Ce roman est d'abord l'histoire d'un grand amour; c'est aussi l'histoire d'un homme et d'hommes qui donnent leur vie pour l'amour et le bonheur, pour « la petite musique », toujours. C'est encore une peinture forte et vraie des premiers mois de la guerre d'Espagne. C'est un livre où éclate, avec les mots qu'il convient, l'amour de la vie.
70. Une charrette pleine d'étoiles
Frédéric H. Fajardie
3.83★ (65)

Dans ce court roman publié en 1988, Frédéric H. Fajardie nous conte l'histoire de trois camarades partis de Paris en 38 de l'autre côté des Pyrénées pour des motifs avouables ou non. Trois hommes presque ordinaires qui s'engagent aux côtés des Républicains au nom de l'amitié et de l'honneur bafoué. Ils vivront à leur manière plusieurs des épisodes les plus noirs de la guerre d'Espagne
71. Des lendemains enchanteurs
Frédéric H. Fajardie
3.67★ (27)

Si totale qu'elle fût, cette victoire, il le savait, ne pouvait se prolonger que quelques secondes. Bientôt, les petits chefs tenteraient de retourner la foule... Il observa Tanz, dressé aux pieds de Béatrice à qui il sourit. Il pensait que son suicide lésait bien peu d'êtres : une femme à qui il n'avait jamais fait l'amour et un chien trouvé sur un champ de bataille. Il pensait également que la fatigue, les morts d'Espagne, ceux de la Résistance et de la guerre lui faciliteraient le passage, l'adieu à tout cela. Il compara curieusement sa situation à celle d'un de ces magnats de la ploutocratie capitaliste qui, dans les années trente, préférèrent le suicide à un monde forcément différent. ( Le personnage principal est un ancien brigadiste).
72. Les compagnons d'éternité
Georges-Jean Arnaud
3.12★ (6)

L'un des personnages est un Brigadiste italien.
73. Belleville-Barcelone
Patrick Pécherot
3.54★ (153)

Paris, 1938. Dans les locaux de l'agence Bohman, un détective s'ennuie. Il ne sait pas encore que le monde bascule, mais les évènements vont faire de lui un gibier de premier choix. Le Front populaire vit ses derniers jours. En Europe le péril monte. L'embrasement général s'annonce. On chante Tout va très bien, Madame la Marquise tandis que la Cagoule multiplie les attentats. La République chancelle. Une fille de bonne famille a disparu avec son soupirant. Ils ont fait leur nid sur une poudrière. Leur chemin sera celui de la guerre. Il mène vers l'Espagne...
74. Brigadistes !
Patrick Fort
4.12★ (27)

20 nouvelles noires en lien avec la guerre d'Espagne et les Brigades internationales.
75. Gurs 10.39
Patrick Amand
3.25★ (6)

Gregorio Valmy n'avait plus qu'à informer le client que son père était mort accidentellement, en pleine campagne poitevine et encaisser son chèque. Mais l'enquête ne devait pas s'arrêter là, plongeant Valmy et son fidèle Jéjé dans les méandres de l'Histoire, celle de la guerre civile espagnole, des Brigades Internationales aux camps d'internement français. De 1936 à 1944. Dans le même temps, la ville retient son souffle : quelqu'un s'amuse à pendre d'honnêtes habitants, de-ci, de-là. Un serial killer à Poitiers ? Du jamais vu.
76. Les calendes grecques
Dan Franck
3.38★ (35)

A Paris, un vieil homme reclus dans une chambre de bonne fait le bilan de sa vie. Sa mémoire est encore vive et son imagination débordante. Sa solitude, il la peuple, non sans une certaine ironie, de personnages réels et de figures rêvées. Et dans son passé brille une lumière qui a conservé tout son éclat. En 1936, il s'est engagé dans les Brigades internationales pour combattre aux côtés des républicains espagnols. Sur le front d'Aragon, il a rencontré une jeune femme qui hante encore son esprit. Autour de Sabina, follement aimée et trop tôt perdue, il s'est bâti un monde. Aujourd'hui, traversé par des souvenirs et des rêves impossibles, il répète et réinvente son histoire en un long monologue à plusieurs voix, où alternent la tendresse et le désespoir, la dérision et la faconde.
77. Dans l'ombre du viaduc
Alain Delmas
4.09★ (25)

