En Bretagne, dans la ville de Dinan, Céleste Décalaud présidente de l'association « Les collectionneurs anonymes » fend la foule pressée autour des nombreux stands sur le marché de Noël. Nous sommes donc au mois de décembre et une chaleureuse ambiance règne sur la place. Elle arrive devant la salle où ses collègues sont réunis, ils l'attendaient. Au bout de quelques minutes, la plupart d'entre eux s'étonnent de ne pas voir Alain Dusceau, collectionneur de Coffres-forts.
Et c'est parti ! Une nouvelle enquête de
Garance Pommeroy débute. (Je la remercie pour l'envoi de ce SP, dont je me suis délecté.) Son cinquième roman cette année ! Levy, Bussi, Musso, tremblez, votre podium est menacé…
Il faut que ce collègue arrive pour ouvrir la salle, tout le monde donne son point de vue, lorsque le timide Gautier Pointcarré annonce que : Alain est par terre dans le salon et il ne bouge pas !
Celeste décide donc de rechercher ce qui s'est passé, et elle va avec Quentin Ouvrard (qui se trouve être bien portant !!!)* bien qu'elle n'apprécie pas trop ses blagues à 2 balles, ils vont recherchent ensemble la vérité, car ce qui est arrivé à Alain est bien curieux…
N'insistez pas, je ne révélerai pas la suite, j'ai passé des bons moments lors de cette lecture et je vous souhaite d'en faire autant. Sachez tout de même que le frère de Céleste, Philippe est Inspecteur à la gendarmerie (oui, je sais, ce grade existe dans la police, mais pas en gendarmerie, c'est sûrement une coquille…, ne n'est pas grave). Ils sont en froid, Céleste et lui, mais au fil des pages ils vont se retrouver et c'est bien ainsi. Donc tous les trois vont rechercher et probablement trouver ce qui s'est passé.
J'ai pu les suivre dans leur enquête et découvrir la vérité mieux que dans un fauteuil de cinéma, puisque j'étais bien au chaud sous une couette et je me délectais. Un roman plein d'humour, de sentiments, d'intuitions, parfaitement narré par l'auteure, un cocktail idéal pour attendre Noël qui est d'ailleurs passé dans le roman. Nul doute qu'il sera en bonne place dans les étals des libraires.
* référence à la chanson « je n'suis pas bien portant » interprétée par Gaston OUVRARD, célèbre comique-troupier du XXè siècle.