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Critique de meelly
Jake Cole, un agent du FBI est contraint de retourner à Montauk, une ville de Nouvelle-Angleterre qu'il a quittée trente ans plus tôt. Son père un artiste peintre de renommée internationale, atteint de la maladie d'Alzheilmer est hospitalisé dans un état grave. À peine arrivé dans sa ville natale, il est réquisitionné pour venir en aide au shérif local. Ce dernier doit en effet mener de front l'évactuation de la population, car un ouragan est annoncé, et l'enquête sur un double homicide particulièrement sanglant : une femme et un enfant ont été écorchés vifs. Ce mode opératoire particulièrement violent n'est pas étranger à Jake, trente ans plus tôt, sa mère est morte dans les mêmes circonstances. Rapidement, il a la conviction intime que ces meurtres ont un lien avec sa famille et que son père au travers de ses peintures a tenté de lui faire parvenir un message.
MON AVIS : Comme le suggère la sobre couverture, " L'invisible " est un véritable puzzle. Ainsi, lorsque le lecteur pense avoir trouver la place de la pièce manquante, le puzzle se modifie sous ses yeux, et aucune des combinaisons tentées (mais cela vous ne le découvrirez qu'au point final du roman) n'est la bonne. Ce thriller qui remet à l'honneur comme l'avait fait avant lui Jesse Kellerman dans le très bon " Les visages " publié également chez l'excellent Sonatine, l'art pictural, est un véritable piège. Une fois ouvert, impossible de le lâcher. le lecteur est pris dans une véritable spirale, dont il est difficile de s'échapper. Et n'en déplaise à une certaine journaliste qui officie dans Télérama et le magazine " Lire", il est quasi mission impossible pour le lecteur de résoudre l'énigme de ce thriller avant l'apothéose finale. Autre point positif notable, si Robert Pobi n'hésite pas à décrire des scènes où coule l'hémoglobine et à utiliser un langage fleuri qu'on imagine seoir aux membres du FBI, il utilise par ailleurs un style littéraire qui change du style lapidaire souvent utilisé par les auteurs de polars. Ce premier roman est un coup de maître, et Robert Pobi est un auteur à suivre. C'est LE thriller à emporter sur la plage cet été. Juste une chose, assurez-vous de ne pas avoir d'enfants à surveiller pendant votre lecture, la tension est tellement palpable que vous ne pourrez relever les yeux de " L'invisible ". Attention Les Editions Sonatine ont encore frappé !
Lien : http://www.meellylit.com/
MON AVIS : Comme le suggère la sobre couverture, " L'invisible " est un véritable puzzle. Ainsi, lorsque le lecteur pense avoir trouver la place de la pièce manquante, le puzzle se modifie sous ses yeux, et aucune des combinaisons tentées (mais cela vous ne le découvrirez qu'au point final du roman) n'est la bonne. Ce thriller qui remet à l'honneur comme l'avait fait avant lui Jesse Kellerman dans le très bon " Les visages " publié également chez l'excellent Sonatine, l'art pictural, est un véritable piège. Une fois ouvert, impossible de le lâcher. le lecteur est pris dans une véritable spirale, dont il est difficile de s'échapper. Et n'en déplaise à une certaine journaliste qui officie dans Télérama et le magazine " Lire", il est quasi mission impossible pour le lecteur de résoudre l'énigme de ce thriller avant l'apothéose finale. Autre point positif notable, si Robert Pobi n'hésite pas à décrire des scènes où coule l'hémoglobine et à utiliser un langage fleuri qu'on imagine seoir aux membres du FBI, il utilise par ailleurs un style littéraire qui change du style lapidaire souvent utilisé par les auteurs de polars. Ce premier roman est un coup de maître, et Robert Pobi est un auteur à suivre. C'est LE thriller à emporter sur la plage cet été. Juste une chose, assurez-vous de ne pas avoir d'enfants à surveiller pendant votre lecture, la tension est tellement palpable que vous ne pourrez relever les yeux de " L'invisible ". Attention Les Editions Sonatine ont encore frappé !
Lien : http://www.meellylit.com/