Espagne, fin des années cinquante. Arnaud Madrier a l'occasion de séjourner sur les lieux mêmes où quelque vingt ans plus tôt, engagé dans les Brigades internationales, son père a mystérieusement disparu. Ce voyage représente pour lui la possibilité de comprendre enfin ce qui s'est alors passé. Mais sa venue dérange, comme si les faubourgs de Teruel résonnaient encore des événements dramatiques qui s’y sont joué autrefois. La boite de Pandore qu'il entrouvre va dévoiler des secrets qui, en quelques jours, ne tarderont pas à marquer à jamais ceux qu'il rencontre et à bouleverser leurs vies. La sienne aussi.
78. El amigo de Praga
Joan Manuel Soldevilla i Albertí
4.00★ (1)

En 1968 el escritor gerundense Jaime Ministral descubre en la prensa de la época que su amigo de las Brigadas internacionales, el médico checo Kriegel, es uno de los líderes de la Primavera de Praga.
79. Chute libre
Dorothy B. Hughes
4.17★ (26)

John McKittrick, ancien brigadiste, est revenu de la guerre civile espagnole ; les agents nazis qui le torturaient l'ont volontairement laissé s'évader de prison. De retour à New York, il apprend qu'un de ses amis d'enfance, un policier, est mystérieusement tombé par la fenêtre d'un douzième étage, à l'angle de la Cinquième Avenue et de la Cinquième Rue. Encore très perturbé psychiquement par les épreuves qu'il a subies en Espagne, John décide de faire la vérité sur cette mort qu'il soupçonnne d'être un assassinat. Son enquête le conduit à un groupe d'espions nazis qui se font passer pour des réfugiés chassés d'Europe par le fascisme. Il y a dans Chute libre les thèmes essentiels à Dorothy B. Hughes et qu'elle-même avait définis ainsi : "un homme seul contre un ennemi invisible : la violence et la solitude, la lutte contre la fatalité."
80. Retour à la vie
David Goodis
3.81★ (73)

Publié en 1938, Retour à la vie" est le premier roman de David Goodis. C'est le portrait d'une génération perdue, sur fond de guerre d'Espagne, de guerre sino-japonaise, d'alcool et de désoeuvrement. C'est surtout le roman le plus autobiographique de son auteur. Il éclaire rétrospectivement l'oeuvre entière et permet d'en juger l'importance et la cohérence. "... On pense à Hemingway dans ses grands jours. Et puis, toujours, l'admirable lumière d'aube, cette vision d'un gris matinal, comme si les personnages effleurés par le sens du péché allaient, par un simple geste, un mot, se délivrer pour s'abandonner à leur rêve profond. Magnifique." (Jacques Pierre Amette, Le Point)"
81. Les soldats de la nuit
Alan Furst
3.50★ (28)

Parce qu?il a vu son frère mourir devant lui, assassiné par une milice fasciste, Khristo Stoianev possède une qualité essentielle aux yeux du NKVD : le désir de vengeance. Recruté par cette redoutable organisation secrète, au service de la jeune Union Soviétique (nous sommes en 1934), Khristo devient l?espion parfait. As du renseignement, artiste de la filature, expert en explosifs, polyglotte, il excelle dans tous les domaines. La guerre d?Espagne lui donne l?occasion de montrer l?étendue de ses talents. Avec Faye, Renata, Sasha et Andres, ses compagnons de lutte, il mène une guerre sans merci contre le franquisme. Mais la terreur stalinienne aura raison de son idéal. Fuyant les purges ordonnées par le Parti, il se réfugie en France, sans savoir qu?il va ainsi à la rencontre d?un nouvel ennemi en uniforme vert-de-gris. Des bords du Danube au maquis d?Épinal, puis en Tchécoslovaquie, l?épopée de la première génération d?agents communistes est la matière de ce roman extraordinaire, où l?on retrouve l?écho des récits de Jan Valtin, Gustav Regler ou Victor Serge. Depuis la sortie du Royaume des ombres (Éditions de l?Olivier, 2007), Alan Furst s?est imposé comme un auteur à part. Son originalité : raconter l?Europe des années 30 et 40 à travers ses agents secrets. Il s?intéresse aux détails, aux épisodes oubliés, aux hommes de l?ombre qui ont pesé sur le cours de l?Histoire. Les Soldats de la nuit, immense succès à sa sortie aux États-Unis en 1988, est la source de son oeuvre.
82. L'aigle s'est envolé
Jack Higgins
4.00★ (183)

