C'est très présomptueux que de penser qu'on est en possession de sa propre vie,
On en est que le locataire,
et un jour il faut rendre les clefs.
L’amour est la chose la plus importante de la terre. L’homme ne progresse que dans le regard de la femme. J’aurais pu rester seul, toute ma vie, devant un piano. J’ai fait ce métier pour les femmes… Parce que je les aime et veux m’en faire aimer. Seule, la réussite m’a permis d’apaiser mes relations avec elles.
Très tôt, les femmes sont devenues essentielles dans ma vie. Elles le sont toujours même si, maintenant, ça se conjugue plus au singulier qu’au pluriel.
A l’époque, je ne savais pas combien la passion était ennemie de l’amour. Je prenais même la passion pour de l’amour. Je pensais que les belles histoires n’avaient vraiment de valeur que lorsqu’elles n’étaient pas possibles ; que le quotidien et son train-train tuent vraiment l’amour. Je ne croyais l’amour possible que dans la passion et ses drames.
L’humanité est divisée en deux : les hommes et les femmes. Totalement opposés, ils essaient désespérément de se comprendre. C’est frustrant, cette incompréhension entre les deux : c’est une guerre sans enjeux dans laquelle il n’y a jamais que des vaincus. Néanmoins, je ne vis qu’à travers les femmes. Les femmes ont un rôle absolument étonnant. Elles commencent par nous porter, pour ensuite nous supporter. Depuis toujours elles sont ma source d’inspiration.
La beauté reste très subjective, étant essentiellement dans le regard de l’autre. Cela dit, j’avoue que j’aime bien qu’on m’envie. C’est toujours agréable de voir les hommes admirer la femme qui vous accompagne.
On est toujours seul face au malheur.
L’amour est la chose la plus importante de la terre. L’homme ne progresse que dans le regard de la femme. J’aurais pu rester seul, toute ma vie, devant un piano. J’ai fait ce métier pour les femmes… Parce que je les aime et veux m’en faire aimer. Seule, la réussite m’a permis d’apaiser mes relations avec elles.
Très tôt, les femmes sont devenues essentielles dans ma vie. Elles le sont toujours même si, maintenant, ça se conjugue plus au singulier qu’au pluriel.
On est toujours seul face au malheur. Il n’y a que le bonheur qui se partage.
Le bonheur et le rêve.
L’humanité est divisée en deux : les hommes et les femmes. Totalement opposés, ils essaient désespérément de se comprendre. C’est frustrant, cette incompréhension entre les deux : c’est une guerre sans enjeux dans laquelle il n’y a jamais que des vaincus. Néanmoins, je ne vis qu’à travers les femmes. Les femmes ont un rôle absolument étonnant. Elles commencent par nous porter, pour ensuite nous supporter. Depuis toujours elles sont ma source d’inspiration.
Selon la formule consacrée, personne n’est parfait. En conséquence, pour répondre à l’exigence paternelle, je me devais de viser l’excellence, à défaut de perfection. Cela semblait néanmoins ne pas lui suffire. Ce que j’ai pu prendre comme raclées ! Ma mère était désarmée : elle ne pouvait que m’encourager à ne pas décevoir. Ma mère était une femme absolument remarquable. La première femme de ma vie.
Le passé, c’est quelque chose qu’on subit. Ça me pèse de ressasser les moments qui appartiennent à la mémoire.
Je suis un homme.
Un homme dont la vie ressemblerait plutôt à une courbe de température dans une chambre d’hôpital ou à un ascenseur qui n’irait pas nécessairement à l’étage demandé.
On me dit mystérieux, énigmatique. Fou. Je suis juste moi, simplement. J’ai toujours mis un point d’honneur à me rester fidèle, à ne pas faire semblant. Etre intègre, altruiste et généreux. Sincère.
Est-ce que ça vaut le coup d'être immortel sur une Terre qui, pour le coup, elle, risque de ne pas l'être ?
La beauté reste très subjective, étant essentiellement dans le regard de l’autre. Cela dit, j’avoue que j’aime bien qu’on m’envie. C’est toujours agréable de voir les hommes admirer la femme qui vous accompagne. A condition qu’elle ne soit pas dans le flirt avec les autres, sinon on se sent menacé.