Le personnage de Liam Devlin, héros de romans de Jack Higgins est inspiré de Frank Ryan, membre de l’IRA qui s’est battu du côté des Républicains en Espagne, a été capturé, puis est passé aux Allemands.
83. El Sid
Chris Haslam
3.50★ (34)

Sydney, dit El Sid, ancien des Brigades internationales, a une idée fixe : retourner dans les Pyrénées espagnoles pour retrouver la grotte où sont cachées des caisses d?or subtilisées à l?armée en 36, lors du transfert du trésor de l?Etat républicain à Moscou. Mais pas question d?y aller seul, à 90 ans et des poussières, il n?est pas en état. Alors, il s?offre les services de deux jeunes ex-taulards qui ne pensent qu?à se faire coucher sur son testament? Or Nick et Lenny, vulgaires pieds-nickelés, le sous-estiment gravement, et la dimension burlesque indéniable du trio est à l?origine de passages désopilants. Seulement, El Sid ne leur a pas tout dit, et au fil des souvenirs de guerre qui lui reviennent, le lecteur comprendra qu?il avait une autre raison d?entreprendre ce voyage?
84. Dès lors ce fut le feu
Philippe Pivion
3.58★ (27)

Espagne, 1936. Après un périple semé d'embûches, les Brigades internationales entrent dans Madrid à feu et à sang. En leur sein, des cagoulards infiltrés, dont Victor, sèment désorganisation et mort. Au front, Dolorès, communiste et ouvrière propulsée infirmière, en tombe amoureuse. Madrid qui, à la suite du coup d'Etat de Franco, a vu la plupart de ses ambassades abandonnées, est assiégé. Etienne Frottier y est nommé parle Quai d'Orsay. Là, il découvre une ambassade envahie par les "asilés", ces 700 franquistes qui y ont trouvé refuge. Tandis que les destins s'entrecroisent, les personnages, broyés par les événements, sont contraints d'agir contre leurs convictions. Dans Madrid bombardé, le consul du Chili, Pablo Neruda, est congédié pour ses poèmes engagés en faveur des républicains. Le lecteur est happé dans l'engrenage. Comme les héros, il frémira aux récits terribles des combats de la Cité universitaire, du pont des Français ou de la Jamara. Dans cet univers de haine, de traîtrises et d'embuscades, amours et luttes se confondent. Ce roman, servi par un style fluide dont les mots font mouche, vous entraînera dans la tragédie espagnole où s'affrontèrent ceux qui aimaient la vie à en mourir et ceux qui hurlaient "Viva la muerte!".
85. Le foulard rouge
Patrick Fort
4.05★ (98)

Giovanni Fontana vit retiré du monde, dans les Landes, au bord de la mer. Il a vécu l?errance et l?exil, la guerre d?Espagne et l?engagement dans la Résistance. Cinquante ans plus tard, une lettre soudaine le ramène à l?endroit où son destin a basculé, où il a trouvé puis perdu l?amour de sa vie. Giovanni Fontana doit retourner à Gurs, un paisible village du Béarn : Gurs et son gigantesque camp d?internement, ouvert de 1939 à 1945, puis rasé pour qu?il n?en subsiste plus la moindre trace. C?est ici que l?attend Maylis, la femme qui le hante. Avec ce roman sur l?oubli impossible, le pardon et la rédemption, Patrick Fort lève le voile sur des événements mal connus et douloureux de notre histoire.
86. Les phalanges de l'ordre noir
Enki Bilal
4.11★ (552)

"Allons, tu sais bien que la violence révolutionnaire ne fait que répondre à celle de l'ordre établi... - Mais je sais aussi que le terrorisme de gauche n'a jamais rien résolu... Je finis par me demander si je n'ai pas eu tort de vous embarquer dans cette équipée de croulants... - Tu mollis en vieillissant, Pritchard, permets-moi de te le dire."
87. Brigada Lincoln
Carles Esquembre
4.00★ (1)

La impresionante y conmovedora historia de los 3.000 heroicos voluntarios estadounidenses que llegaron a España en 1937 para luchar contra el fascismo durante la Guerra Civil al lado del Gobierno de la República, elegido democráticamente.
88. Les serpents aveugles
Felipe Hernández Cava
3.50★ (23)

Ben Koch est recherché. Il est recherché par un homme bizarre en costume rouge, mais il ne le sait pas encore. Il ne le sait pas parce qu'il pense à autre chose. Ben Koch, lui aussi, cherche quelqu'un. Nous sommes à New York en 1939, la guerre civile en Espagne s'achève, et avant la prochaine grande tempête sur le monde, des comptes doivent être réglés.
89. España la vida
Maximilien Le Roy
3.00★ (50)

« L'histoire de la guerre civile en Espagne sera pénible à écrire. La cause était grande, la victoire possible. Les hommes furent quotidiennement admirables de courage et d'abnégation même quand il leur arriva de manquer de capacité d'organisation. Il fallut, pour vaincre le peuple espagnol, outre l'effort désespéré des classes réactionnaires, l'intervention massive de deux grandes puissances totalitaires et la pression, tantôt sournoise, tantôt avouée, des gouvernements démocratiques, plus conservateurs en réalité que démocratiques. Il y fallut aussi, à l'intérieur, l'action dissolvante du parti stalinien qui, en poursuivant sans considération de moyens à ses fins personnelles, c'est-à-dire celles de la politique d'une bureaucratie totalitaire russe extrêmement égoïste et, de plus, fort compromise, a joué par moments un rôle tout à fait funeste. [...] Il est à souhaiter que ces aspects du drame espagnol soient connus. [...] Car l'Histoire continue. »
90. Le Recul du Fusil, Tome 2 : Les Batailles
Jean-Sébastien Bordas
3.75★ (12)

Fernand Tormes doit fuir Paris. Sa découverte de la capitale aux nuits échevelées, aux jolies filles et aux idées révolutionnaires, conduit ce paysan apolitique à s'engager avec ses copains communistes dans les Brigades internationales. Voler au secours d'une République espagnole en proie à une guerre civile! Arrivé à Madrid il se fait brancardier. Et puis... Et puis... La guerre disperse les hommes et les idées. Elle élimine. Fernand peut bien réciter des vers, la vie, c'est pas du roman!
91. Max Fridman : La guerre d'Espagne ''No pasaran''
Vittorio Giardino
3.50★ (15)

Le 18 juillet 1936, la guerre d'Espagne éclate. Pour les services d'espionnage et de contre espionnage, la Deuxième Guerre mondiale a déjà commencé... Giardino, de son trait limpide et lumineux, plonge Max Fridman dans la tourmente espagnole. Le récit est feutré et violent tout à la fois, et on y trouve une parfaite alchimie entre un scénario réglé comme une horloge et un dessin d'une grande pureté, par un maître du neuvième art. No Pasarán - La Guerre d'Espagne rassemble pour la première fois sous une même couverture les tomes 3 à 5 de la série Max Fridman, formant un poignant récit complet.
92. Louis la Guigne, tome 11 : La cinquième colonne
Frank Giroud
3.85★ (50)

Albacete, juillet 1937 : Centre d'accueil de la XIVème brigade internationale. Des milliers de personnes, hommes et femmes, à majorité communistes, attendent de rejoindre le front afin de soutenir l'armée République espagnole. Neuf nationalités s'entassent dans ce camp de fortune où Louis La Guigne retrouve son vieux copain, le capitaine Heilig. Très vite, ces hommes sans expérience, entrent dans la bataille avec enthousiasme et héroïsme. Pour la première fois Louis le Pacifique s'engage dans un combat où les armes crépitent et le sang coule. Personnages truculents, jolies femmes, amitiés, alternent au fil d'un récit sensible et documenté, superbement mis en images par un créateur au sommet de son art.
93. Quintos
Andreas
3.20★ (36)

Espagne, 1937. La guerre entre nationalistes espagnols et républicains fait rage. Plusieurs volontaires venus de toute l'Europe ont rejoint les troupes républicaines. Leur idéal: défendre la démocratie et lutter contre la menace fasciste qui gangrène l'Europe. Parmi ces volontaires souvent inexpérimentés, sept hommes et femmes, de nationalités différentes, ont pour mission de se rendre à Quimera où les troupes républicaines sont en difficulté. Leur véhicule est frappé sur la route par un obus. Leur commandant Carlos meurt sur le coup ainsi que le chauffeur. Le groupe est alors livré à lui-même et doit lutter pour sa propre survie. Les tensions apparaissent vite; pour eux, la guerre prendra une tout autre forme... Un récit poignant et profondément humain qui apporte un autre regard sur la guerre à travers les déchirements, la folie et les souffrances qu'elle engendre souvent.
94. Matricule 155 : Simon Radowitzky
Agustin Comotto
4.33★ (20)

?A punto de embarcar en avión desde Buenos Aires hacia Ushuaia, pienso en las tres horas de retraso que sufrimos, el amontonamiento de turistas en el aeropuerto, la mezcla de idiomas: portugués, hebreo, castellano. Pienso en el fastidio que siento en la espera y la ansiedad por realizar el vuelo hacia el fin del continente para pasar una semana investigando. De pronto, surge la inevitable comparación: Simón Radowitzky viajó en el fondo de un barco de carga a vapor entre otros miserables, tragando el polvo de hulla, el humo que se filtraba desde la chimenea al exterior y las cadenas y la barra de hierro fijada a sus pies. Pienso en los 25 días de vaivén en el mar a oscuras; el sudor, mezcla de adrenalina y mugre, y la espera miserable hasta llegar al presidio de Ushuaia. Simón Radowitzky pasó 21 años encerrado en una jaula. ¿Cuánto puede resistir un hombre por un ideal? ¿Qué hace que éste lo haga invencible? Simón Radowitzky fue de esas raras anomalías que trascendió el mito para volver a ser, luego de miseria, horror e ignominia, lo que quiso: un hombre común y corriente que luchó por la justicia?. Ésta es su historia
95. Verdad
Lorena Canottiere
2.83★ (52)

Verdad a huit ans. Elle vit avec sa grand-mère dans un petit village des Pyrénées. De sa mère, elle sait peu de choses : essentiellement, qu’elle avait rejoint Monte Verità, en Suisse, sur les rivages du lac Majeur. Monte Verità, une communauté anarchiste et matriarcale où, au début du XXe siècle, quelques idéalistes, désireux de fuir la frénésie des villes et de se rapprocher de la nature, pratiquaient le végétalisme, le nudisme et l’amour libre. Devenue adulte, lorsqu’éclate la guerre civile, Verdad part pour Barcelone rejoindre les Brigades internationales et combattre le franquisme…
96. War Story Condors
Garth Ennis
It’s the Spanish Civil war. Four soldiers dive into a pit to wait out the bombs, and it turns out it’s two on two, a Nazi and an Irishman fighting for the same side, a Spaniard and a socialist Brit. But they’re all there for the same purpose – shelter – and besides, no one has any weapons, so a quick truce is agreed upon for the night. Some time passes, and then, as humans are ought to do, people get to talking and telling their tales. The German starts, and Ennis uses this as a method for quickly getting the “but why are they all in this particular hole?” question out of the way, providing enough info for the reader to accept it and allow it, via one of the smoothest executions of “thanks for that info but that’s not what I asked you” in narrative history. And thereafter we get four well-paced, very different experiences that turned men into soldiers. The idealist, the fighter, the follower, and then the voice of reason. All are valid, all feel absolutely real, and though Ennis can’t avoid some pokes here and there, because they are delivered by the appropriate parties (different nationalities, different sides of a war) they just liven the story and enrich these character’s realism. It all just works in wonderful concert, and summarizes each point of view the War Story books have covered in a compressed format that nonetheless feels more informed and patient than some of the other entries in the series.
97. Guerre d'Espagne. Une passion française
Le Monde
5.00★ (3)

Quelques pages sur la Brigade Lincoln.
98. La pitillera húngara
Juanfer Briones Tudela
La llegada de los voluntarios de las Brigadas Internacionales representó, para la República Española, la solidaridad de la ciudadanía frente a la falta de ayuda de sus naciones de procedencia.Cuando el gobierno los licencia, algunos vuelven a sus casas. Otros no pueden regresar por estar perseguidos en sus países de origen, convirtiéndose en apátridas. Markus Babinsky uno de esos brigadistas, enrolado en las filas de la Resistencia Francesa, se verá obligado a volver a España para cumplir una nueva y peligrosa misión. La Pitillera Húngara es una historia bélica de compañerismo, pero también de suerte. Sus protagonistas recorren los escenarios de la Guerra de España y de la II Guerra Mundial, pero no será la preparación y el adiestramiento militar, sino el azar quien dicte vida o muerte.
99. Key Largo
James Maxwell Anderson
A deserter of the Spanish Civil War redeems himself in death by defending the family of a true war hero against some Mexican bandits on the tiny Florida island of Key Largo.
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